Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 18:56

Aicha est une joueuse et une jouisseuse hors pair. Elle ne recule devant aucun défi, elle trouve des défis toujours plus excitants à relever.

 

En ce soir de printemps, même si le temps est pluvieux et qu’il fait encore froid, sa sortie devrait lui plaire. Elle est invitée à une réception particulière. Elle ne connaît personne, ni le lieu. Va-t-elle relever ce nouveau défi ?

Comme pour chaque grand événement de ce type, elle s’est apprêtée comme il se doit. Après être passée au bain, enduite de crème et parfumée, elle est fin prête pour le relever. 

L’exhibition, elle aime ça. Si elle pouvait, elle passerait ses journées sans rien dessus, à se faire reluquer. Savoir qu’elle détient le pouvoir de faire bander les bites, ça l’a toujours excitée.

Le bain n’a pas ramolli ses désirs. Ses seins que le jet de douche a déjà stimulés, pointent encore et sont impatients de poursuivre les caresses. Que dire de son petit bouton, le rasage en règle autour de sa chatte et l’application délicate de la crème ne l’ont pas épargné. Il est rouge de colère qu’elle ait arrêté ses massages et le lui fait bien sentir. Elle l’aurait bien satisfait pour lui éviter la crise de nerf, mais à l’évidence le temps presse, et elle n’est pas femme à céder au chantage. 

Prise à son propre jeu et ne voulant pas perdre la face, entre deux halètements elle décida de ne pas mettre de culotte.

Elle poussa le vice encore plus loin, elle ne savait pas où elle allait, ni avec qui, ni ce que c’est, elle avait  un quart d’heure de marche. La seule chose qu’elle prit pour y aller, c’est son long manteau et une paire d’escarpins. À poil sous son manteau de fourrure, avec une paire d’escarpins de dix centimètres de haut et basta, comme une salope. Avant de partir, un ou deux verres d’alcool pour lui donner du courage et la réchauffer.  

Après avoir enfilé ses escarpins, elle contempla le résultat dans la glace du couloir. Perchée à dix centimètres du sol, ses jambes bien galbées remontent vers son petit cul tout bombé et provoquant.

 

  • — Pas mal, je devrais faire de l’effet ! pensa-t-elle

 

En passant une main dessus son petit cul, elle peut déjà sentir qu’il est chaud… elle passe ses doigts entre ses cuisses, ils s’enfoncent déjà tout seuls, happés par ta chatte.

 

Satisfaite de ses charmes mais excitée par la situation, c’est à regret qu’elle enfile son manteau. Après l’avoir ceinturé, elle est enfin prête pour passer le palier et affronter le monde extérieur.

À cette heure et à cette période, il fait nuit tôt. Quelques passants s’affairent ça et là pour aller manger, les rues des alentours sont sombres. Aucune personne ne semble s’apercevoir qu’elle est nue sous son manteau. En voulant mettre ses mains dans les poches, c’est la surprise : ses mains se retrouvent contre ses cuisses.

 

  • — J’ai les poches trouées, pensa-t-elle immédiatement.

 

Excitée par la situation, l’effet était agréable et cette situation pouvait laisser court à plein de choses…

 

Arrivée dans la rue principale de la ville, il y a foule. Les passants sont nombreux aux entrées des cinémas et devant les endroits de restauration rapide. D’énormes files d’attente entravent la rue piétonnière.

Elle s’arrête volontairement devant un des cinémas noir de monde. Les gens sont partout. Il y a des files d’attentes dans tous les sens. Elle se dirige vers l’affiche du film passant entre les gens.

Plantée devant l’affiche, un homme s’approche d’elle et lui commente l’affiche pendant que ses deux mains investissent ses poches. Bien vite Aicha comprend son film puisque l’une de ses mains joue à lui caresser la chatte. Le rôle de l’autre est plus obscur ; posée sur sa croupe, elle ne résiste pas à investir son derrière. Les caresses se font de plus en plus précises. Son petit bouton a repris sa dimension de croisière et semble apprécier le traitement. Ses fesses se détendent et sont tout aussi réceptives. Englués dans cette foule, personne ne se doute que l’homme la masturbe presque en public. Son doigté est incontestable, et le résultat s’entend. Sa respiration s’accélère et se fait moins discrète. Pas facile de se contenir quand le plaisir l’emporte petit à petit et irrémédiablement… 

Les doigts de l’inconnu s’affairent devant, derrière. Elle mouille de partout et de jolis filets coulent le long de ses cuisses. À ce stade, Aicha est hors de contrôle. Son manteau laisse maintenant apparaître un sein. Une de ses cuisses est aussi visible à qui veux bien regarder. Elle s’en fout, c’est trop bon, il faut que ça continue, elle n’en peut plus. Son halètement a conquis son premier spectateur. Elle a son premier ticket avec le mec de devant. Devant ce spectacle, il a les yeux exorbités. Plus la jouissance arrive, plus elle plonge son regard vitreux dans celui de son voisin pour décupler sa jouissance. Rien ne l’arrêtera, bien au contraire et si elle pouvait s’exhiber d’avantage et faire partager son excitation à toute la foule, elle n’hésiterait pas. Aussi, c’est sans broncher qu’elle lui laisse défaire la ceinture de son manteau. Il écarte sans vergogne les pans du vêtement pour libérer ses seins qui dardent, et mettre au vent sa chatte dégoulinante. Un deuxième inconnu est momifié. Les doigts défoncent toujours plus l’entrejambe d’Aicha. Soudain un orgasme électrocute tout son corps. Les doigts de l’homme sont les témoins privilégiés de ce séisme. Des spasmes la paralysent. Elle se mord les lèvres de plaisir.

 

Après ce violent coup de chaud, l’homme, bienveillant, la réajuste pour éviter un viol collectif. Elle aurait bien aimé, après ce hors d’œuvre, elle aurait bien fait ripaille avec une quinzaine de bites acquises à sa cause. Ce n’est que partie remise, elle continue son chemin.

 

Elle arrive enfin à destination. Après avoir sonné à la grille, elle pousse un immense portail en fer forgé pour se diriger vers l’immense porte d’entrée de cette grosse bastille. Le jardin semble bien entretenu, la maison est ancienne et cossue. Une musique feutrée se détache de la lumière rouge de l’entrée. Une jeune servante habillée juste d’un tablier de cuisine l’accueille. Outre sa courtoisie, Aicha peut observer l’absence de toute culotte et de soutien-gorge. Vue de dos, sa croupe est magnifique. Sa tenue n’est pas pour lui déplaire et Aicha a le regard malicieux et sans équivoque.

Les bruits provenant de la grande salle du fond l’alertent sur le nombre très important de convives.

 

  • — Voulez-vous bien me suivre, lui propose la serveuse.
  • — Avec plaisir, répond Aicha.

 

Elle ne peut qu’accéder à sa demande et suivre à la trace ce petit cul qui se dandine et qui la dirige tout droit vers un vestibule pour déposer ses affaires. Le nombre de manteaux confirme l’importance de la réception. Aicha sent monter l’angoisse de se retrouver toute nue sans son manteau dans un endroit totalement inconnu. 

La gentille hôtesse la sentant défaillir est là heureusement pour la rassurer.

 

  • — Ici, toutes les filles ont droit à des attentions particulières et vous n’avez pas été oubliée. Ce sont des gens très attentionnés qui vous attendent, madame.
  • — Ah bon et vous savez ce qu’ils vont me faire ? répond-Aicha un peu plus rassurée mais curieuse par autant de mystère.
  • — Madame est impatiente, ce ne sont toujours que d’agréables surprises, moi j’en redemande toujours, réplique l’hôtesse en lui demandant son manteau.
  • — Je n’ai rien dessous !
  • — Ce n’est pas grave, bien au contraire, ici vous n’en avez pas besoin. Votre charme doit être dévoilé entièrement, fait-elle en lui caressant le haut des épaules. Vous avez la peau douce et je vois que vos seins ont les mamelons déjà réceptifs.

 

Il est vrai que les compliments et les caresses appuyées de son admiratrice ne la laissaient pas indifférente.

 

Au fond du vestibule, une grande glace lui renvoyait son image et toutes les attentions particulières auxquelles elle avait droit. La boniche n’était pas du genre farouche. Elle connaissait les vertus de l’hospitalité. Après l’avoir bien chauffée par une série de caresses, elle avait pu remarquer l’attirance qu’Aicha éprouvait pour toutes les femelles en chaleur. La bonniche avait investi toutes les parties du corps d’Aicha qui s’en remettait entièrement à ses mains serviables. En pareille circonstance le petit abricot d’Aicha était toujours volontaire pour pointer le bout de son nez mais le plaisir fut de courte durée. La bonne mit fin volontairement au traitement.

 

  • — Veuillez vous tourner, lui demanda subitement la bonne. Je crois qu’on nous attend avec impatience.

 

Sur ces mots, elle lui présenta devant les yeux un bandeau qu’elle noua autour de ta tête. Dommage pour les caresses qui avaient bien commencé à lui chauffer le bas-ventre. Son bouton était déjà toute voile dehors prêt à tirer des bords. Il fallait encore se résigner et remettre le départ.

 

  • — Laissez-moi vous préparer, je n’en ai pas pour longtemps. Ces messieurs ont choisi une jolie tenue, je pense qu’ils ont eu bon goût, précisa la bonne.

 

Plongée dans le noir par son bandeau, tous les sens d’Aicha étaient en alertes. Elle reconnut des bruits de chaînes qui furent confirmés dès que l’on lui passa sa tenue. Même les yeux bandés, grâce au contact du métal sur sa peau, elle avait une petite idée de l’accoutrement. Certaines passaient autour de ses mamelons, d’autres s’étaient incrustés dans la raie de son petit cul et remontaient entre ses lèvres jusqu’à la taille. Quand sa gentille maîtresse eut enfin fini d’attacher l’ensemble en faisant bien pénétrer les chaînes dans les endroits les plus intimes, elle lui posa deux pinces avec un poids sur les tétons avant de la diriger vers la grande salle les mains liées par un bracelet.

 

En marchant, le dandinement des poids excitait au maximum ses tétons, le frottement du métal à l’intérieur de son sexe commençait son œuvre pyromane. Se sentir soumise et à la merci d’inconnus rajoutait à son excitation. Elle entra telle une esclave, dans l’arène.

 

À la vue d’Aicha, le brouhaha de la salle s’était arrêté net. Même si elle ne voyait rien, elle pouvait sentir les multitudes regards se poser sur elle.

 

  • — Je vous présente Aicha, cria son guide en la faisant tourner plusieurs fois sur elle même. Admirez la courbure de ce cul et cette chatte qui ruisselle déjà, fit-elle en lui passant les doigts entre les cuisses. Bientôt elle vous sera offerte ! Je vois vos queues, Messieurs, déjà sous le charme. Rendez-lui l’hommage qu’elle mérite. Elle est votre esclave ! Cette mignonne petite salope aime ça, précisa-t-elle en la tirant par les bras vers le fond de la salle.

 

Tous les gens s’étaient réunis autour d’Aicha et faisaient une longue allée pour la laisser passer. Elle ne pouvait voir cette haie d’honneur mais déjà elle pouvait sentir les attouchements et autres lanières qui la caressaient à son passage. Plein de mains se posaient sur son corps. Elles réclamaient leur offrande.

Arrivée au fond de la salle, sa maîtresse lui fit monter un petit escalier qui menait à une estrade. À chaque marche, les poids placés sous ses tétons tiraient ses seins vers le bas, les chaînes échauffaient agréablement les alentours de son entrejambe et son abricot s’excitait tout seul avec la chaînette qui se balançait dessus.

 

Arrivée sur l’estrade, un colosse habillé de cuir lui attrapa les poignets pour les attacher à une corde reliée à un treuil. Son hôtesse était toujours là et n’en perdait pas une miette. Elle semblait déjà jouir de la situation.

 

Quand le treuil fut actionné Aicha partit en avant puis fut positionnée à la verticale de la machine. Le colosse jouait de son pouvoir avec délectation et la positionna presque en équilibre sur la pointe des pieds tout ton corps étiré vers le haut.

 

Exposée de la sorte, elle était entièrement à leur merci. Pour vérifier la justesse de son réglage, son bourreau lui caressa les seins de bas en haut puis de haut en bas en tirant vigoureusement sur la chaînette qui descendait des mamelons. À ce stade d’excitation, la douleur se transforme en plaisir et Aicha ne pouvait dissimuler son trouble. Les grosses paluches de son maître descendirent palper vigoureusement l’intérieur de sa chatte. Elle n’en demandait pas tant. Ces quelques caresses étaient électrisantes. Se sentir à la merci et si impudiquement exposée l’excitaient de plus en plus. Elle ne pouvait le voir lui et tous les autres, aussi elle s’en remettait uniquement à son unique sens disponible : le toucher.

 

Satisfait de la marchandise il s’écria :

 

  • — Elle mouille la cochonne, il faut lui donner une punition.

 

Toujours entre appréhension et excitation Aicha était maintenant prête à tout accepter.

 

  • — Le fouet, décida-t-il d’une voix rauque.
  • — Oui, le fouet, s’écria la boniche.
  • — Oui, le fouet, reprit l’assistance.

 

La sentence fut immédiate et le colosse se dévoua pour jouer le bourreau. Aicha ne l’avait pas encore vu, et très peu entendu mais elle imaginait le personnage : grand, baraqué et viril. Les lanières d’un petit martinet claquaient maintenant sur ses fesses. Ce n’était pas la grosse correction, mais juste ce qu’il faut pour échauffer encore une zone fortement exposée. Les lanières lui caressaient les fesses, une fois à gauche, une fois à droite et remontaient de temps en temps entre les jambes pour venir claquer sur sa chatte. Ses beaux seins en poire n’étaient pas épargnés et subissaient une flagellation croisée des lanières jusqu’au bout des tétons. À l’évidence le colosse n’était pas un débutant et connaissait la musique. Entre deux mouvements, son tortionnaire marquait une courte pose pour venir lui caresser les fesses ou lui introduire ses gros doigts de bûcheron entre les cuisses. La chatte d’Aicha mouillait de plus en plus et de fines gouttelettes perlaient sur ses jambes, signe que son châtiment ne lui procurait pas que des rougeurs sur le postérieur ou sur les seins.

 

Après un bon quart d’heure de ce traitement son bourreau s’écria :

 

  • — Je crois que ça suffit, la cochonne est à point, vous pouvez venir constater.

 

À ces mots la « bonne » enleva sa tenue et ses chaînes tout en conservant son esclave attachée au bout du treuil et maintenue sur la pointe des pieds. Livrée en pâture à toute l’assistance, plein de mains s’agitaient sur le corps d’Aicha. Elles prenaient possession de son corps, la caressaient, la soulevaient. Son sexe était investi de toute part, ses seins étaient la proie d’une pieuvre aux multiples tentacules, sa bouche avait même quelques doigts à sucer, Aicha était caressée dans tous les sens et de partout. Les yeux encore bandés rendaient son supplice encore plus exquis. Elle pouvait laisser libre court à son imagination. Après un tel traitement, il y avait bien longtemps qu’elle avait laissé sa pudeur au vestiaire. Une véritable cochonne prenait possession de son corps.

 

À côté des caresses, certains commençaient à lui introduire des doigts, puis des godes prirent possession des lieux. Aicha ne pouvait voir mais  était possédée par le plaisir. Elle aurait voulu toujours plus.

Sentant son plaisir monter dangereusement, un des plus vicelards lui détacha les mains, enleva son bandeau puis l’étala sur le dos sur une grande table de banquet en contrebas de l’estrade. La surprise d’Aicha fut de taille, il y avait bien une vingtaine d’hommes nus autour d’elle, avec des queues toutes plus grosses les unes que les autres. Ses yeux n’en n’avaient jamais vus autant.

Toutes bandaient et étaient tendues comme des arcs, prêtes à lui lancer leurs flèches. Certains mâles impatients commençaient à se branler à quelques centimètres d’elle. L’odeur de sperme montait. Devant un tel spectacle, la salope était à son affaire. Sucer, aspirer, branler, mordre, elle ne savait plus quelle queue prendre pour se goinfrer de bites.

 

Les jambes en croix, écartelée par deux molosses, la chatte d’Aicha subissait toutes les effractions imaginables de doigts et d’objets divers. Ses seins étaient étirés par les pinces toujours rivées à ses tétons. Son petit trou bien rouge, était sondé par une poignée d’explorateurs toujours en manque de sensation. Bref, la cochonne avait ce qu’elle voulait, des bites et des mains à son service et pour son plus grand bien…

 

Après toutes ces caresses, l’assaut fut lancé. Aicha avait maintenant une pénétration en règle de toutes ces queues, enfin celles qu’elle pouvait encore engloutir ou satisfaire. À quatre pattes, une dans le cul, une autre dans sa chatte, elle continuait à sucer et à branler vaillamment toutes les bites qu’on lui présentait. Son excitation culminait comme jamais. Complètement libérée et à la recherche du plaisir absolu elle s’était métamorphosée en une admirable cochonne. Une pure salope. Une merveille du genre.

Quelques indicateurs ne trompaient pas. Sa chatte coulait comme une fontaine, son cul se bombait comme jamais pour défier la bite. Ses cris de plaisir retentissaient dans toute la salle. Aucun doute, elle avait envie d’être défoncée par tout ce troupeau de mâles et elle était prête à aller tirer jusqu’à la dernière goutte de sperme.

 

Après tous les coups de butoirs, après autant de queues la défoncer, le plaisir monta inexorablement jusqu’à électriser tout son corps. Arrivés à leur fin, ses assaillants l’inondèrent de leur semence. Une bonne vingtaine de queues crachèrent leur plaisir sur sa figure. Abreuvée de sperme, elle s’en léchait les babines jusqu’à la dernière goutte.

Malaxée dans le sperme, encore quelques spasmes résiduels résonnaient encore dans son corps. Les quatre pattes en l’air, elle puisait encore dans ses dernières réserves pour sucer quelques bites ramollies dans l’espoir de leur soutirer encore du plaisir pour un second tour.

Comme pour marquer la fin de la partie, de l’eau inonda la table. La bonne, un jet à la main, l’arrosait à grande eau. Outre l’effet lavant, le massage à l’eau était bienvenu.

Impudique, et pour défier son hôte, Aicha écartait grand ses jambes. Le compas à fond, la vue était admirable. L’autre cochonne insistait bien avec le jet, là où ça faisait du bien à Aicha. L’effet du jet sur sa chatte et sur son petit trou était des plus agréables et elle sentait déjà l’orgasme renaître.

À la voir faire avec son jet, la salope n’avait pas dû avoir son compte et Aicha l’intéressait. Avec son jet, elle jouait au pompier de service. Le geste alerte et après quelques mouvements rapides de haut en bas avec le jet sur le sexe et le con d’Aicha, la boniche mettait la pression sur le petit trou qui n’en demandait pas tant. C’était une vicieuse qui la masturbait au jet, en plein public. Le fait d’être encore exposée au beau milieu d’une salle dans cette orgie l’excitait toujours.

Plus l’excitation montait et devenait insupportable, plus Aicha lui tendait insolemment sa chatte. Haletante, elle l’implorait de lui donner le coup de grâce.

 

La délivrance ne tarda pas. Un des tortionnaires se saisit d’un cierge et l’introduisit tel un gros phallus dans son petit trou. Les va-et-vient étaient dévastateurs de plaisir, de plus, en même temps, la bonne continuait à lui exciter la chatte avec son jet.

Avec ce traitement de choc, Aicha ne résista pas plus de cinq minutes. Une série de plusieurs spasmes lui secoua tout le corps. Elle avait son compte. Quoique…

 

Par Aicha
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