Mardi 24 janvier 2 24 /01 /Jan 20:50

Aicha vous propose ce soir une petite poésie érotique et un texte écrit ce soir ; n'est ce qu'un rêve ? ou une aventure vécue par Aicha ? à vous de le découvrir ... à bientôt...l'envie d'écrire est revenu pour Aicha...

 

 

 

 

Souvenir

 

C’est sous la douceur de ta main,
Que mon corps s’est éveillé ce matin.
C’est sous la chaleur de tes doigts,
Que mes seins ont trouvé cet émoi.
C’est sous la tiédeur de ta langue,
Que ma fleur a pris ce goût de mangue.
C’est sous la raideur de ta virilité,
Que le plaisir a jailli de ma féminité.

 

hvktkzb7

 

Le rêve

 

Je fais régulièrement ce rêve où je m’abandonne délicieusement à toi.
Je suis étendue sur le lit, une lumière naturelle est projetée dans la pièce.
Tu es d’abord par-dessus moi, un genou de chaque côté de mes hanches.
Je suis nue, toi pas.
Tu me caresses doucement le visage, descendant les mains le long de ma gorge comme si tu allais la serrer. Tu empaumes mes seins, voluptueusement érigés vers toi. Tes caresses se font plus pressantes.
Tu te retires de mon corps, me prenant par la taille et me retournant.
Je gis sur le ventre t’attendant, te réclamant.  Tu t’es levé, fouillant la commode.
Tu en sors quatre foulards aux couleurs du temps. Noir, gris, blanc et bleu.
J’aime le ballet de l’étoffe dans tes mains puissantes.
Le premier est passé autour de mon poignet gauche, tu me regardes, attendant mon consentement. Je me laisse faire, adorant déjà rien que l’idée d’être à toi.
Le lit en fer forgé accueille le nœud du tissu, puis un autre.
J’ai les bras légèrement étirés, me laissant toujours du mouvement pour le corps.
Tu saisis le troisième foulard, tout en longueur. Tu prends une de mes chevilles, tu y portes la bouche, l’embrasses et l’entoures. Tu recommences la même démonstration pour la deuxième cheville. Tu ne m’as pas encore complètement attachée au lit, savourant mon attente, mon impatience.
J’ai envie de crier, " continue, je veux être à toi ", mais ton silence religieux m’intime à me taire également. Tu te décides et m’enserres au lit. Jambes et bras écartés. Nue, abandonnée à tes désirs.
Cette idée éveille une foule de sensations en moi. Du désir charnel.
Je n’ai jamais été attirée par le bondage, ce savant jeu de cordes. Dans ce cadre intime ce jeu devient très excitant.
Tu te lèves de nouveau, tu t’huiles les mains. J’adore l’odeur qui se répand dans la chambre. Tu commences par me masser les épaules, promenant tes mains vers mes côtés, cherchant à caresser les seins acculés au lit. Tu descends doucement vers ma taille, vers ma chute de reins. J’ai envie de cambrer mais il m’est impossible de bouger autant. Juste quelques petits soubresauts m’animent.
Tu malaxes les fesses, pétrissant voluptueusement chaque centimètre carré.
Tu les écartes, ne perdant rien du spectacle offert.  Tu passes la main plus profondément, cherchant à écarter tous les endroits. L’humidité a gagné le terrain.
Tu en profites, largement, délicieusement. J’ai encore envie de te crier mon envie de toi. Tu progresses dans mon désir. Les pas de tes mains se font plus rapides, plus entreprenants.
J’entends un bruit de tissu, tu te mets enfin à l’aise, te couches sur moi, tu me pénètres. C’est tellement bon que je ne retiens plus le son qui sort de ma gorge.


Là, je me réveille. Je passe la main dans mon intimité. Humide.

Ce rêve me donne à chaque fois une envie folle de toi….
Viens….

