Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 16:59

Aicha vous donne des vérités sur la sexualité

(elle peut vous dire qu'elle connaissait bien les réponses pour les avoir vécues...)

 

Quand on stimule son point G, une femme a automatiquement un orgasme ?

   
Faux
 
 

Explications :

La stimulation du point G peut provoquer des sensations agréables, allant jusqu'à l'orgasme chez 10 % des femmes, pas plus ! 90 % des femmes ne connaissent donc jamais cet orgasme particulier. 
 
Le point G est une zone de quelques centimètres de diamètre situé sur la paroi antérieure du vagin, côté ventre. Il est à une distance de 3 à 5 centimètres seulement de l'entrée du vagin. Cet endroit n'a absolument pas la même sensibilité que le clitoris, qui lui est extrêmement érogène. Les caresses légères ne sont pas efficaces. Seules les pressions appuyées peuvent entraîner chez certaines femmes un effet de plaisir sexuel allant jusqu'à l'orgasme.
 
La taille du pénis est très importante pour les sensations féminines
   
   Faux
 
 

Explications :
Un organe sexuel masculin imposant n'est pas plus efficace pour procurer du plaisir à une femme. Pourquoi ? parce que l'organe principal du plaisir chez une femme, c'est le clitoris. Or, pour stimuler le clitoris, un homme se sert de ses mains, de son sexe, ou de sa bouche, mais un pénis de taille plus grande n'apporte absolument aucun avantage !
D'autre part, la zone présumée la plus sensible dans le vagin est le point G, situé près de son entrée, à 4 cm en moyenne. La longueur d'un pénis en érection est toujours largement suffisante pour atteindre ce point G !
 
Et puis, la profondeur d'un vagin au repos est de 8 cm pour atteindre 12 cm en état d'excitation. Rares sont les sexes masculins qui n'atteignent pas cette dimension en érection. 
 
Quand une femme se plaint que le pénis de son partenaire est trop petit, c'est en général que son vagin à elle n'est pas assez musclé. En effet normalement, les parois du vagin sont très toniques et se resserrent autour du pénis. Si ce n'est pas le cas, c'est qu'une gymnastique sexuelle est nécessaire pour tonifier ces muscles !

Une femme fontaine, c'est une femme qui a beaucoup de lubrification ?
   
 Faux
 
 
Explications :
Certaines femmes ont une lubrification particulièrement abondante qui peut aller jusqu'à les gêner. Mais cela n'a absolument rien à voir avec une " femme fontaine ".

On parle de femme fontaine lorsque, au moment de l'orgasme, du liquide sort en jet de l'urètre, et cela de manière saccadée. C'est d'ailleurs pour cela que on utilise parfois les termes d'éjaculation féminine ! En effet, les contractions musculaires de l'orgasme féminin entraînent l'expulsion de ce liquide du corps. De nombreuses femmes ont l'impression d'uriner, ce qui est faux. 
 
Seules 10 % des femmes ont déjà expérimenté cet orgasme avec "éjaculation féminine". On ne sait pas, à l'heure actuelle, si toutes les femmes pourraient le connaître ou si il est réservée à certaine privilégiées. Car lorsque ce phénomène se produit, il est toujours accompagné d'un plaisir extrêmement intense, une sorte de super orgasme.
 
Un bon amant fait forcément l'amour plusieurs fois de suite ?
   
 Faux
 
 
Explications :
Le fait d'être ou non un bon amant n'a rien à voir avec le nombre de fois qu'un homme peut éjaculer dans une soirée !

En effet, la plupart des hommes qui peuvent faire l'amour plusieurs fois de suite ont généralement tendance à éjaculer assez rapidement (mais pas tous !). Les hommes qui n'arrivent à éjaculer qu'une fois réussissent plus facilement à durer plus longtemps.

Finalement, l'essentiel dans le plaisir amoureux, ne se calcule pas : les hommes ont tendance, pour se rassurer à calculer un peu tout : la taille de leur pénis, la durée pendant laquelle ils tiennent sans éjaculer, le nombre de fois où ils peuvent recommencer. Car des chiffres, c'est facile à comparer.

Mais le plaisir, lui, ne se mesure pas de cette manière. Un homme peut être un excellent amant avec un petit pénis, et sans être capable de recommencer plusieurs fois l'acte amoureux. Comment fait-il ? Il est attentif à sa partenaire et cherche le bonheur de sa belle en priorité, tout simplement 
Les femmes ont toujours moins de désir sexuel que les hommes ?
   
 Faux
 
 
Explications :
Les femmes ont un désir sexuel différent de celui des hommes, mais l'on ne peut pas affirmer qu'il soit moindre ! Le désir sexuel féminin passe moins par les yeux que le désir masculin.

Un homme qui voit sa femme, qui la trouve belle, ressent du désir. Une femme, elle trouve plus son désir dans les paroles qu'elle entend. C'est bien là où se pose parfois un problème : les hommes parlent très peu en général, et encore moins pour dire des paroles d'amour ou de désir. Du coup, le désir féminin peut rester en berne et ne vibre pas beaucoup.

Quand un homme sait parler à une femme, elle peut ressentir énormément de désir, et cela pendant des années !
 
 
Le rythme normal des rapports sexuels, c'est 3 fois par semaine ?
   
 Faux
 
 
Explications :
Il n'existe aucune norme en la matière. On peut seulement parler de moyenne, ce qui n'est pas du tout la même chose. Car dans une moyenne, les écarts sont très importants. La moyenne se situe d'après les déclarations (vraies ou non) un peu en dessous de 3 rapports sexuels par semaine.

Certains couples font l'amour tous les jours ou même plusieurs fois par jour toute leur vie et d'autres une seule fois par semaine, d'autres encore, une fois par mois. 

Personne n'est normal ou anormal, il existe simplement un rythme qui convient ou non à tel ou tel couple. L'essentiel, c'est bien la satisfaction de chaque membre d'un couple.
D'autre part, il est aussi très fréquent qu'un couple ait des périodes de sexualité intense suivie de périodes beaucoup plus calmes, voire de calme plat. C'est parfaitement naturel lorsqu'une relation dure des années !
 
Et puis, la fréquence des rapports sexuels n'est qu'un chiffre. Elle ne donne guère une idée de leur qualité. Il vaut parfois mieux faire l'amour tous les 15 jours pendant plusieurs heures et de manière très sensuelle que tous les jours en quelques minutes !... encore que cela dépende des goûts de chacun !


 
Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Vendredi 9 septembre 5 09 /09 /Sep 00:12

Aicha prise par deux queues !

 

Aicha et son compagnon vont passer la soirée avec un inconnu. Ils désirent assouvir un de leur fantasme, qu’Aicha se fasse prendre par deux hommes !

 

Elle vient juste de finir de se préparer.  Quand son compagnon la regarde sortir de la salle de bain dans cette petite robe noire tellement sexy, presque indécente, il ne sait pas ce qui attire le regard en premier, la profondeur de son décolleté ou le fait que la robe soit si courte. Ses talons enfilés et le maquillage un peu plus appuyé que d’habitude par font cette sensation qu’Aicha a très bien compris ce que son homme attend d’elle …

 

On frappe, il l’embrasse intensément et va ouvrir. L’homme qui se présente est bien celui avec lequel il a dialogué. Il est plutôt mignon, brun, la trentaine, grand et athlétique. C’est peut-être le costume noir, qu’il porte bien, qui donne cette impression. « J’arrive directement du bureau » leur dit-il, mal rasé et sans cravate

 

Il s’avance vers le salon et vient à la rencontre d’Aicha. Il a l’air très détendu et lui fait la bise. Ils se présentent mutuellement.

Aicha s’installe dans le canapé et l’homme prend place sur le fauteuil. Pendant que son compagnon sert à boire, Aicha sent qu’il la regarde, qu’il la détaille de ses yeux verts… elle éprouve une gêne certaine, mais se sent également excitée… Une curieuse sensation.

 

Son compagnon vient s’asseoir à côté d’elle. Ils trinquent tous les trois aux plaisirs de la vie et à ceux qui en profitent ! Commencent à parler, de tout et de rien et l’atmosphère se détend au fur et à mesure que les bulles font leur effet. L’homme travaille dans un cabinet d’architecte. C’est pour ça qu’il peut passer ses après-midis sur internet à chercher une proie. Il a déjà eu des expériences libertines mais n’est pas pour autant un « professionnel ». Aicha lui confesse son inexpérience dans le domaine, et à son regard devine que cela lui plait. À son compagnon aussi cela plait, ravi de pouvoir l’initier à ces jeux, qu’Aicha va certainement apprécier…

 

Son homme lui dépose de petits baisers dans le cou… l’inconnu regarde faire en souriant. Il l’embrasse, lui prend ses lèvres passionnément Aicha commence à se laisser aller. Elle l’embrasse à pleine bouche laissant sa langue se mêler à la sienne.

 

Serait-ce le regard de l’invité qui met ainsi en émoi Aicha? Tout en l’embrassant avec fougue, elle sent la main de son compagnon qui vient se poser sur son sein. Il commence à le pétrir doucement, puis plus fermement à travers le tissu. Son téton durcit… il tire sur sa robe et sur son soutien-gorge pour faire jaillir son sein, le spectateur se régale… Le compagnon d’Aicha lui avait vanté ses seins, il comprend que celui-ci n’a pas menti… il  laisse sa bouche glisser sur la gorge d’Aicha, l’embrasse, pose sa langue sur son téton, commence à le lécher avec de petits coups de langue nets et rapides ce qui lui arrache un gémissement…

 

L’homme trépigne. Il ne tient pas en place. D’un regard, le compagnon d’Aicha l’invite à venir les rejoindre. Il ne se fait pas prier et vient s’asseoir à côté d’elle. Chacun des hommes fait glisser les bretelles de soutien gorge d’Aicha, elle se retrouve à demi nue, la poitrine offerte. Chacun de ses seins est maintenu par une main d’un propriétaire différent, et une langue s’active avec gourmandise sur chacun de ses tétons…

 

Cela l’excite, ses gémissements sont de plus en plus forts. Les langues lèchent ses pointes à des rythmes différents, c’est électrifiant. L’inconnu a l’air de beaucoup apprécier la fermeté de la poitrine d’Aicha vu l’ardeur qu’il met à s’en occuper. Les deux hommes lèchent les tétons, les sucent, les mordillent en malaxant ses seins avec une intensité toujours plus grande…

 

Son compagnon laisse une main remonter le long de la jambe d’Aicha et relève le peu de tissu qui recouvrait encore ses cuisses, soulève sa jambe et la pose sur sa propre cuisse pour lui donner un parfait accès à son intimité, l’autre jambe d’Aicha subit le même traitement. Elle est écartée, maintenue, il plaque sa main sur son string et découvre la chaleur et l’humidité de sa petite chatte, commence à la caresser à travers le tissu trempé. Deux doigts s’activent, allant de ses lèvres à son clitoris… Les gémissements d’Aicha redoublent renforçant la vigueur des caresses. Les seins palpés, le clito pris d’assaut, elle prend conscience qu’elle ne contrôle rien, qu’ils sont deux à s’occuper d’elle  et qu’elle n’a plus qu’à s’abandonner…

 

Ce tsunami de caresses ne lui laisse peu de chances et, très vite, son corps se raidit et arrive un orgasme puissant que son compagnon s’évertue à rendre long et intense en redoublant la pression entre ses cuisses…

Il continue ses caresses sans se soucier du fait que la jouissance d’Aicha l’’a rendue plus sensible. Son acolyte fait de même, il est très excité et le montre. Il prend la main d’Aicha et la pose sur son pantalon. Elle sent immédiatement sa queue bien dure. Il l’invite à le caresser. Il sort son sexe raidi et la guide dans un mouvement de va-et-vient. Aicha le sent excité, gonflé dans sa main, elle aime…

 

  • — Suce-le, entend-t-elle son compagnon lui glisser à l’oreille…

 

Elle  ne se fait pas prier. La voilà devant le canapé, à genoux, la robe sur les hanches, avec sa queue dans la bouche. Il est très excité. Il prend la tête d’Aicha et imprime un rythme soutenu.

 

Pendant qu’Aicha le suce, son homme se glisse derrière elle, glisse à nouveau sa main entre ses cuisses et recommence à branler son clito. Aicha ne sait plus sur quoi se concentrer. Elle a envie de lui faire du bien mais les caresses l’empêchent de se consacrer à cette queue. Ce manège est trop dur à soutenir et Aicha sent poindre un autre orgasme qui la submerge alors qu’elle a la queue de l’homme profondément en bouche. Elle jouit. Ses cris sont étouffés par cette queue qui emplit sa bouche. Il la maintient fermement malgré ses tentatives pour s’en défaire, en la regardant dans les yeux, elle est prisonnière…

Les gémissements d’Aicha l’ont excité, il n’en peut plus, il a envie d’elle, il veut la prendre. Aicha se relève, chancelante, et il la fait s’installer sur le canapé, les mains appuyées sur le dossier, bien cambrée. Il enfile un préservatif, et se met derrière elle. Aicha sent son sexe dur appuyer sur ses lèvres humides. Il rentre d’un coup, sans ménagement, aidé par sa mouille abondante. Ses mains sont fermement agrippées à la taille d’Aicha. Il s’enfonce bien loin. Et ressort aussitôt pour la remettre bien à fond en arrachant un râle de plaisir à Aicha. Il accélère, la lime de plus en plus fort. Il empoigne un sein bien fort, la tient par les cheveux…

 

Le compagnon d’Aicha se délecte de la scène. La voir ainsi l’excite au plus haut point et il commence à se caresser en les regardant, en regardant un homme prendre sa petite salope… il a envie qu’Aicha le suce.

Les deux hommes entrainent Aicha sur le lit, à quatre pattes, « comme une petite chienne docile… ». 

Son compagnon s’allonge devant elle alors que le partenaire de jeu se remet derrière elle, visiblement pas rassasié de sa petite chatte. Aicha  lèche le gland de son homme. L’autre se renfonce en elle en lui arrachant un cri.  Son compagnon lui tient ta tête et enfonce sa queue dans sa bouche. Son gland s’enfonce au fond de sa gorge au rythme des coups de reins, Aicha est prise en étau, elle ne peut rien faire.  L’homme accélère, Aicha  sent qu’il est au bord de jouir. Il la travaille bien fort et, soudain gicle en elle… un son rauque sort de sa gorge et Aicha sent ses mains la serrer fort, avant de se détendre à nouveau. Le sentir jouir a provoqué en elle une montée de plaisir et la voir ainsi a fait jouir son compagnon qui déverse son jus dans sa bouche par saccades. Aicha le regarde jouir, continue à le sucer, à lécher sa queue… elle en veut encore.

 

Elle entreprend de se faire du bien toute seule. Aicha est gourmande… Elle glisse sa main entre ses cuisses guidée par l’appétit de sa petite chatte insatiable. Les deux hommes la regardent faire, ils adorent ça… Aicha se caresse devant deux mâles. Ce spectacle ne tarde pas à leurs redonner des forces.

Aicha se retrouve accroupie, entre eux deux, leurs queues à la hauteur de sa bouche. Son compagnon l’empoigne par les cheveux, et enfourne de nouveau sa queue dans sa bouche pendant que l’homme à la sienne contre sa joue. « Branle toi bien, petite salope… ». Aicha a une queue dans la bouche et une autre qu’elle tient dans la main. Elle alterne pour les satisfaire tous les deux. Elle suce, branle …

 

 

Son homme la fait s’allonger sur le lit, lui remonte fermement ses jambes sur ses épaules, commence à frotter son gland contre ses lèvres, sur son clito, à rentrer légèrement, à faire mine de rentrer d’un coup et à arrêter son geste, ce qui chez Aicha provoque de petits cris, puis vient exercer tout son poids sur elle en venant bien à fond, ondule son bassin, en profite pour frotter son clito devenu bien sensible, commence un va-et-vient, un mouvement ample mais lent, profond et par moments accélère et ralentit, il la prends fort, en la fixant d’un regard dur, se retire et l’invite à se mettre à quatre pattes, claque son cul au passage ;

 

— Elle aime ça, on dirait, la petite salope…

 

Oh oui, Aicha aime. Son homme se place derrière elle et crache sur son cul tendu. Sa salive glisse entre ses fesses, jusqu’à son anus. Il passe son gland entre ses fesses, l’appuie sur son petit trou… Aicha sent la pression qui s’exerce, son gland qui s’insinue centimètre après centimètre, ses mains fermes qui la retiennent vers lui ; il la sodomise sous les yeux de l’homme qui n’en perd par une miette espérant probablement goûter lui aussi à ce cul bien serré. Aicha sent que la queue la remplit bien, sent l’excitation à son gland qui se gonfle en elle… Une fois bien dilatée il va et vient au fond d’elle, il la sodomise bien fort. Cette sensation de la posséder est terriblement excitante, il y met toute sa puissance…

 

L’homme se branle en les regardant. En se retirant de l’anus d’Aicha son compagnon l’invite à se joindre à eux. Il remet un préservatif sur sa queue raide. Il s’allonge sur le lit, Aicha reçoit l’ordre d’aller s’empaler sur lui. Elle s’exécute et sent son membre s’enfoncer tout au fond d’elle, il empoigne les seins, il pince les tétons, regarde Aicha droit dans les yeux pendant qu’elle se tortille sur sa queue, ses seins sont contre son torse. Aicha sent que son homme se remet derrière elle, crache à nouveau sur son cul, passe son doigt sur l’anus encore un peu dilaté, l’y enfonce. Aicha sent la queue  dans sa chatte et ce doigt qui la pénètre, elle gémit.  Il en enfonce un deuxième, l’anus est tout ouvert, il les ressort. Aicha sait maintenant ce qui l’attend,  bien penchée contre lui, elle sent le gland forcer le passage pour la sodomiser, elle pousse un cri, sans doute de douleur, son homme accentue la pression et s’enfonce lentement et puissamment. Une fois sa queue bien en elle, il s’immobilise.

 

  • — Te voilà bien remplie, petite salope…

 

Les deux hommes commencent un mouvement coordonné, ils viennent et vont en alternance… D’abord doucement, puis de plus en plus vite, leur excitation est a son summum ; l’homme a trop envie de  baiser Aicha et son compagnon trop envie de l’enculer… Aicha crie et ces cris décuplent leur rage. Ils la prennent fort, la défoncent. Elle gémit, hurle, elle se sent remplie, utilisée, chienne. Ce rythme est infernal, intense. Aicha n’en peut plus mais ce serait peine perdue face à deux hommes qui la prennent avec une telle force pour leur propre plaisir. Tout est dur, leurs queues, leurs regards, leurs mots, leurs mains… La cadence augmente jusqu’à  ce qu’ils explosent tous les deux dans des spasmes puissants qui secouent leurs trois corps intimement imbriqués.

 

Chacun d’eux se retire d’Aicha la laissant couverte de sueur, remplie de sperme … Dans un dernier effort, elle se retourne sur le côté pour faire face à son compagnon, incapable de dire un mot, et ferme les yeux.

 

 

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 31 août 3 31 /08 /Août 17:31

Aicha  n’a jamais caché son envie de faire l’amour avec une femme même si elle n’a jamais réalisé son fantasme.

Avec son ami, ils vivent très librement et quand l’un d’eux a envie d’un ou d’une autre, ils se le disent vont rejoindre l’objet de leur désir.

 

Et le désir du compagnon d’Aicha ce soir-là, c’est Hélène. Il l’a rencontré au supermarché, et a décidé de la séduire. Celle-ci accepte une invitation au restaurant, en rosissant quand même un petit peu.

 

Après le repas elle l’’invite à prendre le café chez elle. Ils  tombent très vite dans les bras l’un de l’autre et font l’amour.

Le soir, il raconte à Aicha son aventure. Il lui propose qu’ils s’envoient en l’air tous les trois. Aicha est d’accord.

 Le samedi suivant, Hélène est invité à déjeuner par lui chez Aicha. Après l’excellent repas celle-ci sert le café. Aicha dit tout le bien qu’elle pense de ces agapes et chante :

 

  • — J’ai bien mangé, j’ai bien bu, j’ai la peau du ventre bien tendue, et elle ajoute : maintenant je ferais bien l’amour.

 

Son homme rétorque qu’il est d’accord et Hélène veut s’éclipser. Aicha réplique :

 

  • — Non, ne pars pas. J’aimerais faire l’amour avec « Lui » devant toi.

 

Elle se lève, le tire par la main et se dirige vers la chambre en disant :

 

  • — Suis-nous.

 

Ils se retrouvent tous les trois dans la chambre. Aicha et son ami s’allongent et commencent à se déshabiller en se caressant. Aicha sourit intérieurement. Son homme lui caresse les seins, le ventre et le sexe, les embrasse et suçote ; puis lui lèche son clitoris. Rapidement, le souffle d’Aicha s’accélère ; les yeux ouverts, elle bouge la tête de gauche à droite. Elle se met à râler de plus en plus fort. Elle prend un oreiller puis l’autre comme pour s’y accrocher et les fait voler par dessus le lit. Les petits cris qu’elle pousse s’accroissent, ses mouvements s’amplifient. Elle plaque son sexe contre la bouche de « Lui » et se frotte vigoureusement contre, s’aidant du roulis de ses hanches.

 

Elle va jouir. Il relève la tête et l’admire. Elle est encore plus belle quand elle a connu le plaisir. Elle a les yeux fermés. Un sourire illumine sa face.

Il remonte sur Aicha, écarte ses cuisses et s’allonge sur elle. Il s’agenouille et tente de la pénétrer. Elle empoigne sa verge et la présente à l’embouchure de son vagin. Il pousse lentement. Doucement il va et vient dans cette antichambre de la félicité en espérant qu’elle va de nouveau connaître l’ivresse de la béatitude. Il l’embrasse et sent qu’il ne pourra pas l’attendre d’avantage. Alors, dans une dernière poussée, il explose en elle et là elle jouit également. Durant sa jouissance, il s’enfonce encore plus en elle tout en lui murmurant

 

  • — Oh, je t’aime ma chérie, je t’aime.

 

S’adressant à Hélène, Aicha lui demande :

 

  • — Est-ce que le spectacle t’a plu ?
  • — Oui.
  • — Et ça t’a excitée ?
  • — Je dois l’admettre.
  • — « Lui » m’a dit que vous avez déjà fait l’amour. Refaites-le. J’aimerais bien vous regarder.

 

Hélène est très étonnée et elle demande à J »Lui » s’il est vrai qu’il a prévenu sa femme. Celui-ci se lève en même temps qu’Aicha et ils lui prennent chacun une main et l’attirent sur le lit.

 

Il l’embrasse tout en lui caressant un sein tandis qu’Aicha s’occupe de l’autre. Il attire Hélène sur lui et dégrafe son soutien-gorge. Aussitôt, il sent les mains d’Aicha s’attaquant à ses merveilleux monticules. Elle pose ses lèvres sur celles d’Hélène dont Jean prend la main pour la poser sur le sein d’Aicha. Il fait glisser la jupe et la culotte d’Hélène découvrant son sexe poilu.

 

Il écarte les poils et dépose un baiser entre ses nymphes. Puis lèche le sillon humide, remonte vers la poitrine opulente d’Hélène. Il prend une main d’Aicha et la pose sur la chatte d’Hélène et en fait autant avec une main de cette dernière sur celle d’Aicha. Il se relève et admire ces deux femmes qui se masturbent. L’exhibition est si belle qu’il regrette de ne pas disposer d’une caméra pour les filmer.

 

Aicha fait venir Hélène sur elle et elles frottent leurs chattes l’une contre l’autre. « Lui » en profite pour caresser et embrasser les fesses qui lui sont accessibles. La respiration des deux femmes s’accélère et soudain Aicha pousse des cris. Elle jouit. L’autre femme respire de plus en plus fort et elle jouit également mais plus discrètement.

 

Les deux amantes reposent l’une sur l’autre. Elles reprennent leur souffle. Aicha demande à sa maîtresse :

 

  • — Tu avais déjà fait l’amour avec une femme ?
  • — Non, c’est la première fois. Et toi ?
  • — C’est aussi la première fois. Ça m’a plu. J’ai bien joui. Toi aussi ?
  • — Oui. C’était merveilleux.
  • — J’espère que vous continuerez à aimer les hommes, dit « Lui ».
  • — Ne t’en fais pas mon chéri. Je crois que je suis bisexuelle maintenant.
  • — Tant mieux ! Et toi, Hélène ?
  • — Moi aussi. Mais dites-moi. Vous aviez décidé avant de faire l’amour avec moi ?

 

 

Hélène se retire de dessus Aicha. En leur montrant sa verge en érection, « Lui » leur fait comprendre son envie. Elles la comprennent, le font allonger entre elles deux et le caressent doucement. Aicha  se penche vers son sexe, elle le prend dans sa bouche et commence une fellation. Elle s’arrête puis le tend à Hélène qui se met à le sucer. À son tour, elle remet sa verge dans la bouche d’Aicha et, ainsi de suite, elles s’échangent le sucre d’orge tandis que l’autre lèche les testicules.

 

Aicha dit à Hélène qu’elle aimerait les voir faire l’amour elle et « Lui ». Celui-ci demande à Aicha de s’allonger. Hélène s’installe sur elle en position 69. Aicha fait un cunnilingus et « Lui » un anulingus à Hélène. Celle-ci jouit très vite alors il se couche sur son dos et la pénètre en levrette. Il ressent les coups de langue qu’Aicha donne à Hélène. Ajoutés à ses coups de boutoir, il ne faut pas longtemps pour qu’Hélène jouisse de nouveau.

 

« Lui » inonde le vagin d’Hélène, puis se retire et met son membre dans la bouche d’Aicha afin qu’elle le nettoie avec sa langue. Ensuite elle lèche le vagin et avale le sperme qui lui coule dans la bouche. Lorsqu’elle a terminé, Hélène se relève et vient embrasser d’abord Aicha puis son amant.

 

Aicha émet le souhait d’être pénétrée comme le fut Hélène. «Lui » ne bande plus. Alors toutes deux recommencent à le lécher et à le sucer. Moi, j’installe le vagin d’Hélène sur ma bouche et je la tète.

Aicha le masturbe espérant que son vit regonflera rapidement. Hélène vient lui prêter main forte et les quatre mains qui le caressent arrivent, à faire relever la tête de son phallus.

 

Hélène s’allonge et suce Aicha qui s’est couchée sur elle en position 69. « Lui » lui lèche l’anus, celui-ci est largement ouvert ! il se couche sur son dos et installe sa verge sur sa rondelle. Il veut la sodomiser.

Il n’a pas beaucoup d’effort à faire pour la pénétrer. Il va et vient dans son anus, la respiration d’Aicha s’accélère, elle pousse un grand cri. Ses mouvements sont tels qu’il manque d’être désarçonné. Sa verge quitte le fourreau et il doit redonner un fort coup de rein pour la pénétrer de nouveau. Le frottement est si dur dans son petit anus qu’il jouit quasiment en même temps qu’elle.

 

 Lorsqu’Aicha a commencé à jouir, elle a écrasé sa vulve sur le nez d’Hélène l’empêchant de respirer pendant quelques secondes.

Ce fut vraiment une forte jouissance. « Le super-pied » estima Aicha. Hélène dut attendre le lendemain pour l’éprouver aussi. « Le panard » affirma-t-elle.

 

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 21:06

Aicha avait rencontré cet homme lors d’un séjour sur la côte d’azur. Ils avaient décidés de se revoir. Elle lui avait donné rendez-vous à la gare de chez elle. Elle était en avance. Elle avait revêtu pour l’occasion une petite robe de coton blanc au décolleté plongeant, qui mettait en valeur sa poitrine et sa peau bronzée. Elle savait que sa robe était un peu transparente, mais avait choisi de ne pas porter de sous-vêtements dessous, sachant combien il serait excité en le découvrant lors de leurs retrouvailles sur le quai. Enfin, le train arriva et elle le vit se diriger vers elle. Il remarqua tout de suite la tache sombre de ses aréoles qui se dessinaient sous la fine couche de tissu, les courbes de ses hanches que l’on découvrait par transparence, et commença à se sentir à l’étroit dans son pantalon avant même de l’avoir touchée. Ils se serrèrent dans les bras l’un de l’autre, collant leurs corps autant qu’ils le pouvaient dans un lieu public. Elle le prit par la main et l’entraîna dans son sillage. Il  se retrouva derrière elle dans les escaliers et son sexe fit un bond dans son pantalon lorsqu’il put voir distinctement qu’elle ne portait pas de culotte. Il se retenait difficilement de toucher la peau nue qui s’offrait à ses yeux. Aicha s’était garée au bout du parking en prévision de leur volonté à tous les deux de se retrouver tranquillement.

 

Dès qu’ils furent hors de vue, il la plaqua contre sa voiture et l’embrassa voracement. Ses mains ne savaient plus où donner de la tête, il hésitait entre caresser ses seins, ses fesses, son sexe nu… et choisit finalement de remonter sa robe pour aller embrasser son sexe pendant qu’il lui malaxait la poitrine.

 

  • Pas ici… lui murmura Aicha d’un ton peu convaincu.
  • Où je veux ! lui répondit-il, accroupi devant elle, en lâchant ses seins pour passer une des jambes de son amante sur son épaule afin d’accéder complètement à son sexe trempé.

 

Il enfonça deux doigts en elle et continua de lécher son clitoris. Il savait bien qu’ils ne risquaient rien, coincés entre un mur et une voiture dans un parking presque désert. Aicha retint un gémissement et tenta de garder son équilibre. Il lui en faudrait peu pour jouir ici… et c’est exactement ce qu’il voulait, la voir jouir violemment comme il l’aimait tant. Aicha gardait son équilibre comme elle le pouvait, agrippée à la voiture, et finit par se laisser aller dans un long râle. Ces retrouvailles commençaient bien…

 

Ils avaient une heure à tuer avant de pouvoir accéder à la chambre d’hôtel qu’elle avait réservée. Ils prirent la route en discutant, il se moquait gentiment des yeux encore brillants de celle à qui il venait d’offrir un si bel orgasme. Mais comme elle allait le lui montrer, elle n’avait pas dit son dernier mot. Aicha posa sa main sur sa cuisse et lui jeta un regard qui en disait long, puis elle la posa sur son sexe. Elle le massa doucement à travers le jean, concentrée malgré tout sur la route. Lorsqu’elle sentit qu’il était devenu bien dur, elle retira sa main et fit mine de continuer à conduire comme si de rien n’était.

 

  • Tu ne crois pas t’en tirer comme ça, hein ? lui demanda-t-il d’un air surpris et amusé.
  • Comment ça, comme ça ? répondit Aicha en prenant un air innocent.
  • Arrête-toi, j’ai envie que tu me suces…

 

Elle obéit et se gara dans un endroit tranquille, commençant déjà à apprécier le ton autoritaire de sa voix. Elle se pencha vers lui et reprit sa caresse, il sortit le sexe qu’elle aimait tant. Elle se mit à lécher ses bourses. Elle enfourna son sexe, saliva dessus pour le faire bien coulisser dans sa bouche et commença un doux mouvement de va-et-vient, attendant qu’il lui imprime le rythme qu’il voulait. Elle avait envie de se sentir possédée. Il ne se fit pas attendre et bientôt, elle le sentit essayer de s’enfoncer plus loin dans sa gorge. Elle l’avala complètement, et il baisa sa bouche comme jamais. Très excitée, elle essaya de se dégager, prise d’une furieuse envie de le sentir en elle. Elle le regarda dans les yeux, pensant qu’il comprendrait son idée, mais il n’arrêta pas de la limer.

 

  • Tu rêves, salope, tu vas tout prendre dans la bouche… lui grogna-t-il en tenant sa tête des deux mains.

 

Il accéléra le mouvement et elle sentit le sexe gonfler dans sa gorge, dans sa bouche. Il vint en longues giclées, haletant, et relâcha enfin sa pression pendant qu’elle avalait sa semence en le fixant du regard.

 

  • Tu sais qu’il va falloir que tu me baises comme jamais pour compenser ça, j’espère ? lui demanda-t-elle d’un air coquin.
  • Laisse-moi cinq minutes et c’est parti ! répondit-il en riant.

 

Dans l’ascenseur qui les menait à leur chambre, ils recommencèrent à se taquiner et se caresser. La robe froissée d’Aicha ne faisait plus vraiment rempart contre les mains de son amant qui exploraient fébrilement ses fesses. Il se plaça derrière elle pendant qu’elle ouvrait la porte, essayant de la perturber en collant son sexe dressé entre ses fesses. Elle arriva enfin à ouvrir et ils entrèrent dans la chambre. Son décolleté ne faisant pas vraiment barrière, il fut prompt à sortir ses seins nus de leur écrin. Plaquée contre la porte, elle le laissa lécher, mordiller et pincer ses tétons, se tortillant sous ses assauts. Elle adorait qu’il joue avec la frontière entre le plaisir et la douleur et commençait à être sérieusement excitée. Elle se dégagea de son emprise et le poussa sur le lit, sur le dos, tout habillé. Elle se mit à califourchon au-dessus de lui, les seins à l’air, impudique, et frotta son sexe trempé sur le membre qu’elle sentait à travers le jean.

 

  • J’ai excessivement envie de toi… lui murmura-t-elle à l’oreille.
  • Ah oui ? T’as envie de quoi au juste ?

 

Pour seule réponse, elle déboutonna son jean, le baissa juste assez pour qu’il soit à l’aise, puis s’empala sur son sexe dans un soupir d’aise. Il lui donna un grand coup de reins et se saisit de ses hanches pour lancer le début des hostilités. Il s’enfonçait en elle jusqu’à la garde, elle sentait son clitoris frotter contre le pubis de son amant et se sentait comblée. Il s’amusait à sortir d’elle presque complètement, ne laissant que son gland en elle, et reprenait son rythme infernal de plus belle. Elle se retira et finit de le déshabiller en laissant ses seins caresser son sexe au passage. Lorsqu’ils furent tous les deux nus, elle s’assit au bord du lit et l’attira entre ses cuisses. Il la pénétra de nouveau d’un seul coup, à genoux devant le lit, elle assise.

 

  • Je te baise assez sérieusement comme ça, là ? lui demanda-t-il, joueur.
  • Peut mieux faire… répondit-elle entre deux gémissements.
  • Tu vas voir, salope

 

Il la bascula en arrière de façon à ce qu’elle ne soit plus aux commandes, attrapa ses mollets et écarta ses jambes.

 

  • T’as envie que je te défonce, c’est ça ?
  • — Oui… gémit-elle.

 

Ses puissants coups de reins la poussaient en arrière sur le lit, ses mains étaient crispées sur les draps. Il lâcha ses mollets, qu’elle posa sur ses épaules, lui saisit les hanches pour la maintenir en place.

 

  • Jouis, Salope, jouis… laisse-toi aller…

 

Ses gémissements s’amplifiaient et il sentit les muscles de son vagin se contracter. Elle jouit intensément, se laissa submerger par cette sensation. Elle avait envie que ce moment ne s’arrête jamais et il resta immobile en elle un moment pour la laisser profiter. Lorsqu’elle reprit ses esprits, il la regardait avec beaucoup de tendresse en bougeant délicatement son sexe toujours dur dans le sien.

 

  • Merci… je ne sais même plus où je suis… lui dit-elle dans un souffle.
  • Moi je suis en toi, et j’adore ça. Tu es belle quand tu jouis, tu sais…
  • — Viens par là, j’ai une vengeance à prendre ! dit-elle en le faisant sortir d’elle.

 

Elle se redressa pour s’asseoir au bord du lit et il se mit debout devant elle. Elle le prit dans sa bouche, faisant jouer une langue mutine sur son gland, s’amusant à suivre les veines, glissant même le bout de sa langue dans son méat. Elle glissa sa main sous ses boules pour les caresser et intensifia sa caresse buccale, le prenant dans sa bouche en le regardant d’un air provocateur.

 

  • C’est assez salope pour toi ? lui demanda-t-elle avant de lui redonner un petit coup de langue.
  • Pas mal, oui… on traitera ton côté chienne plus tard, pour l’instant, suce…

 

Obéissante, Aicha fit glisser son sexe dans sa bouche en jouant avec la pression de ses lèvres. Elle fit un simple aller-retour en terminant par un baiser langoureux sur son gland, puis l’entoura de ses seins voluptueux. Elle prit les mains de son amant, les mit à la place des siennes pour qu’il contrôle lui-même cette caresse. Elle embrassait et léchait son gland tout en caressant les fesses de son amant de ses mains maintenant libres, le serrant contre elle.

 

  • Tu sais que j’adore ce genre de traitements, Salope… ça me donne encore plus envie de toi…
  • — Alors profite, je suis tout à toi, lui répondit-elle en ouvrant sa bouche, langue tirée.

 

Il la réinvestit aussitôt sans cesser de caresser et pincer le bout de ses seins. Sentant que son rythme s’accélérait, elle ferma les yeux et essaya de le reprendre au fond de sa gorge, mais en vain.

 

  • Pas grave, tu auras un défi tout à l’heure, t’en fais pas ! lui dit-il en souriant d’un air vicieux et en plaçant ses mains sur les cheveux d’Aicha.

 

Il lui donna un rythme soutenu, l’empêcha de se servir de ses mains et elle sentit qu’elle allait vite en avoir pour son compte. En effet, quelques instants de ce traitement lui suffirent et il se retira de sa bouche, se masturbant à quelques centimètres du visage d’Aicha. Elle ouvrit la bouche, le regarda dans les yeux et recueillit les jets chauds qui vinrent s’écraser sur son visage et dans sa bouche quand il se laissa aller dans un râle de plaisir. Il la regarda nettoyer le contour de sa bouche avec sa langue et avaler, elle lui déposa un dernier baiser sur le gland, puis il s’écroula sur le lit à côté d’elle.

 

  • Ah ben bravo, me voilà remaquillée ! lui dit-elle sur un ton amusé.
  • Tu l’as voulu, ma belle !

 

Elle l’abandonna un instant pour aller se rafraîchir et revint s’allonger à côté de lui. Ils s’assoupirent dans les bras l’un de l’autre, épuisés mais heureux.



Elle ouvrit les yeux en sentant la caresse de sa langue sur ses lèvres intimes, qui s’ouvraient à lui.

 

  • Voilà un réveil comme je les aime !, lui dit-elle en souriant.
  • Crois-moi, si je pouvais, je te réveillerais comme ça tous les jours… répondit-il en venant l’embrasser avant de retourner s’intéresser à son sexe.

 

Elle ferma les yeux, détendue, et se laissa faire. Il était étrangement doux et ses caresses s’apparentaient plus à des baisers légers qu’aux cunnilingus qu’il lui procurait d’habitude, l’idéal pour émerger en douceur et faire doucement monter l’excitation. Il commença à appuyer un peu ses coups de langue sur son clitoris et elle frissonna de plaisir.

 

  • Tu sais, je t’ai parlé d’un défi tout à l’heure ? lui demanda-t-il en relevant la tête un instant.
  • Voui…
  • — C’est maintenant.

 

Et il se tourna pour venir placer son sexe dans la bouche d’Aicha, coincée sous le poids de son corps. Elle essaya de le pousser un instant pour lui parler, mais il resta en place, ne lui laissant d’autre choix que celui d’accepter cette position. Résignée et amusée, elle prit son rôle à cœur et ouvrit grand la bouche pour pouvoir bouger sa langue autour du membre qui prenait toute la place.

 

  • T’embête pas, Salope, t’as rien à faire, c’est moi qui vais te baiser la bouche, lui dit-il.

 

Et il replongea vers le sexe d’Aicha, plus vorace cette fois. Il aspirait et mordillait son clitoris, cherchant à la faire se cambrer. Il enfonça trois doigts dans son vagin d’un coup, pris d’une furieuse envie de la baiser. Son bassin bougeait en rythme, enfonçant son sexe dans la gorge d’Aicha. Elle était partagée entre le plaisir et la difficulté à rester en place, se sentant étouffée par le sexe qui lui défonçait la bouche, son clitoris torturé par la bouche de son amant. Elle sentait le plaisir monter et essayait d’y résister, ne voulant pas lui donner cette satisfaction tout de suite. Il enfonça un doigt dans son anus, la prenant par surprise, et elle sursauta malgré le poids de son amant sur elle. Elle avait l’impression qu’il voulait la dévorer tellement il était brutal dans sa caresse. Il lâcha son clitoris un moment.

 

  • Tu verrais comme tu es trempée, salope ! lui dit-il en léchant ses doigts et en venant goûter son jus à sa source.

 

Elle gémit, seule réponse qu’elle pouvait lui donner dans ces conditions. Il continuait à s’enfoncer en elle, elle avait la bouche engourdie et avait plutôt envie qu’il dirige son énergie ailleurs que dans sa bouche, maintenant. Mais il n’en avait pas fini avec elle. Il enfonça à nouveau trois doigts en elle, brusquement, et elle sursauta.

 

  • Tu ne vas pas me dire que ce n’est pas ce que tu veux !
  • 

 

Pour seule réponse, elle souleva son bassin vers lui et il commença un va-et-vient brutal dans son vagin, remuant ses doigts, regardant, fasciné, comme ses chairs s’écartaient et se contractaient. Il posa simplement sa langue sur son clitoris et continua de la baiser de ses doigts. Il jouait avec la pression de sa langue, en oubliant même ses va-et-vient dans la bouche d’Aicha, laissant son bassin bouger plus doucement. Elle appréciait ce répit : même si sa bouche était toujours bien remplie, elle sentait le plaisir monter en elle. Il se retira d’un seul coup, la sentant au bord de la jouissance.

 

  • À quatre pattes ! lui ordonna-t-il d’un ton dur.

 

Elle obéit et le sentit s’enfoncer en elle d’un coup dans un grognement. Il lui tira les cheveux pour la cambrer un peu plus et elle gémit de plaisir. Il commença un va-et-vient brutal en elle, se retirant presque complètement et la pénétrant violemment. Il s’était tellement retenu dans sa bouche tout à l’heure qu’il n’en pouvait plus, il avait envie de la faire gémir, crier. Il passa une main sous elle pour lui pincer le bout des seins. Il passa ses mains sous les aisselles d’Aicha pour aller attraper ses épaules par en dessous et avoir une bonne prise. Son corps claquait contre les fesses de la jeune femme, il s’enfonçait au maximum en elle.

 

  • T’aime ça, hein ? T’aime être ma chienne ? lui grogna-t-il en lui tirant à nouveau les cheveux.
  • Oui… j’aime ça…
  • — T’es… à… moi… lui souffla-t-il, en se penchant pour qu’elle sentît son souffle contre son oreille.

 

Il savait qu’elle était très sensible aux mots et à la façon dont ils étaient dits. Elle lui avait confié aimer le sentir grogner, souffler dans sa nuque. Elle aimait le sexe bestial, elle allait être servie. Alors qu’elle venait à la rencontre de son sexe, elle se mit sur ses avant-bras, le sexe et le cul offerts. Il ne se fit pas prier pour en profiter et intensifia ses coups de reins, se retenant de jouir malgré son désir. Tout son corps se raidit et elle jouit dans un long gémissement. Il resta en elle mais arrêta de bouger pour la laisser apprécier le moment, puis s’écroula sur son dos. Elle se sentait bien, écrasée sous son poids, son sexe dans le sien.

 

  • T’en as eu assez ? Pas moi… viens… lui murmura-t-il en allant s’asseoir contre le mur, toujours sur le lit.
  • Je… J’arrive… lui dit-elle dans un sourire, les joues rouges, les yeux brillants et le souffle court.

 

Ils avaient tous deux envie d’un moment câlin, d’un peu de douceur. Elle vint s’asseoir sur son sexe, et resta là sans bouger, appréciant simplement sa présence en elle. Elle glissa ses pieds derrière le dos de son amant, assise en tailleur, les bras autour de son cou, le laissant la faire bouger comme il le voulait. Ils reprenaient tous les deux leur souffle et savouraient ce moment de tendresse. Il la repoussa en arrière pour qu’elle s’appuie sur ses jambes, approcha son visage de sa poitrine et l’embrassa. Elle gémit, l’encourageant, toujours groggy de l’orgasme violent qu’il venait de lui offrir, ses sensations décuplées, offerte.

 

  • Tu sais que je n’ai pas joui, Salope… lui dit-il, l’œil brillant.
  • Je sais… ce n’est pas faute d’y travailler, mais t’es résistant…
  • — J’ai très envie de t’enculer.
  • — Oui… mais j’aime tellement te sentir en moi, comme ça…
  • — Tu ne le regretteras pas, fais-moi confiance.

 

Il lui saisit les hanches et la souleva, la laissant à genoux au-dessus de lui. Il introduisit un doigt dans son anus. Aicha vint d’elle-même s’empaler sur son sexe dressé, sentant son petit trou s’ouvrir au gland inquisiteur, grimaçant un peu. Elle y allait doucement, savourant chaque centimètre qui la pénétrait. Il adorait se sentir serré comme il l’était. Lorsqu’elle eut terminé de le faire entrer complètement en elle, il introduisit deux doigts dans son vagin. Elle gémit, surprise de se sentir ainsi prise.

 

  • Je t’avais dit que tu ne le regretterais pas… lui murmura-t-il dans un sourire.

 

Il avait très envie de la prendre brutalement, mais il savait qu’elle avait besoin de douceur pour l’instant. Chaque chose en son temps… Il continua sa caresse, bougeant très lentement dans son anus et son vagin, la regardant frémir, découvrir de nouvelles sensations.

 

  • Je ne me suis jamais sentie aussi pleine… c’est bon… lui dit-elle avant de l’embrasser langoureusement, ayant envie de sentir leurs langues se caresser, de le sentir dans tous ses orifices.

 

Il accentua ses mouvements à la fois dans son anus et dans son vagin et elle gémit doucement. Elle avait l’impression d’être au bord de l’orgasme en permanence avec lui et elle adorait cette sensation. Il posa simplement son pouce sur son clitoris, bougeant doucement les doigts qui étaient en elle et pénétrant plus profondément son anus. Aicha se laissa faire, elle sentait un doux orgasme arriver. Elle gémit lentement, il la sentit se contracter et jouir intensément. Elle le remercia d’un baiser.

 

  • Merci… encore ! Mais moi aussi j’ai envie de te sentir venir.
  • — Il va me falloir un peu plus d’action, tu le sais… lui répondit-il en souriant, son sexe dur palpitant dans l’anus de la jeune femme.
  • Je suis ta salope… comment tu me veux ?

 

Il la fit se relever, la plaça debout face au mur, les jambes écartées, le dos bien cambré, et pénétra son anus d’un coup sec. Elle gémit et tendit son cul vers lui pour l’encourager. Elle avait très envie de le sentir perdre le contrôle à son tour.

 

  • Tu me rends fou quand tu es salope comme ça… j’ai envie de te défoncer…
  • — Mon cul est tout à toi… baise-moi.

 

Ses coups de reins étaient secs et violents, comme s’il évacuait toute sa retenue des moments précédents. Il grognait derrière elle et elle se sentait désirée comme jamais. Il lui attrapa les seins et les malaxa, s’accrochant à la poitrine offerte. Il colla son corps contre le dos d’Aicha.

 

  • T’es à moi, t’es à moi, ma salope, ma chienne… lui murmura-t-il à l’oreille.
  • Oui…
  • — Cambre-toi plus, t’aimes ça que je te baise, hein…
  • — Oui…

 

Elle obéit, recula un peu, le haut de son corps collé au mur. Il avait un accès total à son cul et ne se priva pas d’en profiter, lui donnant d’amples coups de reins. Ils étaient en sueur, leurs corps claquaient l’un contre l’autre. Il commença à grogner, à murmurer son prénom, comme s’il voulait graver cet instant dans sa mémoire, et il jouit dans le cul qu’il aimait tant. Il resta longtemps en elle, sur elle, appuyé comme il le pouvait, jusqu’à ce que leurs jambes ne les portent plus. Ils s’allongèrent sur le lit, reprenant leur souffle.

 

Ils restèrent un moment comme ça, nus, tranquilles, puis l’heure fut venue de repartir. Elle le déposa à la gare avec un chaste baiser sur la bouche, et il repartit, des souvenirs plein la tête.

 

 

 

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 21 août 7 21 /08 /Août 19:03

Le viol d’Aicha

 

Aicha est rentrée chez elle son courrier à la main.

Elle remarque vite que les portes de sa bibliothèque sont ouvertes. Quelqu’un se serait-il introduit en son absence ? Inquiète, elle se dirige ensuite vers sa chambre. A peine a-t-elle franchi la porte du couloir qu’elle est happée par derrière tenue fermement par le cou. Elle ne distingue pas son agresseur. Celui-ci la menace d’un long couteau de cuisine caressant son long coup de la lame pointue.

Aicha se met à trembler. L’homme l’insulte tout en la forçant à avancer vers le lit.

 

-         Allez, salope, tu es rentrée trop tôt, avance tu vas prendre, tu vas souffrir !

 

Aicha essaye de résister mais l’homme est robuste, il la propulse d’un geste tête en avant sur le lit, lui bloque les bras derrière le dos d’une main  il saisit un foulard d’Aicha pendu au pied du lit et lui bande les yeux. Elle ne sait toujours pas à qui elle a à faire ! Elle se débat resserrant jambes et pieds, essayant de déstabiliser son agresseur, rien y fait.

Il lui déchire sa jupe, arrache son string, la maintient tête baissée sur le lit. Il quitte son jean. Aicha sent sa queue se promener sur son cul, descendant doucement sur sa chatte. Son agresseur jubile. Il la fesse de plus en plus fort.

 

-         Tu aimes ça un salope ? dis le moi que tu aimes ça ? elle te plait ma bite !

 

Il se met à l’agripper par les cheveux, à lui tirer la tête en arrière lui faisant arquer le dos ; son cul relevé, ses jambes pliées, Aicha est coincée, elle ne peut plus désormais effectuer le moindre mouvement. Elle se retrouve à la merci de son voleur, de son violeur même pensa-t-elle !

Elle avait mal ; il lui tirait les cheveux la forçant à se coucher encore plus. Elle sent sa queue essayer de la pénétrer mais il s’amuse, il la titille. D’un seul coup elle sent un grand corps froid lui rentrer dans la chatte. L’homme a trouvé le jouet qu’Aicha a rangé dans sa table de nuit, celui dont elle se sert quand l’envie de sexe la gagne et qu’elle est seule !

Il l’a rentré si rapidement et si profondément qu’elle a laissé échapper un petit cri de surprise.

 

-         Allez ma salope, jouie. Tu adores j’en suis certain

 

Il agite le gode de plus en plus fort maintenant Aicha plaquée sur le lit. Elle mouille ; oui Aicha prend du plaisir avec ces gestes brusques d’un homme sans scrupule, sans délicatesse.

La bite continue de se balader sur le corps d’Aicha qui apprécie cette douceur dans cette atmosphère pesante. Elle commence de ressentir un plaisir immense à se faire ainsi brutaliser, violer par cet homme chez qui elle perçoit une certaine tendresse sous ses airs de brute.

Il retire le gode lui soulevant le cul d’un geste prompt, il enfile sa queue brutalement dans ce cul arrachant un cri de douleur à Aicha mais vite transformés en petits gloussements de plaisir.

 

-         Allez  ma salope, tu vas aimer c’est moi qui te le dit ; vas y prend ça !

 

Elle sent le plaisir monter, ses tempes la piquent, elle est en sueur.

Puis l’homme la force à se redresser pour la prendre dans sa chatte et lui enfile le gode dans le cul.

 

-         Double pénétration ma chienne pour ton plaisir ; tu vas jouir je te le certifie.

 

Aicha prend son pied ; elle n’a jamais vécu ce genre d’expérience ; cet homme se révèle malgré tout tendre, sensuel et sans le voir Aicha l’imagine sensible et charmeur.

 

-         Tourne toi salope, dit-il en retirant sa bite dure du con d’Aicha l’attrapant

par son chemisier qu’il déchire d’un geste brusque, arrache le soutien gorge et titille les tétons d’Aicha qui durcirent de plaisir.

Elle jouit, son excitation grandit au fur et à mesure que son agresseur progresse dans son intimité ; ne pas le voir augmente cette ardeur à prendre son plaisir.

Aicha ressent le besoin de crier, d’exprimer cette jouissance. Au premier cri émit l’homme la gifle lui interdisant d’émettre le moindre son.

Souvent Aicha sent la lame du couteau se promener sur son corps doucement sans brutalité pour mieux provoquer ce désir intense qui continue de monter en elle. Décidément cet homme est très doué et doit certainement être un très bon amant, Aicha en est maintenant persuadée.

Son corps est le premier à le constater ; sa jouissance complète et sa mouille inondent sa chatte de bonheur !

Le gode continue son travail, l’homme promène sa queue, l’enfilant par moment au plus profond de la gorge d’Aicha l’empêchant de reprendre son souffle ; il semble apprécier cette gorge profonde, cette langue magique.

Ces intermittences corps-bouche ravissent Aicha ; l’homme le trouve également à son goût et sa jouissance ne se fait pas attendre très longtemps. Il éjacule son foutre sur le visage d’Aicha, se délectant à lui étaler en promenant sa queue dans tous les sens, laissant échapper les derniers jets dans la bouche  d’Aicha qu’il a maintenue ouverte. Elle récolte avec délice ce nectar soyeux qu’elle aime tant !

 

L’homme desserre son étreinte laissant Aicha haletante, incapable de bouger, les yeux toujours bandés, le foutre étalé sur son visage, incapable de prononcer un mot.

 

Un bruit de porte et le silence tombe dans la chambre. L’homme a disparu. Aicha a pris son pied avec cet inconnu… avec ce violeur !

 

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Texte Libre

84ls0zaa

 

 

 

Voici le petit monde d'Aicha

réalité ou fantasmes ?

à votre avis ?

47inms4t

 

N'hésitez pas à m'écrire vos impressions, je vous répondrais !

  64146673 p

bisous à tous mes visiteurs !

Aicha 

 

 

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Découvrez la véritable Aicha au fil de vos lectures

et de quelques photos éparses...

je vous laisse l'imaginer... 

 

64815460 p

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés