Jeudi 18 août 4 18 /08 /Août 21:08

Aicha découvre le plaisir au féminin…

 

 

Aicha vient de faire connaissance d’Erica. Femme charmante et charmeuse, elle la séduisit par sa franchise. Rapidement, elles prirent l’habitude de se téléphoner assez régulièrement. Aicha n’avait jamais éprouvé d’attirance particulière pour les femmes, mais fut-elle surprise lorsqu’elle se rendit compte qu’au fil du temps, un trouble de plus en plus l’envahissait lors de leurs discussions. Elles avaient beaucoup de points en commun, parmi lesquels l’amour du sexe et de la sensualité.

 

Très rapidement, les conversations tournèrent à la séduction. Aicha attendait ses appels avec impatience, ressentant un manque lorsque ceux-ci s’espaçaient trop. Il faut dire que la coquine Erica savait faire monter la pression ! C’est ainsi qu’elles en arrivèrent à faire l’amour par téléphone. Erica avait trouvé les mots qui déclenchèrent chez Aicha les envies les plus folles.

 

« Caresse-toi… Sens-tu mes lèvres sur ta peau ? Je te fais l’amour comme personne ne te l’a jamais fait. » Aicha était en transes  obtenant des orgasmes aussi fulgurants que générateurs de nouvelles envies.

 

Un jour Erica l’informa qu’elle allait passer la voir.

 

« Je t’appellerai juste avant d’arriver chez toi. Tu déverrouilleras ta porte, ira t’allonger sur ton lit après t’être bandé les yeux, et tu veilleras à préparer quelque chose qui me permettra de t’attacher les mains. »

 

Erica n’avait pas oublié qu’Aicha avait ce fantasme-là qui l’excitait prodigieusement. Aicha avait faim d’elle, de ses mains sur elle, de sa bouche sur sa peau. Elle accepta toutes ses volontés, y compris vestimentaires. Jupe ou robe, dessous sexy, bas et talons hauts.

 

Le corps d’Aicha était dans un tel état d’attente sensuelle, qu’elle la voulait, désirait plus que tout être son jouet, sa chose. Elle se prépara minutieusement : Épilation des jambes, des aisselles, maquillage et coiffure soignés, se vêtit d’un porte-jarretelles de dentelle noire, string et soutien-gorge assortis. Une paire de bas vint compléter le tout, ainsi qu’une petite robe entièrement boutonnée sur le devant, et cintrée à la taille.

 

Aicha prépara sur son lit deux foulards : un pour ses yeux, un pour ses poignets, puis regagna le salon, attendant le cœur battant, la sonnerie du téléphone.

 

Il était quatorze heures lorsque celle-ci retentit.

 

  • Je suis là, je te donne cinq minutes pour être prête.

 

  • Ma porte est ouverte, je t’attends, répondit Aicha.

 

Elle enfila une paire d’escarpins, se rendit dans sa chambre où elle se banda les yeux avant de s’allonger. Son cœur battait la chamade, Aicha sentait les pulsations sanguines à ses tempes. Après une attente qui lui sembla durer une éternité, elle entendit une voiture arriver, puis un  bruit de portière. Quelques bruissements de pas dans les gravillons furent suivis par le grincement de la porte d’entrée. Le silence rendait encore plus impressionnants ces quelques indices auditifs qui arrivaient aux oreilles d’Aicha. Elle sentait entre ses cuisses naître une véritable fontaine. Elle mouillait comme jamais elle n’avait mouillé !

 

Soudain, elle sut qu’elle était là, près d’elle.  Une main frôla la jambe d’Aicha, remontant doucement sur le mollet, le genou, la cuisse. Erica elle s’obstinait à rester muette, comme elle l’avait décidé initialement. Privée de la vue, tous les sens d’Aicha étaient désormais en alerte.

Elle sentit le foulard venir enserrer ses poignets relevés au-dessus de sa tête. Puis une bouche chaude se posa sur son mollet, remontant sur sa jambe, pour bientôt se retrouver sur la parcelle de peau nue, entre la jarretière et le slip, celle qui est la plus sensible mais aussi la plus émouvante à découvrir. Les boutons de sa robe furent défaits, laissant apparaître sa nudité à peine voilée. Ses seins étaient douloureux à force de se tendre, d’espérer une caresse. Son corps allait à la recherche des mains inquisitrices, sollicitant des attentions que son amante ne semblait pas pressée de  lui accorder.

 

Lorsque leurs lèvres se joignirent enfin, Aicha devint folle. Folle d’un désir qui ne demandait qu’à exploser, folle de l’envie de pouvoir toucher elle aussi, ce corps tant convoité mais qu’il lui était même interdit de contempler. La douceur de la langue qui la fouillait la fit complètement chavirer, lui extorquant des gémissements voluptueux.

 

« Fais de moi ce que tu veux, je suis la victime consentante d’un sacrifice païen, livrée sur l’autel sacré du plaisir et du vice », pensa Aicha éperdue de désir. Erica dégustait ses seins, en aspirant les tétons érigés, les mordillant, les étirant. Sa main courait sur son ventre frémissant, exigeant le plus violemment possible d’être pris, possédé, violé même. Aicha était comme un animal affamé qui réclamait son dû, ruant et gémissant que l’on assouvisse son besoin primaire.

 

Puis Erica dénoua le bandeau des yeux d’Aicha, puis celui de ses poignets. Erica devait être, tout comme Aicha, en manque de ses mains sur elle, de son regard voilé par le désir… Enserrant son visage de ses deux mains, Aicha l’embrassa goulûment, avec délectation et douceur, en la remerciant de tout le bonheur qu’elle lui faisait découvrir.

 

Aicha partit à la découverte de son corps, léchant avec bonheur son ventre plat, perdant sa langue dans son nombril, mordillant ses flancs délicieusement ambrés. Elle aimait l’odeur animale, désirait la posséder. Aicha découvrit, à l’abri du mince voile de son slip, une toison foisonnante d’un brun mystérieux. Elle y enfouit ses doigts, caressant mais aussi tirant les poils cruellement, constatant avec joie l’émoi que tout cela faisait naître en elle. Une rosée délicate perlait à l’orée de la forêt, apte à étancher la soif qu’Aicha avait d’elle. Elle la but, la lapa du bout des lèvres, de la pointe de sa langue, n’hésitant pas à aller chercher au plus près de la source le divin nectar, tandis qu’Erica s’agitait de plus en plus sous le corps d’Aicha. Brusquement celle-ci la retourna, tant elle avait envie de contempler son cul. Ses mains partirent à la découverte de sa géographie, parcourant les monts et par vaux de son paysage intime. Caressant, griffant, mordant, elle dégusta chaque parcelle de sa peau.

 

De ses doigts Aicha la pénétra. Elle s’ouvrait délicieusement à elle, râlant et riant de bonheur. Aicha la labourait, la dilatait avec un plaisir dévorant, contemplant l’effet du traitement infligé sur son visage. Ses yeux mi-clos, sa bouche qui laissait échapper des plaintes rauques de plus en plus soutenues, tout ceci ravissait Aicha qui la fouilla au plus profond d’elle-même, caressant le velours chaud et humide de son intimité. Un quatrième doigt glissa rejoindre les autres, l’emplissant encore un peu plus, tandis qu’elle aspira son clitoris qui pointait comme une petite bite.

 

  • Oui… Encore ! Plus fort, plus loin ! soupira-t-elle.

 

Continuant ses caresses internes, Aicha remarqua alors que son con continuait de s’ouvrir à elle, indécente béance ne demandant qu’à être comblée. Aicha força doucement son pouce afin qu’il rejoigne ses congénères, tout en frottant voluptueusement son entrejambes à la cuisse chaude de sa compagne. Elle coula sur elle, tant son plaisir était présent.

 

Grâce à un mouvement de bassin d’Erica, Aicha vit son pouce entrer, sa main fut aspirée jusqu’au poignet par la fleur carnivore de son amante. Aicha la posséda. Les lèvres d’Erica pulsaient autour d’Aicha, l’avalant, la suçant, la dévorant toute entière, tandis que les doigts d’Aicha continuaient leur danse infernale au fond de son ventre. Erica, yeux révulsés, criait son bonheur.

 

  • Plus fort, continue… Plus vite !

 

Aicha sentit arriver le point de non-retour, juste avant que son poignet ne soit pris dans les mâchoires puissantes de l’étau de son plaisir. Arc-boutée sur le lit, le corps secoué de spasmes violents, Erica jouit sur sa main, laissant couler la fontaine de jouvence sur elle. Aicha la dégusta avec avidité, jusqu’à la dernière goutte, tandis que l’orgasme, cérébral d’abord puis physique, la gagna à son tour, la laissant sans forces, mais toujours en elle, nichée dans la chaleur de son corps alangui.

 

Après la folie vint la tendresse, que leurs corps rassasiés leurs autorisaient enfin. Le repos des guerrières, en quelque sorte, fait de mille mots susurrés, de baisers légers, de regards curieux.

 

Aicha avait eu raison de lui faire confiance. Grâce à elle, en plus d’une nouvelle façon d’aimer, elle s’était découvert des besoins insoupçonnés jusqu’alors. Elles s’embrassèrent une dernière fois, elles savaient implicitement qu’elles ne se reverraient jamais, puis elle partit, comme elle était venue.

 

Plusieurs jours après, Aicha reçu une photo la montrant attachée et livrée… À son dos, un simple mot : « Merci » suivi d’un E.

 

 

Par Aicha
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Mardi 16 août 2 16 /08 /Août 21:41

Aicha avait rencontré un homme sur le net ; elle voulait être son esclave, voulait lui obéir en toute condition,  être sa soumise. Il lui donna rendez-vous dans un café et  lui dit de réserver toute sa nuit car cela allait durer. Ainsi, vendredi dans la soirée, elle se rendit au café indiqué ; il y avait du monde, beaucoup de monde, il n'était pas facile d'avancer mais elle parvint à le retrouver. Il lui avait dit qu'il serait dans le fond du café, qu'il porterait une chemise blanche avec un pantalon noir, elle s'approcha d’un homme et lui demanda s'il était « Lui ».

 'Non, je ne suis pas "Lui", tu sais très bien qui je suis.' Elle  ne comprenait pas trop ce qu'il voulait dire et il poursuivit 'Je suis ton maitre, non?' Aicha souriante s'asseyait à ses côtés, il avait un côté séduisant, son regard était vraiment pénétrant. Ils firent un peu plus connaissance, leur conversation dura encore quelque instant lorsqu'il dît enfin ce qu’Aicha attendait depuis le début de la soirée.

'Bien, maintenant, tu vas m'obéir.' Elle sourit et se sentit excitée rien qu'à entendre cette phrase. 'Tu vas tranquillement passer sous la table et là je suppose que tu sauras quoi faire.' Aicha avait évidement compris ce qu'il voulait dire, elle le regarda dans les yeux et se sentit dans le devoir de le faire. Le bar était  plein, on allait sûrement  la voir, mais, elle descendit discrètement sous la table et s'approcha de ses jambes. Elle regarda un peu autour d’elle et ouvrit son pantalon. Elle sortit son sexe et le regarda un instant, il était déjà dur et elle commença à l'agiter de sa main droite alors que sa gauche frottait sa jambe. Elle s'approcha et le fît entrer dans sa bouche, elle ne pensa plus qu'au sexe de son maitre dans sa bouche. Sentir cette chose chaude dans sa bouche, s'enfoncer de plus en plus loin en elle lui faisait un grand plaisir. Il lui fit signe de remonter. Il lui prit la main et ils sortirent du bar ; il l’emmena dans son appartement.

Aicha n'avait rien à dire elle lui obéissait, elle était son esclave.  Arrivés sur les lieux il l’accompagna vers la chambre. Il allait lui donner des ordres auxquels elle devait obéir. Aicha se retrouva nue à ses pieds à détacher son pantalon avec ses dents. Une fois celui-ci enlevé, il lui dit de se coucher sur le lit et d'écarter ses jambes, ce qu’elle fit sans aucune hésitation. Il entra alors en elle. Il fît des mouvements de va-et-vient et elle s’accrocha aux draps  relevant la tête, poussant quelques gémissements. Tout à coup, il s'arrêta et lui ordonna de se mettre à quatre pattes, ce qu’elle fît sans l'ombre d'une hésitation. Il la pénétra de nouveau, poussant sa tête contre le mur qu’elle cogna légèrement à chacun de ses mouvements, il s'arrêta et lui ordonna de le finir à la bouche ce qu’elle fit avec le plus grand plaisir. Il finit par jouir sur elle. Aicha était recouverte de son sperme et s'affala sur le lit. Il l'embrassa sur le front. Il la sodomisa, elle le remercia alors qu'il l'enfonçait de plus belle, criant pour qu'il  la mette plus loin.

 Mais tout cela semblait trop banal à Aicha et il comprit qu’elle en voulait plus. Il lui banda les yeux et la plaça face à lui. Aicha était incapable de voir quoi que ce soit. Elle le sentait tourner autour d’elle, il attrapa le bout de ses seins,  il la tira ainsi vers le bas pour la mettre à genoux. Incapable de le voir Aicha savait ce qu'elle devait faire, elle ouvrit la bouche. Son sexe passa sur son visage et elle essaya de l’avaler mais il l'évitait, passant sur sa joue, dans son cou. Puis son maitre agrippa ses cheveux et la poussa la tête contre le sol. Aicha se retrouva les fesses en l'air, les yeux bandés. Et il la pénétra encore. Elle  apprécia de ne rien voir, la surprise était plus grande encore.
Puis il lui attacha les mains à ses pieds avec une corde et lui fît écarter les jambes, elle ne pouvait pratiquement plus bouger, elle était à sa merci alors qu'il la pénétrait encore et toujours partout où il aurait pu le faire.

Aicha aimait ça, elle aimait se sentir ainsi à sa merci ; il lui dit vouloir tester sa volonté, il lui attacha quelque chose au cou. Il venait de lui mettre une laisse. Aicha le regarda, l'air étonnée, il la traina dehors. Elle était nue dans les bois sous la neige et il la promenait comme on promène une chienne. Il lui fît faire une promenade à quatre pattes dans la forêt et la neige  gelait les bras et les jambes d’Aicha. Puis il la poussa au sol et lui fit l'amour dans la neige, tout en ne lâchant pas la laisse.

Ils rentrèrent ensuite, Aicha toujours en laisse, il lui montra un objet et lui dit : 'Avec ceci, tu ne pourras même plus me contredire ou te plaindre, l'acceptes-tu?' elle acquiesça de la tête, tremblante de froid devant la cheminée. Il lui mit l'objet en bouche, une espèce de boule avec des trous dedans pour lui permettre de respirer et l'attacha derrière sa tête. Aicha ne pouvait effectivement plus parler et la tenant toujours en laisse, elle avait vraiment l'impression de ne plus être qu'un animal. Il la plaça sur une chaise, les jambes autour du dossier. Il attacha celle-ci au pied de la chaise et attacha le collier de la laisse au dossier. Puis il tira les fesses d’Aicha vers l'arrière et lui attacha la taille au dossier. Elle était assise, cambrée sur la chaise, nue et incapable de parler. Aicha se sentait vraiment soumise et terriblement excitée. Puis il plaça la chaise face à un miroir où elle pouvait se voir, il la pénétra et sodomisa encore. Puis il la laissa là alors qu'il allait dormir. Aicha passa donc la nuit face à son image d'esclave, incapable de regarder ailleurs ; elle avait l'air vraiment ridicule sur cette chaise, ne pouvant pas se déplacer, venant d'être pénétrée à mainte reprise. Il la détacha le lendemain. Un peu plus tard, il lui attacha les mains avant de faire passer la corde dans une poutre du plafond. Il lui plaça à nouveau la boule pour la faire taire en bouche, puis il attacha chacune de ses jambes à une corde afin de les tenir écartées et lui dit : 'Désolé, je dois donner un coup de fil, mais je vais te laisser de quoi t'occuper.' Il sortit un vibro et le plaça entre les jambes d’Aicha, il l'alluma et quitta la pièce.

A peine quelques secondes plus tard, Aicha jouissait  mais le vibro continuait de marcher encore et toujours. Gémissante et tremblante, elle gigotait attachée à ses cordes. Et elle jouissait à nouveau, incapable de faire partir l'objet d'entre ses jambes, la tête lui tournait. Elle hurlait de plaisir malgré l'objet dans sa bouche, alors qu’elle  ne cessait de jouir encore et encore, ses forces l'abandonnaient. Aicha ne l'entendit même pas revenir dans la pièce, il retira le vibro. Aicha était épuisée, incapable de tenir debout, il n'y avait que les cordes pour la tenir droite, il lui releva la tête pour qu’elle le regarde et il lui sourit.
Il la détacha et la mit dans le lit où elle dormit aussitôt.  Aicha était heureuse…

Par Aicha
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Lundi 8 août 1 08 /08 /Août 16:57

Blog en pause une semaine pour cause de vacances d'Aicha

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elle vous retrouvera avec plaisir à son retour ; voici un petit cadeau de sa part pour vous faire patienter...

 

bisous à tous mes visiteurs

 

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Par Aicha
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Dimanche 7 août 7 07 /08 /Août 21:06

Souvenirs d’Aicha et de ses deux hommes

 

Aicha est le genre de femme qui aime bien faire le ménage dans les chambres, elle aime ranger les vêtements de son fils qui n’est pas particulièrement méticuleux. Cependant elle ne se permettrait pas de fouiller dans les affaires de celui-ci. C’est vrai que mis à part ses habits, il ne laisse pas grand-chose trainer.
Aicha, depuis un certain temps a vu des traces sèches provenant de ses rêves mouillés ou encore des kleenex collés qui se perdent quelques fois sous le lit.
Non pas qu’Aicha s'en fiche, mais elle trouve tout ça assez normal. En fait elle est plutôt fière de son fils. Fière qu'il devienne ce jeune homme plein de vie tout en restant un gentil garçon. I est vrai qu'elle aime le regarder. C'est un jeune homme brun, avec ce regard noir profond qui fait sûrement chavirer les cœurs  de nombreuses jeunes filles. Aicha aime son fils de tout son cœur, mais quoi de plus normal, n'est-il pas son fils ?


Et puis, un jour comme les autres jours, elle est étonnée de trouver dans la chambre de G…, une cassette vidéo coincée entre le lit et le mur. Une bien étrange cachette pense-t-elle. Elle la range dans le bureau de son fiston.
Elle n'y aurait jamais repensée si son fils ne lui avait envoyé un sourire bien étrange le lendemain soir. Il venait de lui demander pour l’énième fois de ne plus faire le ménage dans sa chambre et qu’il est assez grand pour le faire seul. Mais sa mère un peu maniaque ne pouvait se résoudre à laisser l'amoncellement s'installer. Elle soupira puis elle crut bon d'ajouter qu'il n'avait pas à s'en faire. Jamais elle ne ferait de remarque sur ce qu'elle pouvait bien trouver dans son antre.
G… marque un temps d'arrêt puis, ses yeux se rétrécissent comme s'il venait de comprendre un sens cacher dans la phrase de sa mère et enfin, il lui sourit avec ce "Bon, ça va, ça va" qui fit douter Aicha.

Quelques jours après ce petit incident, Aicha fouine dans la chambre de son fils retrouvant la cassette. Elle l'enfonce dans l’ancien magnétoscope qu'avait récupéré G… pour visionner de vieux films.
Et là,  Aicha tombe assise sur le lit de G…, les yeux écarquillés. Sur le petit écran de la télé de son fils, elle se voit, elle, sa mère. Elle est nue et se prélasse sur ce vieux canapé qu'ils ont jeté depuis belle lurette. Derrière la caméra elle peut entendre son mari qui l'encourage à prendre des poses lascives et à se laisser aller devant l'objectif.

Aicha se souvint de ces jeux avec P… qui avaient presque cessés depuis la naissance de G... Son mari aimait la filmer et filmer leurs ébats. Aicha appuya sur l'avance rapide de la télécommande et retrouva chaque souvenir de ces séances coquines. Elle, seule se caressant, P…  dans la même situation, où entrain de le sucer, ou encore faisant l’amour dans toutes les positions.
Elle a honte. D'un autre côté c'était de très bons souvenirs qui malgré tout, lui réchauffèrent le bas du ventre.

Dans ce lit fait à la va vite, Aicha est à demi allongée, plongée dans ses pensées, elle retrouve les odeurs de son fils. Elle l'imagine entrain de se donner du plaisir en la regardant sur l’écran, elle, sa mère. Elle se laisse aller et s'accorde une petite caresse pour obtenir une jouissance personnelle comme s’il y avait longtemps qu'elle n'en avait pas eu. Et puis, au milieu des vapeurs d'orgasme qui s'évaporent peu à peu, elle touche terre à nouveau. Il faut qu'elle parle à son fils. Elle se relève, se rajuste et remet la cassette dans le tiroir à secret de l’armoire.
La vie reprend cependant son cours normal. P… a une libido assez importante, Aicha ne s'en plaint pas, au contraire, elle aime les attentions de son mari et surtout la façon dont il la prend dès que G… est couché.
Elle aime être renversée et possédée. Il faut dire que P… est grand et baraqué ;

C'est vrai aussi qu'il peut se montrer un peu brusque, elle l'aime comme ça et elle ne l'aurait jamais échangé pour un de ces minets romantiques plus jeunes. Elle aime sa fougue, son caractère sanguin et sa grosse bite qui la ravage.


C'est un samedi soir, où P… est en forme et compte bien le montrer à sa femme. Aicha bien contente de prendre sa dose de plaisir le laisse faire quand il commence à la tripoter dans la cuisine. G… est monté depuis une dizaine de minutes dans sa chambre, sensé regarder sa télé. Aicha débarrasse la table du salon, lavant les dernières tasses qui traînaient.

A cette époque, à quarante ans, Aicha commence à avoir ces formes que les femmes redoutent tant. Elle n'est pas vraiment potelée et P… aime ainsi sa femme.  Elle a un merveilleux petit cul qu'il tripote dès qu'il en a l'occasion et des seins ronds et généreux.

Quand il la pousse contre la table de la salle à manger, elle sait qu'il va lui offrir un de ces bons moments de folle passion.
Elle aime sentir ses grands battoirs qui lui servent de main, remonter sa chemise de nuit. La peau rugueuse qui explore son dos comme s'il faisait le tour du propriétaire avant d'appuyer sur sa nuque pour asseoir définitivement sa domination. Elle est déjà trempée d'impatience. Il aime presser sa main contre sa fente. Il presse ses doigts imposants à l'entrée du vagin et sans plus de précaution il enfonce son majeur dans la chatte trempée.
Aicha feule comme une tigresse prise au piège, dominée par son mâle.

 P… regarde ses doigts brillants de la liqueur et satisfait, enserre les hanches d’Aicha pour la ramener contre sa tige gonflée. A chaque fois, il pousse si fort contre les parois sexuelles qu'elle serre les dents sous la douleur. Puis la douleur se mue en plaisir, un plaisir infini de se sentir remplie par ce membre de chair qui se déploie à l'intérieur de son ventre et irradie sa chaleur.
Le souffle coupé par la fureur de cet envahisseur, elle ne reprend son souffle qu'à son second va et vient, quand ses chairs prennent la mesure de l’organe demeurant en elle. Elle n’ouvre les yeux que pour les refermer. Entre les mains énormes de son mari, son  corps est secoué d'avant en arrière comme une poupée de chiffon. Ses seins glissent sur la toile cirée, elle tente de s'accrocher aux bords de la table tandis que P… la fait coulisser sur son ardillon.
D'ordinaire elle ferme les yeux pour que plus rien n'existe, juste ce goupillon qui la taraude. Mais il y a cette petite lueur rouge ! Elle l'a aperçue juste avant que son époux accélère le rythme et se plante d'un grand coup de rein dans elle. Elle rouvre les paupières mais elle a du mal à distinguer quoi que ce soit, ainsi ballotée. Elle la voit pourtant de nouveau la petite lumière rouge.
Elle plisse les yeux pour voir ce que ça peut bien être et  s'agrippe à la table plus fermement. P… grogne, content qu'elle se rebiffe un peu. Une grande claque sur ses petites fesses puis un grand coup de rein lui revaut sa rébellion. Aicha gémit de plaisir à ces stimulations mais reste concentrée sur cette vision inhabituelle.
Les petits appels qu'elle pousse, son mari croit à du plaisir, mais là, dans la demi-obscurité, Aicha l'a vu et elle panique.
G… a un genou à terre. A bout de bras il tient le nouveau caméscope de ses parents pour immortaliser cette petite soirée. Il ne voit pas le regard de sa mère rivé à la diode rouge de l'appareil qui indique l'enregistrement. Aicha réfléchit aussi vite qu'elle peut au milieu des effluves soporifiques du plaisir qui ont déjà pris le contrôle d'une bonne partie de son corps.

" Han… han… P… Chéri… attends… et si… Et si G… nous… "

P… croit rêver. Qu'est entrain de dire sa femme ?
Quoi G… ? Quoi son fils ? Il est entrain de dormir ou de regarder  sa télé. Pourquoi doit-elle parler de lui maintenant ?
Ne peut-elle l'oublier quelques instants ! Ne peut-elle cesser une seconde de se comporter en mère poule !

Il la retourne comme une crêpe avant de la pénétrer de nouveau. De face cette fois, elle peut voir ce regard amoureux presque dément qu'a son mari pendant qu'il la laboure comme un forcené. P… peut la voir maintenant, il peut voir ses petits coups d'œil vers le haut des escaliers. Il peut voir dans ses yeux la crainte, la gêne ou la peur tout simplement. Alors il sent sa libido retomber et la frustration exploser. S'il y a bien un moment où il ne faut pas le déranger, s'il y a bien un moment où il ne faut pas l'interrompre c'est bien celui-là. Il aime sa femme et quand il s'unit à elle, dans ce pur moment de plaisir et d'extase, il ne désire qu'une chose, qu'elle se donne toute à lui.


Aicha lance un dernier regard vers l'escalier. Un de trop, les yeux de P… suivent ceux de son épouse qui panique pour de bon. Dans un même mouvement il lui ordonne de ne pas bouger, il enjambe d'un pas l'espace qui le sépare de l'interrupteur. G… n'a pas le temps de faire le moindre geste, dans la lumière soudaine du lustre, le regard de son père le transperce.
Furieux ? Non, il est bien au-delà de ça. Son fils est entrain de les reluquer comme un pervers pendant qu'ils font l'amour, comme un voyeur planqué dans un parc. Le pire c'est qu'il les filme. Le regard de P… passe de son fils au caméscope. Il  poussa celui-ci  énergiquement sur le tapis du salon.
Il regarde son fils et, prenant un air faussement intéressé, il lui demande si le caméscope fonctionne.
G… bredouille un "oui" stupéfait en voyant son père allumer toutes les lampes du salon, même l'halogène dont il remonte complètement le variateur. Il lui faut de la lumière à ce jeune cinéaste en herbe si désireux de faire ses premières expériences !
D'une main P… saisit la table basse qu'il fait passer derrière un des deux canapés. Une seconde plus tard, il pousse sa femme au milieu du tapis tout en ordonnant à son fils de la filmer. G… hésite, mais quand son paternel répète son ordre, il ouvre le clapet de l'appareil et appuie sur la touche d’enregistrement.

P… dit a Aicha :


" Branle-toi."

L'ordre est  simple et ne souffre d’aucune réponse.
Le regard de son mari suffit et devant l'objectif de la caméra, Aicha glisse sa main entre ses cuisses pour caresser son intimité.

"Mieux que ça !"

Elle presse ses doigts contre son clitoris et commence à le bricoler. C'est une caresse froide. Pas de plaisir, pas d'envie, juste ses doigts qui pressent son clitoris et décrivent de petits cercles.

"
Mieux que ça je t'ai dit !!! Et écarte les cuisses salope !"

Aicha appuie son dos contre le canapé. Ses jambes repliées, les cuisses entrouvertes, elle frotte son petit bouton devant l'objectif.

"Ho non ma belle, il est normal que ton fils soit curieux à son âge, alors essaie de satisfaire sa curiosité !
Branle toi et bien nom de dieu !! "


Aicha ouvre un peu plus les cuisses et tirant sur le renflement de peau d'une main, elle agace son clitoris de l'autre. Son petit bouton refuse de se montrer, il refuse une excitation qui n'est pas présente.

"Oui ! Comme ça ! Souviens-toi comme t'aimais quand je te filmais salope !
Alors vas-y, qu’il en ai pour son argent, ton salopard de fils !"

Aicha tente comme elle peut d'accéder à un plaisir qui lui échappe obstinément. Puis, peu à peu, plutôt que du plaisir, c'est de la colère qu'elle sent monter en elle. C'est chaud et puissant, mais ça ne vient pas de l'intérieur de son ventre. Elle lève les yeux sur son conjoint, leurs regards se croisent. Lorsqu’il voit cette lueur qui s'embrase dans ses prunelles, il se fait plus menaçant mais surtout, il sent son propre plaisir monter. Les souvenirs avec sa femme et une caméra reviennent dans sa mémoire, des moments de pure luxure.
Il n'en fallait pas plus pour que son gourdin se redresse, la démonstration de son excitation renforce la rage d’Aicha. Ses doigts s'activent plus fermement sur sa fente. Il veut qu'elle se donne en spectacle, alors elle va lui en donner du spectacle. Elle a les yeux fixés sur ceux de son mari, ses cuisses s'ouvrent plus largement.

Devant elle, G… comprend que quelque chose  est entrain de se nouer. La seule chose qui l’importe, est ce que fait sa mère. Il revoit sur l’écran de sa télé, quand il est seul dans sa chambre, les gros plans de l'époque, réalisés par son père, sur lesquels il s’est beaucoup masturbé. Mais là, c'est différent, c'est lui qui filme cette fente, il peut voir les grandes lèvres qui s'écartent peu à peu.

Aicha se focalise tant qu'elle peut sur cette rage qui l'embrase encore plus qu'une excitation perverse. Elle se concentre sur P…mais son regard glisse sur son fils. Son fils bande lui aussi. Comme son salopard de père, cette peste de fiston, tous deux sont excités de la voir ainsi.
Sans réfléchir, ses yeux toujours rivés au pyjama de G…, elle plonge son majeur dans son vagin et elle émet son premier soupir. P…jubile à ce même instant, il l'a vaincu mais il en veut plus. A nouveau l'excitation remonte effaçant peu à peu sa frustration. Cette coquine bave devant son fils.
Devant l'objectif, Aicha commence à se caresser plus précisément, plus naturellement. La colère s'estompe submergée par un flot d'excitation si fort qu'elle ne peut la contrôler. Dans sa tête tout lui crie qu'elle doit se reprendre mais son corps, son ventre, lui ordonnent de regarder ce jeune homme qu'est son fils et de lui donner ce qu'il veut. Entre ses doigts commence à couler son nectar. Un puis deux puis trois, elle enfonce ses doigts dans son intimité avec de plus en plus de fermeté.
P… pousse du pied le canapé, Aicha tombe en arrière. Elle ne s'arrête pas pour autant. Les cuisses largement ouvertes, elle plante ses doigts dans son vagin détrempé pendant que de l'autre main elle triture son clitoris.

"
Allez montre à ton fils comme tu peux être une belle cochonne ! Montre-lui à  quoi ça ressemble une vraie femme !"

Aicha se cambre soulevant ses fesses et offrant toute son intimité à son fils qui ne perd pas une miette du spectacle. Aicha se déchaîne. Les petits cercles sur son bouton se muent en va-et-vient brefs et frénétiques. Entre son majeur et son index, son clitoris est gonflé, elle le masturbe avec force. Dans sa gaine, ses trois doigts vont et viennent emplissant le salon de clapotis indécents.

P… s’approche de son fils et le pousse pour qu’il avance. Obéissant aux ordres de son père, G… fait le tour de sa mère, la filmant sous tous les angles, jusqu'à ce qu'elle se laisse aller à la jouissance, le corps traversé par les vagues successives de son orgasme. Machinalement le garçon stoppe la machine, son père intervient de nouveau.

"
Hé mais ce n’est pas fini, il y a encore des prises pour ton film !"

P…s'agenouille à côté du visage de sa femme. Sans ménagement il empoigne les cheveux pour lever sa tête vers son sexe. Aicha ne pose aucune question ni aucune protestation. Elle ouvre la bouche et absorbe le membre de son mari.

Relançant l'enregistrement, G…rejoint le couple. Il est stupéfait de voir avec quelle force son père enfonce son sexe dans la gorge de sa mère. Il est étonné de voir comment sa mère accepte ce barreau de chaire pour le sucer. Il lui semble presque qu'elle y prend du plaisir alors qu'elle tousse et que cela l'empêche de respirer.

Bien-sur Aicha est habituée à ce genre de pratique, elle aime même ça. C'est puissant, dur, mais ce sont les prémices de bien plus de plaisir encore.

P… retrouve ses marques, ses habitudes. D'une main il maintient la tête d’Aicha et de l'autre il s'attaque à ses seins. Entre le pouce et l'index il agace les tétons. Il les fait rouler, les pince. Il tire dessus jusqu'à faire geindre sa femme avant de s'attaquer à l'autre. G… tente de tout capturer, il sent l'atmosphère se charger de débauche. Voir des vidéos c'est une chose, mais les filmer, devenir partie prenante de ces jeux secrets et qu’il a tant rêvé, c'est vraiment autre chose. Devant lui son père délaisse les seins de sa mère pour venir s'occuper de son bas ventre. Son majeur et son index se plantent dans les chairs encore humide.
Aicha pousse des gémissements plus ou moins étouffés car sa bouche est pleine. Elle geint de plus en plus fort, presque sans s'arrêter alors que P… martyrise la chatte enflammée de sa masturbation précédente. Et puis il retourne Aicha qui s'agrippe à son sexe et reprend son office en s’agenouillant.
Les fesses en l'air, le visage enfoui entre les cuisses de son mari. Celui-ci a les deux mains libres, il en profite pour écarter les petits globes de chair du mignon cul rebondi puis sans aucune gêne, il encourage son fils à bien zoomer sur l’œillet de sa mère.
Elle s'y est préparée pourtant mais quand il enfonce son majeur dans son petit trou, elle ne peut retenir une longue protestation plaintive. G… n’en perd pas une miette, tentant d’immortaliser la scène. Aicha sent que la rage abandonne son mari, pour ne plus laisser place qu'à l'excitation et au plaisir. Hélas celui-ci n'est pas au bout de son projet. Quand elle l'entend demander à son fils de s'approcher elle panique, elle sait tout de suite que ce ne sont pas les doigts de P… qui caressent sa chatte. Sans cesser de planter son doigt dans le cul, P… a fait glisser le pyjama de son fils au sol et prit le pistolet entre deux doigts pour le guider dans les grandes lèvres maternelles dont il est issu. Quelle sensation étrange pour G….
P… regarde son fils pénétrer lentement sa mère, le garçon pousse un son rauque. En réponse sa mère crie un long "non" désespéré. Elle sent le sexe de son fils l'investir. Elle eut cette étrange remarque dans sa tête qu'il était plus gros qu'elle ne le pensait. Même P…dut l'admettre, son fils est plutôt bien membré. Du coup le père ramasse la caméra et pointe le nouveau couple. G… saisit les hanches de sa mère pour compléter son accouplement. Le père fait varier la focale allant de plan large en gros plan.

Évidemment G… ne peut faire plus d'une dizaine d’oscillations dans la chatte chaude de sa mère avant de d’éjecter son sperme en elle. P… repose son caméscope, saisit la chevelure brune d’Aicha et de nouveau enfonce son engin au fond de la gorge, il éjacule presque aussitôt à son tour
Aicha tente de se relever mais de suite la main de son mari l'empêche d'aller plus loin. A quatre pattes, elle voit son fils suivre les ordres de son père et s'approcher.
Les joues encore ruisselantes de foutres, Aicha accueille le sexe de son fils dans sa bouche. P… n'a aucun besoin de guider son fils. Aicha sent les doigts de son garçon glisser dans ses cheveux jusqu'à l'arrière de sa tête. Lentement mais très fermement, G… presse le visage de sa mère contre son pubis.



Un mois plus tard, dans la maison du couple, un samedi soir comme les autres. La mère de famille a préparé des pizzas et une quiche. G… prend l'apéritif avec ses parents dans le salon. Aicha revient de la cuisine  avec une bouteille de soda fraiche. Quand P…lui flatte la croupe en passant avec sa grosse main, ce qui la fait frémir et sourire.
Pendant qu'elle remplit les verres posés sur la table basse, son fils pose sa main sur ses reins et remonte le long de son dos. Aicha garde le sourire mais ses yeux trahissent une certaine anxiété.

Les doigts de G… se referment sur la glissière de la robe. Aicha se fige un instant, juste ce qu'il faut pour que son fils descende le petit morceau de métal du zip du vêtement qui s'ouvre comme une fleur au soleil. Aicha à peine surprise se retourne vers son fils mais déjà son mari l'attrape par les hanches avant d'appuyer sur son dos.

Aicha n'émet aucune protestation, son visage repose sur les cuisses de son fils qui lui caresse les cheveux pendant que P… lui retire sa culotte. De ses doigts rugueux il triture son intimité et s'enfonce dans la chatte brûlante. Elle n’attend que ça. Elle souhaite ce moment où ses deux hommes la forceraient, ce moment où ses chéris lui montreraient combien ils l'aiment, la force de leur passion.

G… a tôt fait de dégrafer le soutien-gorge, il se trémousse pour faire descendre son pyjama et pendant que son père pénètre un peu sauvagement sa génitrice, Le jeune homme engouffre popaul dans la bouche grande ouverte qui n’en espérerait pas moins. Aicha se cramponne aux hanches de son fils alors que déjà son mari la fait aller et venir sur son membre dilaté.
Quelques minutes plus tard celui-ci se lève pour mieux se planter dans le ventre de sa femme haletante. Quelques minutes encore et il l'attire au sol, face à lui. Elle s'empale sur le pieu de son mari avec une ferveur jubilatoire. Elle griffe le torse de son mari qui en réponse la force à se coucher sur lui. Derrière elle, elle sent les mains de son fils qui déjà écarte ses petites fesses musclées.
Aicha serre les dents, lentement son fils plaque son visage entre les fesses, sa langue se met à l’ouvrage. Cette fois-ci, elle se laisse aller complètement au plaisir.
Plus rien au monde ne peut lui donner plus de plaisir que de sentir son corps complètement abandonné par ses deux hommes. Elle plante ses ongles dans les épaules de son mari dont les yeux brillent de fierté et de lubricité. Elle est prise dans une tourmente entre son fils et son époux ou règne une chaleur insoutenable.

Sur un trépied trône un caméscope au clapet ouvert. Une petite lueur rouge brille sur le côté. Sur le meuble à côté de l'halogène, une autre caméra en marche avec une petite lueur rouge, brille sur le côté.

Par Aicha
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Mardi 2 août 2 02 /08 /Août 21:22

Rencontre libertine pour Aicha

 

Aicha vient de rencontrer un homme marié ; elle-même a un ami de cœur depuis quelques mois, mais le libertinage reste une de ses pratiques favorites…

Ils se sont donné rendez-vous pour cette première nuit d’amour à l’hôtel. Ils y arrivent vers vingt et une heures. L’homme regarde à l’entour, il est nerveux car c’est la première fois qu’il fréquente une femme autre que la sienne, depuis qu’il est marié, mais Aicha lui a tapé dans l’œil hier au cours d’une soirée commune …

Elle ne semble pas nerveuse, bien au contraire, elle remplit le formulaire très lentement comme s’ils avaient tout le temps pour eux.

 Après quelques minutes qui semblent éternelles, ils montent dans l’ascenseur.

Aicha sourit et le prend par la main. Sa main moite et son regard coquin le font immédiatement réagir. Il l’embrasse sur les lèvres et leurs langues se touchent et s’enduisent de salive l’une à l’autre pendant que l’ascenseur monte jusqu’au septième étage.  

Soudain, la porte s’ouvre ; après avoir parcouru le couloir faiblement éclairé jusqu’à la porte 703, l’homme ouvre la porte.  

Aicha sourit toujours, déstabilisant son compagnon de soirée qui ne comprend pas son calme. Elle le regarde avec des yeux pleins de tranquillité.   

Il a l’impression d’être un incapable ce soir.  

Aicha enlève ses chaussures et s’assied sur le rebord du lit en lui faisant signe de la suivre. Il enlève ses chaussures et s’allonge à côté d’elle pour l’inviter à faire de même. Elle fait demi-tour et se penche sur lui pour l’embrasser sur les lèvres un long moment.  Ses lèvres chaudes et humides le font bander.  

Aicha comprend ce qui arrive et sourit, d’un sourire encore plus coquin, laissant voir ses dents blanches et parfaites.   

L’homme entoure sa taille avec ses bras, laissant ses mains pendantes par derrière, histoire de caresser ses petites fesses. 

Après un long baiser, Aicha s’éloigne un petit peu et se couche sur le dos. C’est une invitation à la rejoindre, il s’approche d’elle immédiatement.   

Il caresse sa belle poitrine pendant que leurs baisers deviennent encore plus chauds et appuyés.    

L’homme veut qu’Aicha le sente bander, et approche son entrejambe de sa cuisse, en rendant évidente son érection.   

Aicha laisse échapper un petit rire et continue de l’embrasser, très amoureusement.  

Il voudrait qu’elle caresse sa bite, il retrousse un peu la minijupe d’Aicha et la coquine arrête sa main juste au moment où son string est visible.

  Elle ne veut pas qu’il la voit mouiller. Ses petits gémissements sont une invitation à l’action mais il reste calme et, se plaçant très doucement sur elle, continue à l’embrasser.

L’homme enlève le petit haut d’Aicha pour caresser ses seins dont les tétons durs le font délirer. Il les suce, les lèche et puis les mordille pour l’exciter davantage. Aicha ferme les yeux, elle semble vraiment heureuse. Ses jambes resserrent les fesses  masculines comme si elle voulait appliquer la bite forte contre son entrejambe.  

Soudain, l’homme descend, petit à petit, en donnant des petits bisous sur son ventre, son nombril, puis son mont de Vénus jusqu’à ce qu’il arrive à l’entrejambe. Le tissu de son string est trempé de mouille salée, qu’il lèche, comme un chat qui savoure le reste de lait de son plat.

 Aicha gémit et l’homme parvient à distinguer les lèvres gonflées de sa chatte et le petit sillon au milieu d’où se répand cette mouille chaude et salée.  

Sans utiliser les mains, il saisit le rebord de son string avec les dents pour le baisser. Aicha l’aide avec ses mains et l’enlève.  

Sa chatte rose est rasée pour le plus grand bonheur de l’homme.   

La bouche  de celui-ci s’applique contre ses lèvres et elle gémit très fort pendant que son nez frôle son clitoris. Aicha se tortille de plaisir sur le lit.  

Il lèche sa chatte à gros coups de langue, en tapotant de temps en temps juste au milieu de ses lèvres, pour l’introduire dans l’entrée du vagin.

C’est un cunni très excitant et l’homme bande chaque fois plus dur.

Soudain, il s’arrête, la prie de faire demi-tour et la coquine Aicha lui obéit et se couche sur le ventre. Il écarte ses cuisses pour voir le bout de sa chatte qui ressort juste au dessus des fesses. En écartant les lèvres avec ses doigts, il passe sa langue bien au ras de sa vulve, en la léchant comme s’il s’agissait d’une orange juteuse. Aicha n’en peut plus et le prie de la pénétrer.

  Elle veut sentir une bite dure dans son vagin mais il ne s’arrête pas, il veut extraire jusqu’à la dernière goutte de sa mouille salée qui l’excite au point de tout oublier.

Après quinze minutes de cunni ininterrompu, l’homme sort sa bite, enfile une capote et l’enfonce dans sa chatte humide qui se dilate à l’instant.  

Aicha se laisse pénétrer sans aucun problème. Couchée sur le ventre, elle se laisse faire en gémissant doucement, pour l’encourager à y aller de plus en plus vite. Sa chatte est complètement dilatée et ça rentre sans aucune entrave. Elle est tellement humide et chaude que la bite de l’homme durcit encore plus.  

Aicha a tout pour le rendre fou. Elle a tout pour rendre fou un mec, un joli cul, des nichons magnifiques et un corps de rêve.  

Les va-et-vient de l’homme se poursuivent. Il a les bras autour du corps d’Aicha et il la pénètre comme s’il faisait des flexions avec les bras. C’est super excitant et Aicha adore. Elle écarte un peu ses cuisses pour qu’il aille encore plus profond, ce que l’amant d’un soir s’empresse de faire.  

Il veut lui arracher un orgasme qu’elle n’oubliera jamais…

Sa chatte dégouline de fluides et soudain, contre toute attente, elle sort sa bite de sa chatte et l’enfile dans son anus. L’homme est ébahi par la surprise.

  

-Vas-y…je veux te sentir partout…

  

Il n’attend pas la deuxième demande et commence à la sodomiser très lentement. Le sexe anal attise la curiosité de l’homme et celui-ci ne peut s’empêcher de jeter des coups d’œil pour voir sa bite rentrer dans cet endroit petit, étroit, et qui se resserre autour de sa queue.   

Aicha se remue dans tous les sens en signe d’approbation.

 Il accélère ses mouvements de plus en plus vite jusqu’à la vitesse maximale en limant son petit trou, au milieu de gémissements qui le rendent fou.   

Il va jouir. Aicha lui demande d’éjaculer sur ses fesses et cela augmente encore plus son ardeur.   

Complètement hors de lui, l’homme retire sa bite de son cul et, en enlevant la capote à la vitesse de l’éclair, il asperge les fesses et le dos d’Aicha  de foutre chaud.

 Après avoir éjaculé sur les fesses d'Aicha,  l’homme va essuyer sa verge et décide de se doucher.  

Sa douche dure quelques minutes. La coquine Aicha regarde un film, il s’assoit à côté d’elle. Le corps d’Aicha s’est refroidi, il passe son bras autour de son cou pour la réchauffer. Elle appuie sa tête sur son épaule et continue à regarder la télé encore un moment. Elle ne lui parle pas. Il ne lui parle pas non plus. Il est détendu et ne songe qu’à s’endormir après l’orgasme.

Soudain, l’homme sent une main qui se pose sur son entrejambe et commence à caresser sa bite, qui durcit à l’instant. Aicha masse sa bite, l’homme enlève sa serviette pour la lui offrir. Elle décalotte son gland avec une envie qui trahit un besoin fou de sexe.

L’homme se rappelle immédiatement qu’elle n’a pas joui et, de sa main gauche, atteint sa chatte brûlante. Quand ses doigts se font un chemin entre les lèvres de sa vulve, Aicha gémit et ferme les yeux comme pour s’abandonner au plaisir. Elle ne tarde pas à lâcher la bite, en écartant ses jambes. C’est une invitation claire à lui faire ce que l’homme veut. Elle s’offre à lui sans aucune limite, corps et âme ; l’homme la masturbe de plus en plus profond.  Il veut qu’elle s’excite au point de crier de plaisir.

Sa bite est raide comme un pieu mais il ne veut pas la pénétrer. Il veut la voir jouir sous l’effet de ses caresses vaginales. Son majeur et son index sont déjà dans son vagin, il les fait tourner dans la chatte d’Aicha comme s’il s’agissait d’un jouet vibrant. Elle se tord de plaisir et le prie de ne pas lâcher prise. Son excitation monte et sa respiration est de plus en plus haletante.   

 

Après quelques minutes de masturbation profonde, l ‘amant l’entend atteindre l’orgasme fou, au milieu de frissons et de contractions de sa chatte.

  Aicha a joui de tout son corps…

Ils se quitteront le lendemain matin après une nuit entièrement consacrée au sexe… ils se reverront c’est certain !

 

Par Aicha
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