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 28 décembre 3 28 /12 /Déc 21:10

Aicha vient vous souhaiter une bonne année 2012, voici un petit texte de sa composition , elle ne vous oublie pas ....

meilleurs voeux à tous

3048b422-m           artimage 384516 3105449 201012175124712

 

J’ai pour toi bien plus de désir que celui de séduction, celui que j’accorde aux autres par compassion, et non par intuition.

Assise, face à toi, trop sagement pour toi, mes jambes croisées, chevilles fines enlacées de féminines brides, je perds tous mes moyens de femme fatale.

Mon cœur enchâssé dans ma poitrine vibrante, réclame de ton regard l’harmonie amoureuse d’un patient amant.

Dans la pénombre de ce salon où tu m’as invitée, ton ombre se dessine, non pas rassurante, mais plutôt punitive, presque vindicative.

Tétanisée de désir pour toi, j’en oublie tous ces codes, devrais-je dire ces règles que tu m’as inculquées pour mieux me malmener.

 

« J’aime les femmes coquines, ces femmes qui lancent du reflet de leurs yeux des prières assassines, qui savent relever leurs jupes pour poser leur cul presque nus sur le cuir glacial ou brûlant d’un fauteuil club ou d’un canapé Chesterfield, qui savent suggérer un entrecuisse tiède et moite prêt à accueillir des doigts audacieux, curieux de la discrète.»

 

Tes mots résonnent. Tes amantes, tu les aimes insolentes et non soumises, et soumises pourtant.

Je t’aime en mâle dominant, je te veux Maitre et moi soubrette, je t’aime guerrier et conquérant, assaillant, agresseur de mon corps et de mon âme pour en jouir à ta merci. Ton regard insistant réclame en silence un effeuillage en règle.

Viscéralement attachée à tes désirs lubriques incendiaires, je décroise mes cuisses. Une fente judicieuse d’une jupe couture te dévoile complice la jarretière de mon bas, une invitation discrète ou une condamnation à poursuivre sans détour ce déshabillage intègre conforme à tes envies.

Sous le léger voilage à pois que tu m’as imposé, tu devines, peu sages, le galbe de mes seins et leurs pointes érigées, avides de tes lèvres, des morsures de ta bouche …

Tu t’approches, sensible à cette invitation…de la paume de tes mains tu titilles mes tétons, implorant dans cette excitation que s’entrouvrent mes cuisses sur d’autres horizons …

Ma soumission t’excite, illumine ton regard, érotise ta queue, impudente, érectile à portée de mes doigts …

Tu cherches à me soumettre à ta virilité, mais la fièvre audacieuse que tu m’as insufflée, se propage généreuse jusqu’en mes reins cambrés.

Tu ne m’aimes pas nue, juste à peine vêtue de lingerie révélatrice de ma féminité.

Ma jupe respecte la volonté de ta loi. Elle glisse sur mes cuisses avec un naturel que tu trouves obsédant, avant que d’atterrir sur le parquet ciré, comme un trophée gagné par ton air conquérant. Ton regard en ce sens, semble oppresser mon âme, réclamer indécent, abandon et dévouement …

Ma conduite est celle à laquelle tu me destines, j’en souffre et j’en jouis, douloureux sentiment …C’est dans ces doux instants que tu m’estimes tant, amante lacérée, maitresse aiguillonnée par le désir de toi ….

Inutile d’entreprendre de me défaire de mes bas, inutile de jouer les séductrices effeuilleuses en libérant la soie de leur petite attache. Le galbe de mes jambes de voile noir gainé, la rondeur de mes hanches du porte jarretelle ceinturée, et la rotondité de ma lune cadrée entre les jarretelles exaltent ton émoi à vouloir me cambrer, claquer de ton bassin ma chute de rein.

Le Corset seins nus, gothique victorien en étoffe brochée de soie, ta dernière acquisition pour moi, exhibe ma poitrine comme un appas digne des locataires des maisons closes du XVIII ème !

