Mardi 23 août 2 23 /08 /Août 21:06

Aicha avait rencontré cet homme lors d’un séjour sur la côte d’azur. Ils avaient décidés de se revoir. Elle lui avait donné rendez-vous à la gare de chez elle. Elle était en avance. Elle avait revêtu pour l’occasion une petite robe de coton blanc au décolleté plongeant, qui mettait en valeur sa poitrine et sa peau bronzée. Elle savait que sa robe était un peu transparente, mais avait choisi de ne pas porter de sous-vêtements dessous, sachant combien il serait excité en le découvrant lors de leurs retrouvailles sur le quai. Enfin, le train arriva et elle le vit se diriger vers elle. Il remarqua tout de suite la tache sombre de ses aréoles qui se dessinaient sous la fine couche de tissu, les courbes de ses hanches que l’on découvrait par transparence, et commença à se sentir à l’étroit dans son pantalon avant même de l’avoir touchée. Ils se serrèrent dans les bras l’un de l’autre, collant leurs corps autant qu’ils le pouvaient dans un lieu public. Elle le prit par la main et l’entraîna dans son sillage. Il  se retrouva derrière elle dans les escaliers et son sexe fit un bond dans son pantalon lorsqu’il put voir distinctement qu’elle ne portait pas de culotte. Il se retenait difficilement de toucher la peau nue qui s’offrait à ses yeux. Aicha s’était garée au bout du parking en prévision de leur volonté à tous les deux de se retrouver tranquillement.

 

Dès qu’ils furent hors de vue, il la plaqua contre sa voiture et l’embrassa voracement. Ses mains ne savaient plus où donner de la tête, il hésitait entre caresser ses seins, ses fesses, son sexe nu… et choisit finalement de remonter sa robe pour aller embrasser son sexe pendant qu’il lui malaxait la poitrine.

 

  • Pas ici… lui murmura Aicha d’un ton peu convaincu.
  • Où je veux ! lui répondit-il, accroupi devant elle, en lâchant ses seins pour passer une des jambes de son amante sur son épaule afin d’accéder complètement à son sexe trempé.

 

Il enfonça deux doigts en elle et continua de lécher son clitoris. Il savait bien qu’ils ne risquaient rien, coincés entre un mur et une voiture dans un parking presque désert. Aicha retint un gémissement et tenta de garder son équilibre. Il lui en faudrait peu pour jouir ici… et c’est exactement ce qu’il voulait, la voir jouir violemment comme il l’aimait tant. Aicha gardait son équilibre comme elle le pouvait, agrippée à la voiture, et finit par se laisser aller dans un long râle. Ces retrouvailles commençaient bien…

 

Ils avaient une heure à tuer avant de pouvoir accéder à la chambre d’hôtel qu’elle avait réservée. Ils prirent la route en discutant, il se moquait gentiment des yeux encore brillants de celle à qui il venait d’offrir un si bel orgasme. Mais comme elle allait le lui montrer, elle n’avait pas dit son dernier mot. Aicha posa sa main sur sa cuisse et lui jeta un regard qui en disait long, puis elle la posa sur son sexe. Elle le massa doucement à travers le jean, concentrée malgré tout sur la route. Lorsqu’elle sentit qu’il était devenu bien dur, elle retira sa main et fit mine de continuer à conduire comme si de rien n’était.

 

  • Tu ne crois pas t’en tirer comme ça, hein ? lui demanda-t-il d’un air surpris et amusé.
  • Comment ça, comme ça ? répondit Aicha en prenant un air innocent.
  • Arrête-toi, j’ai envie que tu me suces…

 

Elle obéit et se gara dans un endroit tranquille, commençant déjà à apprécier le ton autoritaire de sa voix. Elle se pencha vers lui et reprit sa caresse, il sortit le sexe qu’elle aimait tant. Elle se mit à lécher ses bourses. Elle enfourna son sexe, saliva dessus pour le faire bien coulisser dans sa bouche et commença un doux mouvement de va-et-vient, attendant qu’il lui imprime le rythme qu’il voulait. Elle avait envie de se sentir possédée. Il ne se fit pas attendre et bientôt, elle le sentit essayer de s’enfoncer plus loin dans sa gorge. Elle l’avala complètement, et il baisa sa bouche comme jamais. Très excitée, elle essaya de se dégager, prise d’une furieuse envie de le sentir en elle. Elle le regarda dans les yeux, pensant qu’il comprendrait son idée, mais il n’arrêta pas de la limer.

 

  • Tu rêves, salope, tu vas tout prendre dans la bouche… lui grogna-t-il en tenant sa tête des deux mains.

 

Il accéléra le mouvement et elle sentit le sexe gonfler dans sa gorge, dans sa bouche. Il vint en longues giclées, haletant, et relâcha enfin sa pression pendant qu’elle avalait sa semence en le fixant du regard.

 

  • Tu sais qu’il va falloir que tu me baises comme jamais pour compenser ça, j’espère ? lui demanda-t-elle d’un air coquin.
  • Laisse-moi cinq minutes et c’est parti ! répondit-il en riant.

 

Dans l’ascenseur qui les menait à leur chambre, ils recommencèrent à se taquiner et se caresser. La robe froissée d’Aicha ne faisait plus vraiment rempart contre les mains de son amant qui exploraient fébrilement ses fesses. Il se plaça derrière elle pendant qu’elle ouvrait la porte, essayant de la perturber en collant son sexe dressé entre ses fesses. Elle arriva enfin à ouvrir et ils entrèrent dans la chambre. Son décolleté ne faisant pas vraiment barrière, il fut prompt à sortir ses seins nus de leur écrin. Plaquée contre la porte, elle le laissa lécher, mordiller et pincer ses tétons, se tortillant sous ses assauts. Elle adorait qu’il joue avec la frontière entre le plaisir et la douleur et commençait à être sérieusement excitée. Elle se dégagea de son emprise et le poussa sur le lit, sur le dos, tout habillé. Elle se mit à califourchon au-dessus de lui, les seins à l’air, impudique, et frotta son sexe trempé sur le membre qu’elle sentait à travers le jean.

 

  • J’ai excessivement envie de toi… lui murmura-t-elle à l’oreille.
  • Ah oui ? T’as envie de quoi au juste ?

 

Pour seule réponse, elle déboutonna son jean, le baissa juste assez pour qu’il soit à l’aise, puis s’empala sur son sexe dans un soupir d’aise. Il lui donna un grand coup de reins et se saisit de ses hanches pour lancer le début des hostilités. Il s’enfonçait en elle jusqu’à la garde, elle sentait son clitoris frotter contre le pubis de son amant et se sentait comblée. Il s’amusait à sortir d’elle presque complètement, ne laissant que son gland en elle, et reprenait son rythme infernal de plus belle. Elle se retira et finit de le déshabiller en laissant ses seins caresser son sexe au passage. Lorsqu’ils furent tous les deux nus, elle s’assit au bord du lit et l’attira entre ses cuisses. Il la pénétra de nouveau d’un seul coup, à genoux devant le lit, elle assise.

 

  • Je te baise assez sérieusement comme ça, là ? lui demanda-t-il, joueur.
  • Peut mieux faire… répondit-elle entre deux gémissements.
  • Tu vas voir, salope

 

Il la bascula en arrière de façon à ce qu’elle ne soit plus aux commandes, attrapa ses mollets et écarta ses jambes.

 

  • T’as envie que je te défonce, c’est ça ?
  • — Oui… gémit-elle.

 

Ses puissants coups de reins la poussaient en arrière sur le lit, ses mains étaient crispées sur les draps. Il lâcha ses mollets, qu’elle posa sur ses épaules, lui saisit les hanches pour la maintenir en place.

 

  • Jouis, Salope, jouis… laisse-toi aller…

 

Ses gémissements s’amplifiaient et il sentit les muscles de son vagin se contracter. Elle jouit intensément, se laissa submerger par cette sensation. Elle avait envie que ce moment ne s’arrête jamais et il resta immobile en elle un moment pour la laisser profiter. Lorsqu’elle reprit ses esprits, il la regardait avec beaucoup de tendresse en bougeant délicatement son sexe toujours dur dans le sien.

 

  • Merci… je ne sais même plus où je suis… lui dit-elle dans un souffle.
  • Moi je suis en toi, et j’adore ça. Tu es belle quand tu jouis, tu sais…
  • — Viens par là, j’ai une vengeance à prendre ! dit-elle en le faisant sortir d’elle.

 

Elle se redressa pour s’asseoir au bord du lit et il se mit debout devant elle. Elle le prit dans sa bouche, faisant jouer une langue mutine sur son gland, s’amusant à suivre les veines, glissant même le bout de sa langue dans son méat. Elle glissa sa main sous ses boules pour les caresser et intensifia sa caresse buccale, le prenant dans sa bouche en le regardant d’un air provocateur.

 

  • C’est assez salope pour toi ? lui demanda-t-elle avant de lui redonner un petit coup de langue.
  • Pas mal, oui… on traitera ton côté chienne plus tard, pour l’instant, suce…

 

Obéissante, Aicha fit glisser son sexe dans sa bouche en jouant avec la pression de ses lèvres. Elle fit un simple aller-retour en terminant par un baiser langoureux sur son gland, puis l’entoura de ses seins voluptueux. Elle prit les mains de son amant, les mit à la place des siennes pour qu’il contrôle lui-même cette caresse. Elle embrassait et léchait son gland tout en caressant les fesses de son amant de ses mains maintenant libres, le serrant contre elle.

 

  • Tu sais que j’adore ce genre de traitements, Salope… ça me donne encore plus envie de toi…
  • — Alors profite, je suis tout à toi, lui répondit-elle en ouvrant sa bouche, langue tirée.

 

Il la réinvestit aussitôt sans cesser de caresser et pincer le bout de ses seins. Sentant que son rythme s’accélérait, elle ferma les yeux et essaya de le reprendre au fond de sa gorge, mais en vain.

 

  • Pas grave, tu auras un défi tout à l’heure, t’en fais pas ! lui dit-il en souriant d’un air vicieux et en plaçant ses mains sur les cheveux d’Aicha.

 

Il lui donna un rythme soutenu, l’empêcha de se servir de ses mains et elle sentit qu’elle allait vite en avoir pour son compte. En effet, quelques instants de ce traitement lui suffirent et il se retira de sa bouche, se masturbant à quelques centimètres du visage d’Aicha. Elle ouvrit la bouche, le regarda dans les yeux et recueillit les jets chauds qui vinrent s’écraser sur son visage et dans sa bouche quand il se laissa aller dans un râle de plaisir. Il la regarda nettoyer le contour de sa bouche avec sa langue et avaler, elle lui déposa un dernier baiser sur le gland, puis il s’écroula sur le lit à côté d’elle.

 

  • Ah ben bravo, me voilà remaquillée ! lui dit-elle sur un ton amusé.
  • Tu l’as voulu, ma belle !

 

Elle l’abandonna un instant pour aller se rafraîchir et revint s’allonger à côté de lui. Ils s’assoupirent dans les bras l’un de l’autre, épuisés mais heureux.



Elle ouvrit les yeux en sentant la caresse de sa langue sur ses lèvres intimes, qui s’ouvraient à lui.

 

  • Voilà un réveil comme je les aime !, lui dit-elle en souriant.
  • Crois-moi, si je pouvais, je te réveillerais comme ça tous les jours… répondit-il en venant l’embrasser avant de retourner s’intéresser à son sexe.

 

Elle ferma les yeux, détendue, et se laissa faire. Il était étrangement doux et ses caresses s’apparentaient plus à des baisers légers qu’aux cunnilingus qu’il lui procurait d’habitude, l’idéal pour émerger en douceur et faire doucement monter l’excitation. Il commença à appuyer un peu ses coups de langue sur son clitoris et elle frissonna de plaisir.

 

  • Tu sais, je t’ai parlé d’un défi tout à l’heure ? lui demanda-t-il en relevant la tête un instant.
  • Voui…
  • — C’est maintenant.

 

Et il se tourna pour venir placer son sexe dans la bouche d’Aicha, coincée sous le poids de son corps. Elle essaya de le pousser un instant pour lui parler, mais il resta en place, ne lui laissant d’autre choix que celui d’accepter cette position. Résignée et amusée, elle prit son rôle à cœur et ouvrit grand la bouche pour pouvoir bouger sa langue autour du membre qui prenait toute la place.

 

  • T’embête pas, Salope, t’as rien à faire, c’est moi qui vais te baiser la bouche, lui dit-il.

 

Et il replongea vers le sexe d’Aicha, plus vorace cette fois. Il aspirait et mordillait son clitoris, cherchant à la faire se cambrer. Il enfonça trois doigts dans son vagin d’un coup, pris d’une furieuse envie de la baiser. Son bassin bougeait en rythme, enfonçant son sexe dans la gorge d’Aicha. Elle était partagée entre le plaisir et la difficulté à rester en place, se sentant étouffée par le sexe qui lui défonçait la bouche, son clitoris torturé par la bouche de son amant. Elle sentait le plaisir monter et essayait d’y résister, ne voulant pas lui donner cette satisfaction tout de suite. Il enfonça un doigt dans son anus, la prenant par surprise, et elle sursauta malgré le poids de son amant sur elle. Elle avait l’impression qu’il voulait la dévorer tellement il était brutal dans sa caresse. Il lâcha son clitoris un moment.

 

  • Tu verrais comme tu es trempée, salope ! lui dit-il en léchant ses doigts et en venant goûter son jus à sa source.

 

Elle gémit, seule réponse qu’elle pouvait lui donner dans ces conditions. Il continuait à s’enfoncer en elle, elle avait la bouche engourdie et avait plutôt envie qu’il dirige son énergie ailleurs que dans sa bouche, maintenant. Mais il n’en avait pas fini avec elle. Il enfonça à nouveau trois doigts en elle, brusquement, et elle sursauta.

 

  • Tu ne vas pas me dire que ce n’est pas ce que tu veux !
  • 

 

Pour seule réponse, elle souleva son bassin vers lui et il commença un va-et-vient brutal dans son vagin, remuant ses doigts, regardant, fasciné, comme ses chairs s’écartaient et se contractaient. Il posa simplement sa langue sur son clitoris et continua de la baiser de ses doigts. Il jouait avec la pression de sa langue, en oubliant même ses va-et-vient dans la bouche d’Aicha, laissant son bassin bouger plus doucement. Elle appréciait ce répit : même si sa bouche était toujours bien remplie, elle sentait le plaisir monter en elle. Il se retira d’un seul coup, la sentant au bord de la jouissance.

 

  • À quatre pattes ! lui ordonna-t-il d’un ton dur.

 

Elle obéit et le sentit s’enfoncer en elle d’un coup dans un grognement. Il lui tira les cheveux pour la cambrer un peu plus et elle gémit de plaisir. Il commença un va-et-vient brutal en elle, se retirant presque complètement et la pénétrant violemment. Il s’était tellement retenu dans sa bouche tout à l’heure qu’il n’en pouvait plus, il avait envie de la faire gémir, crier. Il passa une main sous elle pour lui pincer le bout des seins. Il passa ses mains sous les aisselles d’Aicha pour aller attraper ses épaules par en dessous et avoir une bonne prise. Son corps claquait contre les fesses de la jeune femme, il s’enfonçait au maximum en elle.

 

  • T’aime ça, hein ? T’aime être ma chienne ? lui grogna-t-il en lui tirant à nouveau les cheveux.
  • Oui… j’aime ça…
  • — T’es… à… moi… lui souffla-t-il, en se penchant pour qu’elle sentît son souffle contre son oreille.

 

Il savait qu’elle était très sensible aux mots et à la façon dont ils étaient dits. Elle lui avait confié aimer le sentir grogner, souffler dans sa nuque. Elle aimait le sexe bestial, elle allait être servie. Alors qu’elle venait à la rencontre de son sexe, elle se mit sur ses avant-bras, le sexe et le cul offerts. Il ne se fit pas prier pour en profiter et intensifia ses coups de reins, se retenant de jouir malgré son désir. Tout son corps se raidit et elle jouit dans un long gémissement. Il resta en elle mais arrêta de bouger pour la laisser apprécier le moment, puis s’écroula sur son dos. Elle se sentait bien, écrasée sous son poids, son sexe dans le sien.

 

  • T’en as eu assez ? Pas moi… viens… lui murmura-t-il en allant s’asseoir contre le mur, toujours sur le lit.
  • Je… J’arrive… lui dit-elle dans un sourire, les joues rouges, les yeux brillants et le souffle court.

 

Ils avaient tous deux envie d’un moment câlin, d’un peu de douceur. Elle vint s’asseoir sur son sexe, et resta là sans bouger, appréciant simplement sa présence en elle. Elle glissa ses pieds derrière le dos de son amant, assise en tailleur, les bras autour de son cou, le laissant la faire bouger comme il le voulait. Ils reprenaient tous les deux leur souffle et savouraient ce moment de tendresse. Il la repoussa en arrière pour qu’elle s’appuie sur ses jambes, approcha son visage de sa poitrine et l’embrassa. Elle gémit, l’encourageant, toujours groggy de l’orgasme violent qu’il venait de lui offrir, ses sensations décuplées, offerte.

 

  • Tu sais que je n’ai pas joui, Salope… lui dit-il, l’œil brillant.
  • Je sais… ce n’est pas faute d’y travailler, mais t’es résistant…
  • — J’ai très envie de t’enculer.
  • — Oui… mais j’aime tellement te sentir en moi, comme ça…
  • — Tu ne le regretteras pas, fais-moi confiance.

 

Il lui saisit les hanches et la souleva, la laissant à genoux au-dessus de lui. Il introduisit un doigt dans son anus. Aicha vint d’elle-même s’empaler sur son sexe dressé, sentant son petit trou s’ouvrir au gland inquisiteur, grimaçant un peu. Elle y allait doucement, savourant chaque centimètre qui la pénétrait. Il adorait se sentir serré comme il l’était. Lorsqu’elle eut terminé de le faire entrer complètement en elle, il introduisit deux doigts dans son vagin. Elle gémit, surprise de se sentir ainsi prise.

 

  • Je t’avais dit que tu ne le regretterais pas… lui murmura-t-il dans un sourire.

 

Il avait très envie de la prendre brutalement, mais il savait qu’elle avait besoin de douceur pour l’instant. Chaque chose en son temps… Il continua sa caresse, bougeant très lentement dans son anus et son vagin, la regardant frémir, découvrir de nouvelles sensations.

 

  • Je ne me suis jamais sentie aussi pleine… c’est bon… lui dit-elle avant de l’embrasser langoureusement, ayant envie de sentir leurs langues se caresser, de le sentir dans tous ses orifices.

 

Il accentua ses mouvements à la fois dans son anus et dans son vagin et elle gémit doucement. Elle avait l’impression d’être au bord de l’orgasme en permanence avec lui et elle adorait cette sensation. Il posa simplement son pouce sur son clitoris, bougeant doucement les doigts qui étaient en elle et pénétrant plus profondément son anus. Aicha se laissa faire, elle sentait un doux orgasme arriver. Elle gémit lentement, il la sentit se contracter et jouir intensément. Elle le remercia d’un baiser.

 

  • Merci… encore ! Mais moi aussi j’ai envie de te sentir venir.
  • — Il va me falloir un peu plus d’action, tu le sais… lui répondit-il en souriant, son sexe dur palpitant dans l’anus de la jeune femme.
  • Je suis ta salope… comment tu me veux ?

 

Il la fit se relever, la plaça debout face au mur, les jambes écartées, le dos bien cambré, et pénétra son anus d’un coup sec. Elle gémit et tendit son cul vers lui pour l’encourager. Elle avait très envie de le sentir perdre le contrôle à son tour.

 

  • Tu me rends fou quand tu es salope comme ça… j’ai envie de te défoncer…
  • — Mon cul est tout à toi… baise-moi.

 

Ses coups de reins étaient secs et violents, comme s’il évacuait toute sa retenue des moments précédents. Il grognait derrière elle et elle se sentait désirée comme jamais. Il lui attrapa les seins et les malaxa, s’accrochant à la poitrine offerte. Il colla son corps contre le dos d’Aicha.

 

  • T’es à moi, t’es à moi, ma salope, ma chienne… lui murmura-t-il à l’oreille.
  • Oui…
  • — Cambre-toi plus, t’aimes ça que je te baise, hein…
  • — Oui…

 

Elle obéit, recula un peu, le haut de son corps collé au mur. Il avait un accès total à son cul et ne se priva pas d’en profiter, lui donnant d’amples coups de reins. Ils étaient en sueur, leurs corps claquaient l’un contre l’autre. Il commença à grogner, à murmurer son prénom, comme s’il voulait graver cet instant dans sa mémoire, et il jouit dans le cul qu’il aimait tant. Il resta longtemps en elle, sur elle, appuyé comme il le pouvait, jusqu’à ce que leurs jambes ne les portent plus. Ils s’allongèrent sur le lit, reprenant leur souffle.

 

Ils restèrent un moment comme ça, nus, tranquilles, puis l’heure fut venue de repartir. Elle le déposa à la gare avec un chaste baiser sur la bouche, et il repartit, des souvenirs plein la tête.

 

 

 

Par Aicha
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