J’aime à être fourvoyée sur tes chemins licencieux, devenir pour un soir, peut-être pour une nuit ton Amour et ta Putain, me livrer sans vergogne à toutes tes envies des moins insolites aux plus dévergondées. Tu ne ménages pas le voile de mon corsage, dans un geste de rage tu l’arraches à ma peau, l’improvises bandeau.

Ton souffle sur mon cou, tes murmures en écho au creux de mes oreilles, tu voiles mon regard suppliant tes égards d’amant converti en voyeur perverti.

Les quelques grammes de soie qui voilent mon éros, ne résistent pas mieux à l’audace de tes doigts. Ils en délient les liens de dentelle noués, avant que de faire glisser le triangle de mes effluves parfumé.

Tu sondes mon intime d’un pouce inquisiteur, en recherches la moiteur, en exalte les ardeurs. D’une langue gourmande tu abreuves ta soif, de ce nectar propice à te mettre aux abois.

Mais en Maitre des jeux de nos instants complices, tu interromps le vice de ton baiser de feu dans ma fente trempée. Sans préavis comme un supplice, tu deviens à présent l’instrument de mon désespoir !

Je te désire en mon calice. Mais ton autorité me rappelle à mon serment d’allégeance et au pouvoir absolu que tu m’inspires.

« Mets-toi sur le lit, sur les genoux, assise sur tes pieds, cambre toi, offre ton sexe sans pudeur à mon regard délictueux ! J’ai un cadeau pour toi ! Ce soir nous serons deux pour toi »

 

Offerte à tes envies, la peau de mes fesses meurtrie par les aiguilles de mes talons, le sexe ruisselant de cyprine, une jouissive soumission m’envahit, alors que la rigidité épaisse d’un étalon prend possession sans ménagement de mon intimité. Un olisbos de bois juste sculpté pour moi, à la taille de mon sexe et de ma gourmandise, prend possession du vide que je te destinais. Tu diriges tes gestes dans ce fourreau de soie, avant de m’inviter à prendre le relais 

« Caresse- toi pour moi »

Dans le ronronnement de mes gémissements que m’arrache le phallus de bois de cerisier, je m’entends murmurer mes envies sodomites, mes envies de jouir par toutes mes cavités. De mon étoile brune tu sculptes l’orifice à la taille de ton dard, puis pousse le malicieux dans l’étroitesse divine, t’y installes voluptueux en va et vient soyeux …

Je jouis du délice du suprême supplice d’être en double possédée, comblée de turpitude du vice amoureux de tes mots proclamés

 

« Je t’aime ma coquine, je t’aime ma putain, ma si gourmande maitresse, je suis si bien entre tes reins. »

 

Mon esprit se dérobe, meurtri de jouissance, il rejoint ta présence campée au fond de moi, lorsque de ton orgasme tu éclabousses ma lune, mon sexe encore possédé de ton cadeau de roi !

 

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Jeudi 15 décembre 4 15 /12 /Déc 19:30

Pourquoi  veut-il la donner ? 

Il ne sait pas ce qui se passe, quel vice le pousse, ni quel désir le taraude si cruellement.  Pourtant il l’aime.  Mais il veut l’offrir. Il veille sur elle et y tient vraiment.  Il veut qu’elle s’offre. En rêve, elle l’a trompé plus d’une fois et cela lui plaît. Cela l’excite, le fait bander et même… jouir. Il lui a dit et Aicha a aimé. Ça l’a excitée et même… fait jouir.

Il  lui a raconté dans le détail la vision terrible qui l’assaillait régulièrement.

 

Il lui  raconte qu’ils se retrouvent seul couple, dans une soirée qui se déroulait dans une demeure au fond d’un bois. Il lui explique combien les regards des hommes présents n’exprimaient que du désir. Un désir sexuel. Des fauves devant une antilope ! Quant à lui, il était comme invisible. Personne ne le remarquait. Les hommes osaient tous les mots, tous les regards en sa présence.

Cette situation l’irritait.

Aicha  riait à gorge déployée aux propos d’un éphèbe blond dont la chemise blanche ouverte, sous une veste de smoking noire, laissait voir un torse lisse.

Il lui répétait son irritation. Elle lui tourna le dos et une main se posa sur ses reins. Aicha riait. Les hommes l’entouraient, le repoussant loin d’elle.

Il  voulut l’attraper par l’épaule, ses doigts effleurèrent à peine sa peau. Une main fit glisser la bretelle de sa longue robe de soirée.

Il  voulut fondre vers elle, repousser l’intrus, mais en fut incapable. Une bouche se posa dans son cou.

Aicha aimait ça, il le savait ! Elle laissa sa tête tomber en arrière, offrant sa gorge.

La nuée de mâles la cachait. Il entendait son rire sonore, et des « oh », des « ah » de contentement. La grappe bougea.

Là, sur le parquet ciré. La  robe  d’Aicha !

Il  vit à son regard Elle sourit à l’idée de se retrouver nue au milieu d’un groupe.

Elle était entourée de cette nuée. Entre les dos des costumes sombres, il voyait son corps nu, perché sur des hauts talons. Ses belles fesses ondulaient, une main les flatta.

Il s’approcha d’elle et lui dit combien cette vision le faisait bander.  Il était excité, paralysé mais il bandait !

La musique s’éleva. Une valse ! Le cercle s’écarta et il la vit, collée à un brun ténébreux, se mettre à danser. Le cercle de mâles fermait la piste de danse. L’homme, une main posée au creux de ses reins, l’attirait vers lui, collant ses seins contre son torse nu. À chaque rotation, la main descendait. Sur la fesse. Il lui murmurait des choses, elle riait. Elle s’écarta de lui à la fin de la danse, ses tétons étaient durs, pointés.

Un autre homme lui tendit une coupe de champagne. Il ne portait plus rien. Elle le remercia d’un regard appuyé et contempla le corps d’athlète. Des pectoraux puissants, un ventre sculpté. Un pubis lisse. Une queue raide, proportionnée, un gland bien renflé.

L’homme lui prit la coupe vide et la jeta loin. Il l’enlaça et au son d’une nouvelle valse, ils se lancèrent dans une ronde infernale. L’homme plaquait son bas-ventre et cette queue contre elle. Elle le regardait avec envie. Elle ne faisait rien pour échapper aux attouchements de cette virilité tendue. La valse s’acheva et les corps se séparèrent. L’homme bandait encore plus.

Alors qu’un autre cavalier la retournait pour l’enlacer, le danseur nu, se plaqua contre elle, contre son dos, embrassa son épaule. 

Il avait pu voir les deux mains venir se poser sur ses seins généreux aux tétons encore saisis de plaisir. Le sexe triomphant se plaqua contre les fesses.

Aicha laissa sa tête retomber contre l’épaule de son dernier cavalier. Le nouveau venu observa l’étreinte, avec un sourire de carnassier, une lueur vicieuse dans les yeux.

 

Pendant qu’il racontait leur aventure, Aicha passa sa main sous sa jupe, ses doigts écartèrent le triangle de dentelle. Stimulé par le récit et par le plaisir qu’elle semblait y prendre,  il défit sa braguette et extirpa difficilement sa hampe raidie.


Le danseur regarda les seins que pétrissaient les mains. Il regarda la bouche entrouverte, les yeux brillants. Il s’approcha. Sentant ce contact, Aicha lança ses mains vers la fermeture du pantalon de smoking et, fiévreusement, la défit. Quand sa main disparut dans le pantalon, il avait voulu s’élancer mais il était sans force et ce qu’il voyait le captivait. Vice et morale se livraient une bataille féroce. Le vice semblait avoir l’avantage car sa queue tendue était sensible au frottement de son vêtement, il se sentait excité.

Aicha ressortit sa main tenant une nouvelle hampe. Elle l’attira contre son ventre. Les deux hommes se pressaient contre elle. L’homme face à elle se débarrassa de ses derniers vêtements. Le trio, ivre de désir, se déplaça sans se désunir vers le buffet. Ils la couvraient de baisers passionnés, la palpaient, elle se laissait faire, elle aimait ça. Aicha regarda son compagnon et lui sourit pendant que les deux hommes la couchaient sur la nappe blanche. Sa tête pendait dans le vide.

Toujours à écouter son récit, Aicha passa son autre main sous son chemisier et sous le tissu, se saisissait d’un sein. Les yeux toujours clos, elle avait un sourire qui lui donnait envie de tout lui révéler. Elle écarta largement les cuisses et lui dit de poursuivre…


L’un des danseurs se mit debout en face d’Aicha. Sans ménagement, il écarta ses cuisses. L’autre, allongé à côté d’elle, le sexe tendu sur son ventre, lui caressait les seins en lui murmurant des mots à l’oreille. Elle ondulait sur la nappe et ne fit rien pour refermer le compas de ses jambes. Les convives, alléchés par le plat, formèrent un nouveau cercle coupé par la table. Il vit, surgir des pantalons, des sexes tendus pour un hommage à son corps. À quelques centimètres de son visage, les hommes distingués exhibaient leurs virilités triomphantes et conquérantes. Elle les regardait. L’homme aspira un téton, elle se cambra. Le second se pencha pour poser sa langue en haut de sa fente dévastée par le désir. Il put voir parfaitement combien son corps aimait la situation. Sa source trempait son sexe. Sa main libre appuya sur la tête.

 

Sur le canapé Aicha  glissa un doigt en elle et se mordit la lèvre. Elle eut un spasme. Elle voyait tout. Elle s’y voyait. Lui  massa doucement son sexe dont le gland luisait…

Un gland se posa contre sa joue. Aicha tourna la tête, bouche ouverte pour attraper cette queue sans visage. Ce n’était qu’une queue parmi tant d’autres qui se tendait vers elle. Elle l’avala à moitié. À genoux devant son ventre, les mains soudées à ses hanches, l’homme donnait des coups de langue entre ses lèvres détendues, qui avaient renoncé à la fermer. Ses bras se lancèrent dans la grappe de corps et elle se saisit des queues qu’elle trouva.

L’homme couché sur la table lui léchait les seins, aspirait ses tétons. Sa main retenait une cuisse pour l’ouvrir totalement. La bite allait et venait dans sa bouche. Ses deux mains masturbaient deux autres sexes. Aicha  gémissait, son compagnon la voyait offerte, agitée de spasmes de plaisir.

L’homme agenouillé se releva. Il approcha son gland de son sexe. Il le posa entre les lèvres et tout doucement, avança. Le fruit rouge ouvrit la chatte trempée et disparut, se faisant happer. La hampe disparut à la suite. Son cri fut étouffé par une nouvelle queue qui prit possession de sa bouche. Elle suçait avec passion. L’homme qui la baisait était planté tout au fond de son ventre. Alors, il commença à aller et venir en elle.

Elle le suça avec talent car soudain  un jet de semence atterrit sur ses seins.

À l’évocation de cette éjaculation, Aicha glissa un deuxième doigt en elle. Elle ouvrit fiévreusement son chemisier pour lui dévoiler le sein dont elle pinçait le téton. Il lui dit qu’il aimait la voir jouir, s’offrir comme une chienne. Elle eut un sursaut. Allait-elle jouir ?

Allait-il jouir aussi ?

La queue jouisseuse fut vite remplacée par une autre. L’homme donnait des coups de reins de plus en plus violents, regardant son sexe perforer le ventre offert. Et soudain, il se cambra toujours planté en elle.. Il était en train de se répandre dans le ventre aimé. Il souillait de son plaisir, le corps d’Aicha et son compagnon aimait ça. Il voulait voir, en voulait encore, encore un, vite ! Ses vœux vicieux furent exaucés car un nouvel amant vint prendre possession de son sexe. L’homme, au départ allongé sur la table, était maintenant à genoux. Aux premières loges, il assistait à l’orgie. Il se caressait. C’était la place de l’homme d’Aicha, il aurait dû être là. Ivre d’un désir sauvage, il franchit le cordon d’invités et se retrouva à sa place.

En suçant une nouvelle queue, Aicha plongea son regard dans le sien. Elle le vit caresser son sexe, trahissant ainsi son excitation.il  regarda longuement la bite glisser en elle puis reporta son attention sur sa langue qui lapait un gland turgescent et coulant. Un jet de semence jaillit et tapissa ses lèvres. Gardant ses yeux fixés sur son homme Aicha passa sa langue sur ses lèvres et avala le plaisir d’un inconnu. L’homme qui la baisait était sorti du ventre et faisait coulisser sa hampe entre les lèvres gluantes. Il jouit abondamment sur son ventre.

  

Aicha commençait à onduler dans le fauteuil. L’évocation de ces amants multiples, sans visage la rendait folle de désir. Les doigts de son compagnon s’étaient enroulés autour de sa queue et la massait sur toute la longueur. Il était en feu !

 — Je veux te voir baiser, dit-il plus fort.

— Oui, je le veux aussi, murmura-t-elle.

Son poignet cassé entre ses cuisses témoignait de la profondeur de sa caresse. L’autre main avait abandonné le sein et le majeur tournait sur le clitoris. Elle allait jouir de mes mots. Il jouit de son aveu, se répandit en flots abondants de semence qui glissa sur ses doigts crispés sur son gland.

Aicha gémit et resta immobile, pâmée dans un orgasme énorme.

— Encore… souffla-t-elle.

 

JOYEUX NOEL A TOUS

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 23 novembre 3 23 /11 /Nov 18:58

Bonsoir , revoila votre Aicha préférée qui n'a guère de temps pour vous écrire des textes voici malgrè tout 3 poésies érotiques pour vous mettre en appétit et ne pas vous faire oublier sa littérature...elle ne vous oublie pas promis !

 

Aventure

 

Au-delà des limites, au-delà de ce que je sais être bon pour moi, je me glisse dans un état d’attente et de folie.
Envie de toi? Vraiment de toi?
J’ai envie de te sentir en moi, durcir et me désirer.
Prendre mon corps dans un élan de pouvoir et de possession.
Me sentir tienne, pour l’espace de quelques instants, bercée dans tes bras, embrassée de tes lèvres pleines.
Agripper tes cheveux, te regarder dans les yeux.
Embrasse-moi, pénètre-moi, viens en moi, berce mon corps de tes élans passionnés, sois fou de désir.
Que ton corps qui enveloppe le mien m’apporte loin d’ici ; Fais-moi jouir et me sentir femme !

 e9280a2b

Frissons

 

C'est au son d'une note de musique que nos corps s'enflamment, se donnent
jouant d'un même accord.
Mes yeux pétillent quand de ta bouche tu viens exacerber mon intimité.
Sentir tes mains glisser sur ma peau comme l'eau descendant un cour d'eau,
j'en frémis et te supplies de ne pas t'arrêter.
Je me consume quand tu explores de ton organe renflé ma douce cavité humide et brûlante qui ne demande qu'à exploser.
Il n'est plus beau moment que deux corps repus d'amour allongés l'un contre l'autre, s'adonnant à quelques caresses d'apaisement.

 

e9280a2b

 

Sous la douche

 

J'étais seule sous la douche, les yeux fermés, lorsque j'entendis la porte s'ouvrir et des pas se rapprocher derrière moi.
Je sentis des mains se poser sur ma poitrine puis descendre délicatement jusqu'à mes hanches, me caresser sensuellement, glisser les doigts jusqu'à mon intimité.
Ensuite je fus retournée brutalement.
Il rapprocha son visage du mien, je fermais les yeux.
Et là, je sentis son souffle chaud contre mes lèvres bientôt remplacé par sa langue les caressant.
Ses dents qui s'affairèrent maintenant, me firent perdre toute résistance,
mordillèrent mes lèvres rougis par ses morsures.
Je laissai échapper un gémissement, il en profita pour infiltrer traîtreusement sa langue dans mon antre.
Soudain, malgré l'eau qui coulait, j'entendis un bruit assourdissant.
Lorsque j'ouvris mes yeux, je me rendis compte que j'étais toujours seule sous ma douche.
Quelqu'un frappait à la porte...

 

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mardi 1 novembre 2 01 /11 /Nov 23:33

Aicha revient avec cette courte histoire

 

Aicha et les pompiers

 

Aicha et son ami pratiquent le libertinage et il aime la voir donner du plaisir aux hommes.
Après avoir fait la connaissance de 2 pompiers et échangé leurs numéros de téléphone, ils conviennent d'une nouvelle rencontre insolite.
Le lieu: leur caserne le soir où tout est plus calme.
Le scénario était arrangé avec eux: 4 pompiers pouvant utiliser Aicha comme bon leur semblait, celle-ci souhaitait servir de vide couille et son désir également était de se faire enculer par de beaux mâles.
Le soir venu Aicha portait une robe noir sans rien dessous (à quoi bon?) elle avait la chatte entièrement rasée .

Arrivés devant la caserne un des pompiers est venu les chercher, et les a faits rentrés dans une pièce sombre et discrète qui devait servir de salle de réunion en journée. Un matelas était installé à terre.
A ce moment là 3 autres pompiers, très beaux sont arrivés (ils étaient en tenue) les présentations furent rapides et un premier est venu caresser les fesses d’Aicha, elle s’est retrouvée très vite à genoux en train de défaire leurs ceintures et a commencé à les sucer à tour de rôle, son homme  était fasciné par la vision de ces sexes avides de la bouche d’Aicha qui prenait son rôle très à cœur. Un premier s'est baissé et a commencé à lui caresser sa chatte, très vite sa robe est tombée et ils l'ont emmené sur le matelas au milieu de la pièce.
Aicha a continué ses fellations pendant qu'un premier pompier sans autre forme a investi sa chatte. Elle a très rapidement  joui une première fois sous les coups de boutoirs. Un second rapidement s'est préparé pendant que le premier était en train de la baiser, en fait la préparation consistait à se mettre du gel sur le bout du sexe pour mieux préparer la sodomie.
Quand le premier a joui du corps d’Aicha, le second est venu et l'a fait mettre à 4 pattes et très rapidement l'a enculé.
La pénétration a duré un bon moment et les deux autres pompiers sont passés par le même chemin.

En fait Aicha s'est faite enculée par 3 pompiers à la suite et son anus était très dilaté , elle s'est faite défoncé le cul tout comme elle le souhaitait et entre 2 respirations disait que c'était bon de servir de vide couille Une fois que tout le monde eut bien joui de son corps, son homme compris, ils se sont rhabillés et sont rentrés avec ce merveilleux souvenir.

Par Aicha
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Texte Libre

84ls0zaa

 

 

 

Voici le petit monde d'Aicha

réalité ou fantasmes ?

à votre avis ?

47inms4t

 

N'hésitez pas à m'écrire vos impressions, je vous répondrais !

  64146673 p

bisous à tous mes visiteurs !

Aicha 

 

 

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Découvrez la véritable Aicha au fil de vos lectures

et de quelques photos éparses...

je vous laisse l'imaginer... 

 

64815460 p

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés