Mardi 18 octobre 2 18 /10 /Oct 13:13

Aicha a besoin de vous et revient avec quelques poésies ...

très occupée par son activité littéraire elle ne vous oublie pas et reviendra avec de nouveaux textes ; elle sait que vous aimez lire ses écrits, elle reviendra promis ! a très bientôt

 

 

 

 

Entre rêve et réalité .....

 

Entre rêve et réalité pas toujours facile d'y voir clair.

de ta langue assoiffée, tu me caresses les lèvres petites et grandes, puis le clitoris, je me caresse les seins tout en te regardant me donner ce plaisir si intense, tant attendu.

tu es doux, insistant avec tes coups de langue, de temps en temps un doigt pénétrant  ça me rend folle, tout en haletant, je jouie rapidement, c’est immensément bon, je suis troublée.

Je prends ton sexe, le lèche, le suce, pour lui donner encore plus l'envie de me prendre ; tu comprends mon désir, sans hésitation, tu me retournes, me voilà en position animale, un coup de langue bien humide pour préparer l'entrée de l’artiste, tu  me pénètre d'un coup sec, un cri, un soupir, douleur, surprise, je ne sais plus, je ne réponds plus, tu me possèdes alors.

tes va et vient, encore et encore, tes mains puissantes sur mes fesses, tu les écartes avec tendresse, j'en veux encore et encore, c'est fantastique, exceptionnel, je gémis, tu jouis, je t'aime ....

épuisés l'un et l'autre de cet acte d'amour fort et puissant, tourbillons de plaisir, de désir, j'en veux encore, je te veux, main dans la main, les yeux clos sans dire un mot ....

je me réveille tu n'es pas là, ce n'était qu'un rêve.

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Préliminaire sous la douche

 

 

Quand l'eau mouille nos corps, nos mains nous caressent. Tes mains toujours autant expertes sur mes seins se font câlines en descendant jusqu'au creux de mes reins. J'aime quand tu caresse ma peau, quand tu effleure mon corps chaud.

L'eau tombe sur ton corps nu. Nos deux corps en chaleur se touchent.

Je sens l'eau chaude qui vient caresser ma peau. La chaleur de ton corps se mélange à la mienne.

Tu m'embrasse passionnément en même temps que tes mains explorent mon corps pour un plaisir encore plus intense. Je caresse tes cheveux mouillés et explore à mon tour ton corps doux et musclé.

Pour finir notre soirée en beauté, nous retournons dans ton grand lit pour enfin pouvoir atteindre le 7ème ciel.

Laisse toi aller, jusqu'à l'extase je veux t'emmener. J'ai l'humeur coquine, je veux te titiller, te provoquer, te désirer... Mes mains vont te mettre en excitation.

Fait moi l'amour avec douceur et chaleur. Viens en moi de plus en plus fort. Je sens en moi des étincelles. Grâce à toi je suis au 7ème ciel.

 

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Seul dans le noir ...

 

Caresse-toi dans le noir, laisse toi envahir par l'émoi.

Imagine-moi, nue sous ma robe fleurie.

Ta main qui se glisse entre mes cuisses,

Mes seins durcis par le désir, quel plaisir.

Viens butiner dans mon jardin secret, tu auras la rosée de mon intimité.

Cesse de rêver et viens.

Oublis ton destin, le paradis est à porter de nos mains, mélangeons nos caresses en douceur ne soyons plus seuls, jouissons en cœur.

 

Par Aicha
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Mercredi 12 octobre 3 12 /10 /Oct 07:23

Aicha disparait du net, mais a t elle seulement exister....?

 

il n'y aura plus ni textes ni photos d'elle sur ce blog

 

elle vous laisse ses écrits mais n'en plubliera pas d'autres

 

 

 

Aicha a perdu quelqu'un qu'elle aimait

 

beaucoup, elle le regrette énormement 

 

tout le monde a droit aux erreurs elle espère

 

qu'en lisant ces lignes il le comprendra...

 

elle préfère disparaitre de vos vies pour ne pas

 

fuir et perdre la sienne...

 

 

 

 

elle espère vous avoir apporté beaucoup de

 

plaisir par ses textes (lesquels sont tous pure

 

fiction , c'est mon métier de vous faire rêver par les mots !)

 

 

les photos n'apparaitront plus, mais Aicha

 

considère qu' une femme, comme un homme,

 

est en droit de disposer de son corps comme

 

elle l'entend, elle n'a commis aucune faute.

 

 

 

bonne continuation à tous

 

Aicha

Par Aicha
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Mardi 11 octobre 2 11 /10 /Oct 11:58

Aicha se fait baiser dans l’escalier de son immeuble…

 

Aicha  ferme sa porte d’entrée avec deux tours de clé, son voisin l’a vue et l’attend vers l’ascenseur.  

 

-Que se passe-t-il?  lui dit-elle car d'habitude l’ascenseur ne tarde que quelques secondes à six heures et demie du matin!

-Il est en panne ou la vieille du septième l’a laissé ouvert…  

-il n’y a plus qu’à descendre par l’escalier

 

  Aicha descend la première, suivie de près par son voisin qui sourit en voyant comment ses talons aiguille ultra fins la font chanceler.  

-C’est pas drôle !

 

Aicha chancèle mais parvient à maintenir l’équilibre sur les marches grâce à l’homme qui descend en toute hâte et passe ses bras autour de sa taille.

  -Tout va bien ma petite?

  -Oui sale con!

 

Aicha est furibonde et lui, d’une humeur trop bonne. Elle ne sait pas ce qui lui arrive, dans un autre contexte son sourire lui aurait tellement plu.  

-Pourquoi devenez-vous grossière?

 

Il l’immobilise soudain en l’empêchant de descendre.

-Rien, tu m’emmerdes…dégage!  

-Mais non, viens…

 

Sa main glisse sous la jupe d’Aicha.  

-Dé…ga…gez…

 

Ses doigts caressent son entrejambe par-dessus son string  et cela détone un frisson involontaire d’Aicha, qu’il remarque en appuyant encore plus les doigts sur la vulve.  

-Que faites-vous ?  

-Rien, on se détend un peu….

 

  En tirant sur le tissu de son string l’homme passe son majeur tout autour de l’entrée du vagin en trempant le doigt dans les lèvres humides d’Aicha.  

Elle oublie toute résistance pour s’offrir entièrement à lui.   

-Baisez-moi… 

 

L’homme  n’attend pas qu’Aicha le supplie une deuxième fois et, sortant sa verge déjà raide, cherche le bon angle pour la pénétrer.  Sa bite rentre bien profond dans son sexe, bien profond car ses couilles sont là, tapant sur sa vulve.  

Il le fait exprès car il sait qu’Aicha adore qu’on la baise profond. Son gros dard lime sa chatte très lentement, en sorte que tous les points érogènes de son vagin soient activés.  Aicha ferme la bouche pour ne pas crier haut et fort toutes ces cochonneries qu’elle voudrait lui dire : « qu’il la prenne et la baise comme une truie, comme sa petite pute. »  

 

Plaquée contre le mur de l’escalier, elle se laisse faire, par derrière. Il la baise très profond et doucement.  Sa respiration chaude sur ses oreilles la rend folle. Puis, il lui fait écarter les jambes pour que ça rentre encore plus profond. Aicha est trempée de sueur, sa mouille est épaisse et abondante.  

-Ça te plait…? lui chuchote-t-il à l’oreille 

 

Aicha acquiesce d’un léger mouvement de tête sans parler. L’orgasme ne va pas tarder. L’homme accélère ses va-et-vient en poussant Aicha contre le mur.  Tout à coup, il jouit sans sortir son membre de la chatte d’Aicha, en l’inondant de sperme.  En sentant les palpitations de sa bite elle subit un orgasme infernal qui la fait frissonner si fort que son foutre coule vers le bas jusqu’à ses chaussures.

 

Aicha se dégage, remet sa jupe en adressant un sourire de satisfaction à l’homme encore appuyer au mur secouant sa bite pour faire tomber les dernières gouttes de sa jouissance.

 Elle lui dépose un baiser sur la queue et dévale les escaliers, elle est en retard…

 

 

 

  

 

Par Aicha
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Jeudi 6 octobre 4 06 /10 /Oct 14:49

Pensées érotiques…

 

Pas une partie du corps d’Aicha n’échappe à ses pensées. Parfois érotiques, souvent lubriques, toujours charnelles. C’est avec un plaisir toujours renouvelé qu’il se surprend en train de se remémorer d’agréables moments passés en sa compagnie, voire de s’imaginer d’autres instants avec elle dans des situations extrêmement chaudes. Bien vite, une réaction se fait sentir à hauteur de son entrejambe. Bien vite, sa main glisse vers son caleçon devenu étroit. Bien vite, il ferme les yeux, spectateur et acteur de son plaisir. Les images défilent.

 

Une soirée d’été. Une chaleur moite et lourde. Les fenêtres grandes ouvertes, à la recherche désespérée d’un peu d’air. Il est là, allongé sur le divan, en tenue d’Adam, le boxer en plus. Somnolent, étourdi par la chaleur ambiante.

Le bruit de la douche. « Juste pour me rafraîchir » Aicha lui a lancé après s’être extirpée de ses bras devenus trop encombrants.

D’un coup, elle est là devant lui. Debout, nue, les cheveux humides. Décidée. Sans un mot, elle le prend par le poignet. Il sort de sa léthargie sans bien comprendre. Seul son bas-ventre réagit plus promptement. Aicha l’emmène vers la chambre, l’assoit sur le lit, sourire aux lèvres. Elle se place devant lui, ses seins à hauteur de sa bouche. Ils sont beaux. Les bouts rosés semblent appeler sa langue. Aicha lui caresse les cheveux, l’invitant à aller au bout de ses pensées. Elle est séduisante, attirante. Il s’approche de son sein droit et sans décrocher son regard du sien, entoure son téton de ses lèvres. Les doigts d’Aicha se resserrent plus fort sur son crâne. Il aime sentir qu’elle apprécie son attention et joue de cela. Sa langue, visible, tournoie autour de ses pointes durcies par ces caresses buccales. Ses mains en profitent pour descendre sur ses fesses, suivant la courbe du dos d’Aicha. Il les a bien en mains et joue à les écarter, sans essayer d’aller plus loin. Pas encore.

 

Sans prévenir, Aicha le rejette en arrière. L’instant d’après elle est sur lui à califourchon. Sa chatte posée sur son boxer. Elle se frotte par des mouvements de bassin d’avant en arrière, ses deux mains posées sur son torse, concentrée sur son plaisir sans pudeur. Il bande de plus en plus. L’excitation le pousse à vouloir la toucher. Il essaie d’atteindre ses fesses et sa poitrine. Sans succès. À chaque tentative Aicha replace les mains au-dessus de la tête. Ça le frustre mais il aime ça. Il sent son caleçon s’humidifier.

 

  • Je te veux dans ma bouche, sont les mots qu’il prononce.

 

À ces mots, Aicha ralentit son mouvement, semblant hésiter une poignée de secondes. Elle approche de son visage, maintenant la même position. Délicatement elle pose son clitoris sur sa bouche impatiente. Les doigts d’Aicha écartent ses lèvres et mettent en évidence son petit bouton. Son odeur l’’enivre et le transporte vers un état d’excitation extrême. Le contact de sa langue sur le clitoris d’Aicha procure une sensation dans tout le corps. Il la lèche et la suce avec avidité. Ses mains se dirigent vers sa poitrine, désireuses de participer également à la fête. Les tétons sont durs et extrêmement sensibles.

Soudain, laissant sa chatte au contact de sa bouche, penchée vers l’arrière, Aicha cherche à agripper d’une main la bosse de son caleçon. Faisant preuve d’une grande habilité, elle libère enfin son sexe de son fourreau et elle l’entoure de sa main. Elle le sent tendu et humide à la fois. La main d’Aicha accélère par à-coups et envoie des décharges de plaisir, il ne peut réprimer un petit cri qui se perd entre les jambes d’Aicha.

 

Sentant sa jouissance proche, Aicha change de position et viens se placer à ses côtés en continuant de le branler. Il plonge une main vers son entrejambe, mais Aicha l’en empêche, jouant avec lui, réprimant son envie de la toucher. Elle le retient d’une main et de l’autre poursuit son mouvement en le regardant. Elle s’approche de son visage, la bouche à peine ouverte, les lèvres rosées, la langue prête à jaillir. Aicha a le contrôle et elle le sait. Ça l’excite. Elle se sent mouillée, l’embrasse à pleine bouche. Les langues choquent, se croisent et se décroisent. La main d’Aicha sur son sexe bouge au gré de sa langue.

 

Puis Aicha prend ses distances en lui maintenant le buste des deux mains, prenant soin de laisser une distance entre eux, le regarde coquine, sûre d’elle. Aicha regarde sa bite tendue et la trouve belle. Progressivement, elle lui dépose des baisers dans le cou, sur le torse, se rapprochant de son bas ventre. Lors de sa descente, il sent sa chatte mouillée contre sa jambe. Aicha se frotte. Un, deux, trois baisers et elle lui prend dans sa bouche avec force. Sa queue semble disparaître entre ses lèvres gourmandes, il rejette la tête en arrière, prit de vertiges. La sensation est intense et chaude. Humide aussi. Tout son corps réagit. il redresse le visage subitement, désireux de voir Aicha en action. Sa main est venue en renfort, soupesant les bourses pendant que sa bouche continue son mouvement de va-et-vient.

Aicha s’arrête et le regarde les lèvres pleines. Elle est occupée maintenant à lui lécher le membre comme s’il s’agissait d’une glace, ses yeux toujours plantés dans les siens.  Il n’en peut plus et veux la toucher. D’une main il parvient à lui saisir une jambe et la rapproche vers lui. Cette fois, Aicha se laisse faire, elle se place de biais, tout en gardant son attention sur le membre. Il atteint sa chatte de son autre bras sans difficulté. Aicha ouvre ses jambes largement, l’invitant à y introduire un doigt. Puis deux. Elle dégouline. D’une main sur son poignet, elle le force à aller plus loin, plus profondément. Il  en profite pour explorer sa grotte et commence à effectuer des allers-retours, accélérant le mouvement progressivement. Aicha émet un râle. Il lui devient difficile de continuer sa succion, au contraire de sa branlette qui devient de plus en plus intense. Il  sent sa jouissance monter de plus en plus et dans un effort surhumain lui  demande d’arrêter. Aicha stoppe directement.

Elle se place dos à lui, genoux pliés. Cambrée, elle l’attend, impatiente. La courbe de son dos le rend fou. Sans autre préliminaire, il s’approche de son cul, la bite tendue.

 

  • Je te veux. Remplis-moi.

 

Il la pénètre d’un coup, il accélère de plus en plus, va de plus en plus profond. À chaque mouvement, ses cuisses claquent contre les fesses d’Aicha. Il voit son membre disparaître en elle à chaque coup de boutoir. Les râles d’Aicha sont devenus des cris.

 

  • Vas-y, vas-y.

 

Ses paroles l’encouragent. Les doigts d’Aicha soupèsent ses couilles.

 

  • C’est trop bon… Tu m’excites.

 

Il tente de caresser son clito tout en poursuivant ses allers-retours. Ses mains s’agrippent de plus en plus sur les fesses d’Aicha, les écartant au maximum.  Il introduit son pouce dans le petit trou d’Aicha, elle se cambre encore plus. Il aime son cul et le lui dit.  Il la défonce avec force. Aicha l’encourage avec ses mouvements et ses cris.

 

  • Vas-y, je te sens bien.

 

Son regard semble décomposé par le plaisir. Ses lèvres rosées sont grandes ouvertes. Ses joues sont colorées. Tout en Aicha n’est plus que sexe. Cette vision fait monter en lui un plaisir intense, sa queue se durcit et il jouit par tous les pores de son corps. Des jets de sperme jaillissent. Aicha jouit. Son corps est pris de tremblements.

 

Il sort son sexe de la chatte et tombe épuisé aux côtés d’Aicha qui se blottit contre lui. Il l’entoure de ses bras.

 

 

 

 

 

Il rouvre les yeux. Étendu sur le sofa, il s’en est mis partout. Il se dirige vers la salle de bain et se nettoie à l’eau claire, va au lit, essaie de lire et finalement éteint la lumière. Demain c’est boulot. Il se sent déjà mieux.

 

 

Par Aicha
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Lundi 26 septembre 1 26 /09 /Sep 18:56

Aicha est une joueuse et une jouisseuse hors pair. Elle ne recule devant aucun défi, elle trouve des défis toujours plus excitants à relever.

 

En ce soir de printemps, même si le temps est pluvieux et qu’il fait encore froid, sa sortie devrait lui plaire. Elle est invitée à une réception particulière. Elle ne connaît personne, ni le lieu. Va-t-elle relever ce nouveau défi ?

Comme pour chaque grand événement de ce type, elle s’est apprêtée comme il se doit. Après être passée au bain, enduite de crème et parfumée, elle est fin prête pour le relever. 

L’exhibition, elle aime ça. Si elle pouvait, elle passerait ses journées sans rien dessus, à se faire reluquer. Savoir qu’elle détient le pouvoir de faire bander les bites, ça l’a toujours excitée.

Le bain n’a pas ramolli ses désirs. Ses seins que le jet de douche a déjà stimulés, pointent encore et sont impatients de poursuivre les caresses. Que dire de son petit bouton, le rasage en règle autour de sa chatte et l’application délicate de la crème ne l’ont pas épargné. Il est rouge de colère qu’elle ait arrêté ses massages et le lui fait bien sentir. Elle l’aurait bien satisfait pour lui éviter la crise de nerf, mais à l’évidence le temps presse, et elle n’est pas femme à céder au chantage. 

Prise à son propre jeu et ne voulant pas perdre la face, entre deux halètements elle décida de ne pas mettre de culotte.

Elle poussa le vice encore plus loin, elle ne savait pas où elle allait, ni avec qui, ni ce que c’est, elle avait  un quart d’heure de marche. La seule chose qu’elle prit pour y aller, c’est son long manteau et une paire d’escarpins. À poil sous son manteau de fourrure, avec une paire d’escarpins de dix centimètres de haut et basta, comme une salope. Avant de partir, un ou deux verres d’alcool pour lui donner du courage et la réchauffer.  

Après avoir enfilé ses escarpins, elle contempla le résultat dans la glace du couloir. Perchée à dix centimètres du sol, ses jambes bien galbées remontent vers son petit cul tout bombé et provoquant.

 

  • — Pas mal, je devrais faire de l’effet ! pensa-t-elle

 

En passant une main dessus son petit cul, elle peut déjà sentir qu’il est chaud… elle passe ses doigts entre ses cuisses, ils s’enfoncent déjà tout seuls, happés par ta chatte.

 

Satisfaite de ses charmes mais excitée par la situation, c’est à regret qu’elle enfile son manteau. Après l’avoir ceinturé, elle est enfin prête pour passer le palier et affronter le monde extérieur.

À cette heure et à cette période, il fait nuit tôt. Quelques passants s’affairent ça et là pour aller manger, les rues des alentours sont sombres. Aucune personne ne semble s’apercevoir qu’elle est nue sous son manteau. En voulant mettre ses mains dans les poches, c’est la surprise : ses mains se retrouvent contre ses cuisses.

 

  • — J’ai les poches trouées, pensa-t-elle immédiatement.

 

Excitée par la situation, l’effet était agréable et cette situation pouvait laisser court à plein de choses…

 

Arrivée dans la rue principale de la ville, il y a foule. Les passants sont nombreux aux entrées des cinémas et devant les endroits de restauration rapide. D’énormes files d’attente entravent la rue piétonnière.

Elle s’arrête volontairement devant un des cinémas noir de monde. Les gens sont partout. Il y a des files d’attentes dans tous les sens. Elle se dirige vers l’affiche du film passant entre les gens.

Plantée devant l’affiche, un homme s’approche d’elle et lui commente l’affiche pendant que ses deux mains investissent ses poches. Bien vite Aicha comprend son film puisque l’une de ses mains joue à lui caresser la chatte. Le rôle de l’autre est plus obscur ; posée sur sa croupe, elle ne résiste pas à investir son derrière. Les caresses se font de plus en plus précises. Son petit bouton a repris sa dimension de croisière et semble apprécier le traitement. Ses fesses se détendent et sont tout aussi réceptives. Englués dans cette foule, personne ne se doute que l’homme la masturbe presque en public. Son doigté est incontestable, et le résultat s’entend. Sa respiration s’accélère et se fait moins discrète. Pas facile de se contenir quand le plaisir l’emporte petit à petit et irrémédiablement… 

Les doigts de l’inconnu s’affairent devant, derrière. Elle mouille de partout et de jolis filets coulent le long de ses cuisses. À ce stade, Aicha est hors de contrôle. Son manteau laisse maintenant apparaître un sein. Une de ses cuisses est aussi visible à qui veux bien regarder. Elle s’en fout, c’est trop bon, il faut que ça continue, elle n’en peut plus. Son halètement a conquis son premier spectateur. Elle a son premier ticket avec le mec de devant. Devant ce spectacle, il a les yeux exorbités. Plus la jouissance arrive, plus elle plonge son regard vitreux dans celui de son voisin pour décupler sa jouissance. Rien ne l’arrêtera, bien au contraire et si elle pouvait s’exhiber d’avantage et faire partager son excitation à toute la foule, elle n’hésiterait pas. Aussi, c’est sans broncher qu’elle lui laisse défaire la ceinture de son manteau. Il écarte sans vergogne les pans du vêtement pour libérer ses seins qui dardent, et mettre au vent sa chatte dégoulinante. Un deuxième inconnu est momifié. Les doigts défoncent toujours plus l’entrejambe d’Aicha. Soudain un orgasme électrocute tout son corps. Les doigts de l’homme sont les témoins privilégiés de ce séisme. Des spasmes la paralysent. Elle se mord les lèvres de plaisir.

 

Après ce violent coup de chaud, l’homme, bienveillant, la réajuste pour éviter un viol collectif. Elle aurait bien aimé, après ce hors d’œuvre, elle aurait bien fait ripaille avec une quinzaine de bites acquises à sa cause. Ce n’est que partie remise, elle continue son chemin.

 

Elle arrive enfin à destination. Après avoir sonné à la grille, elle pousse un immense portail en fer forgé pour se diriger vers l’immense porte d’entrée de cette grosse bastille. Le jardin semble bien entretenu, la maison est ancienne et cossue. Une musique feutrée se détache de la lumière rouge de l’entrée. Une jeune servante habillée juste d’un tablier de cuisine l’accueille. Outre sa courtoisie, Aicha peut observer l’absence de toute culotte et de soutien-gorge. Vue de dos, sa croupe est magnifique. Sa tenue n’est pas pour lui déplaire et Aicha a le regard malicieux et sans équivoque.

Les bruits provenant de la grande salle du fond l’alertent sur le nombre très important de convives.

 

  • — Voulez-vous bien me suivre, lui propose la serveuse.
  • — Avec plaisir, répond Aicha.

 

Elle ne peut qu’accéder à sa demande et suivre à la trace ce petit cul qui se dandine et qui la dirige tout droit vers un vestibule pour déposer ses affaires. Le nombre de manteaux confirme l’importance de la réception. Aicha sent monter l’angoisse de se retrouver toute nue sans son manteau dans un endroit totalement inconnu. 

La gentille hôtesse la sentant défaillir est là heureusement pour la rassurer.

 

  • — Ici, toutes les filles ont droit à des attentions particulières et vous n’avez pas été oubliée. Ce sont des gens très attentionnés qui vous attendent, madame.
  • — Ah bon et vous savez ce qu’ils vont me faire ? répond-Aicha un peu plus rassurée mais curieuse par autant de mystère.
  • — Madame est impatiente, ce ne sont toujours que d’agréables surprises, moi j’en redemande toujours, réplique l’hôtesse en lui demandant son manteau.
  • — Je n’ai rien dessous !
  • — Ce n’est pas grave, bien au contraire, ici vous n’en avez pas besoin. Votre charme doit être dévoilé entièrement, fait-elle en lui caressant le haut des épaules. Vous avez la peau douce et je vois que vos seins ont les mamelons déjà réceptifs.

 

Il est vrai que les compliments et les caresses appuyées de son admiratrice ne la laissaient pas indifférente.

 

Au fond du vestibule, une grande glace lui renvoyait son image et toutes les attentions particulières auxquelles elle avait droit. La boniche n’était pas du genre farouche. Elle connaissait les vertus de l’hospitalité. Après l’avoir bien chauffée par une série de caresses, elle avait pu remarquer l’attirance qu’Aicha éprouvait pour toutes les femelles en chaleur. La bonniche avait investi toutes les parties du corps d’Aicha qui s’en remettait entièrement à ses mains serviables. En pareille circonstance le petit abricot d’Aicha était toujours volontaire pour pointer le bout de son nez mais le plaisir fut de courte durée. La bonne mit fin volontairement au traitement.

 

  • — Veuillez vous tourner, lui demanda subitement la bonne. Je crois qu’on nous attend avec impatience.

 

Sur ces mots, elle lui présenta devant les yeux un bandeau qu’elle noua autour de ta tête. Dommage pour les caresses qui avaient bien commencé à lui chauffer le bas-ventre. Son bouton était déjà toute voile dehors prêt à tirer des bords. Il fallait encore se résigner et remettre le départ.

 

  • — Laissez-moi vous préparer, je n’en ai pas pour longtemps. Ces messieurs ont choisi une jolie tenue, je pense qu’ils ont eu bon goût, précisa la bonne.

 

Plongée dans le noir par son bandeau, tous les sens d’Aicha étaient en alertes. Elle reconnut des bruits de chaînes qui furent confirmés dès que l’on lui passa sa tenue. Même les yeux bandés, grâce au contact du métal sur sa peau, elle avait une petite idée de l’accoutrement. Certaines passaient autour de ses mamelons, d’autres s’étaient incrustés dans la raie de son petit cul et remontaient entre ses lèvres jusqu’à la taille. Quand sa gentille maîtresse eut enfin fini d’attacher l’ensemble en faisant bien pénétrer les chaînes dans les endroits les plus intimes, elle lui posa deux pinces avec un poids sur les tétons avant de la diriger vers la grande salle les mains liées par un bracelet.

 

En marchant, le dandinement des poids excitait au maximum ses tétons, le frottement du métal à l’intérieur de son sexe commençait son œuvre pyromane. Se sentir soumise et à la merci d’inconnus rajoutait à son excitation. Elle entra telle une esclave, dans l’arène.

 

À la vue d’Aicha, le brouhaha de la salle s’était arrêté net. Même si elle ne voyait rien, elle pouvait sentir les multitudes regards se poser sur elle.

 

  • — Je vous présente Aicha, cria son guide en la faisant tourner plusieurs fois sur elle même. Admirez la courbure de ce cul et cette chatte qui ruisselle déjà, fit-elle en lui passant les doigts entre les cuisses. Bientôt elle vous sera offerte ! Je vois vos queues, Messieurs, déjà sous le charme. Rendez-lui l’hommage qu’elle mérite. Elle est votre esclave ! Cette mignonne petite salope aime ça, précisa-t-elle en la tirant par les bras vers le fond de la salle.

 

Tous les gens s’étaient réunis autour d’Aicha et faisaient une longue allée pour la laisser passer. Elle ne pouvait voir cette haie d’honneur mais déjà elle pouvait sentir les attouchements et autres lanières qui la caressaient à son passage. Plein de mains se posaient sur son corps. Elles réclamaient leur offrande.

Arrivée au fond de la salle, sa maîtresse lui fit monter un petit escalier qui menait à une estrade. À chaque marche, les poids placés sous ses tétons tiraient ses seins vers le bas, les chaînes échauffaient agréablement les alentours de son entrejambe et son abricot s’excitait tout seul avec la chaînette qui se balançait dessus.

 

Arrivée sur l’estrade, un colosse habillé de cuir lui attrapa les poignets pour les attacher à une corde reliée à un treuil. Son hôtesse était toujours là et n’en perdait pas une miette. Elle semblait déjà jouir de la situation.

 

Quand le treuil fut actionné Aicha partit en avant puis fut positionnée à la verticale de la machine. Le colosse jouait de son pouvoir avec délectation et la positionna presque en équilibre sur la pointe des pieds tout ton corps étiré vers le haut.

 

Exposée de la sorte, elle était entièrement à leur merci. Pour vérifier la justesse de son réglage, son bourreau lui caressa les seins de bas en haut puis de haut en bas en tirant vigoureusement sur la chaînette qui descendait des mamelons. À ce stade d’excitation, la douleur se transforme en plaisir et Aicha ne pouvait dissimuler son trouble. Les grosses paluches de son maître descendirent palper vigoureusement l’intérieur de sa chatte. Elle n’en demandait pas tant. Ces quelques caresses étaient électrisantes. Se sentir à la merci et si impudiquement exposée l’excitaient de plus en plus. Elle ne pouvait le voir lui et tous les autres, aussi elle s’en remettait uniquement à son unique sens disponible : le toucher.

 

Satisfait de la marchandise il s’écria :

 

  • — Elle mouille la cochonne, il faut lui donner une punition.

 

Toujours entre appréhension et excitation Aicha était maintenant prête à tout accepter.

 

  • — Le fouet, décida-t-il d’une voix rauque.
  • — Oui, le fouet, s’écria la boniche.
  • — Oui, le fouet, reprit l’assistance.

 

La sentence fut immédiate et le colosse se dévoua pour jouer le bourreau. Aicha ne l’avait pas encore vu, et très peu entendu mais elle imaginait le personnage : grand, baraqué et viril. Les lanières d’un petit martinet claquaient maintenant sur ses fesses. Ce n’était pas la grosse correction, mais juste ce qu’il faut pour échauffer encore une zone fortement exposée. Les lanières lui caressaient les fesses, une fois à gauche, une fois à droite et remontaient de temps en temps entre les jambes pour venir claquer sur sa chatte. Ses beaux seins en poire n’étaient pas épargnés et subissaient une flagellation croisée des lanières jusqu’au bout des tétons. À l’évidence le colosse n’était pas un débutant et connaissait la musique. Entre deux mouvements, son tortionnaire marquait une courte pose pour venir lui caresser les fesses ou lui introduire ses gros doigts de bûcheron entre les cuisses. La chatte d’Aicha mouillait de plus en plus et de fines gouttelettes perlaient sur ses jambes, signe que son châtiment ne lui procurait pas que des rougeurs sur le postérieur ou sur les seins.

 

Après un bon quart d’heure de ce traitement son bourreau s’écria :

 

  • — Je crois que ça suffit, la cochonne est à point, vous pouvez venir constater.

 

À ces mots la « bonne » enleva sa tenue et ses chaînes tout en conservant son esclave attachée au bout du treuil et maintenue sur la pointe des pieds. Livrée en pâture à toute l’assistance, plein de mains s’agitaient sur le corps d’Aicha. Elles prenaient possession de son corps, la caressaient, la soulevaient. Son sexe était investi de toute part, ses seins étaient la proie d’une pieuvre aux multiples tentacules, sa bouche avait même quelques doigts à sucer, Aicha était caressée dans tous les sens et de partout. Les yeux encore bandés rendaient son supplice encore plus exquis. Elle pouvait laisser libre court à son imagination. Après un tel traitement, il y avait bien longtemps qu’elle avait laissé sa pudeur au vestiaire. Une véritable cochonne prenait possession de son corps.

 

À côté des caresses, certains commençaient à lui introduire des doigts, puis des godes prirent possession des lieux. Aicha ne pouvait voir mais  était possédée par le plaisir. Elle aurait voulu toujours plus.

Sentant son plaisir monter dangereusement, un des plus vicelards lui détacha les mains, enleva son bandeau puis l’étala sur le dos sur une grande table de banquet en contrebas de l’estrade. La surprise d’Aicha fut de taille, il y avait bien une vingtaine d’hommes nus autour d’elle, avec des queues toutes plus grosses les unes que les autres. Ses yeux n’en n’avaient jamais vus autant.

Toutes bandaient et étaient tendues comme des arcs, prêtes à lui lancer leurs flèches. Certains mâles impatients commençaient à se branler à quelques centimètres d’elle. L’odeur de sperme montait. Devant un tel spectacle, la salope était à son affaire. Sucer, aspirer, branler, mordre, elle ne savait plus quelle queue prendre pour se goinfrer de bites.

 

Les jambes en croix, écartelée par deux molosses, la chatte d’Aicha subissait toutes les effractions imaginables de doigts et d’objets divers. Ses seins étaient étirés par les pinces toujours rivées à ses tétons. Son petit trou bien rouge, était sondé par une poignée d’explorateurs toujours en manque de sensation. Bref, la cochonne avait ce qu’elle voulait, des bites et des mains à son service et pour son plus grand bien…

 

Après toutes ces caresses, l’assaut fut lancé. Aicha avait maintenant une pénétration en règle de toutes ces queues, enfin celles qu’elle pouvait encore engloutir ou satisfaire. À quatre pattes, une dans le cul, une autre dans sa chatte, elle continuait à sucer et à branler vaillamment toutes les bites qu’on lui présentait. Son excitation culminait comme jamais. Complètement libérée et à la recherche du plaisir absolu elle s’était métamorphosée en une admirable cochonne. Une pure salope. Une merveille du genre.

Quelques indicateurs ne trompaient pas. Sa chatte coulait comme une fontaine, son cul se bombait comme jamais pour défier la bite. Ses cris de plaisir retentissaient dans toute la salle. Aucun doute, elle avait envie d’être défoncée par tout ce troupeau de mâles et elle était prête à aller tirer jusqu’à la dernière goutte de sperme.

 

Après tous les coups de butoirs, après autant de queues la défoncer, le plaisir monta inexorablement jusqu’à électriser tout son corps. Arrivés à leur fin, ses assaillants l’inondèrent de leur semence. Une bonne vingtaine de queues crachèrent leur plaisir sur sa figure. Abreuvée de sperme, elle s’en léchait les babines jusqu’à la dernière goutte.

Malaxée dans le sperme, encore quelques spasmes résiduels résonnaient encore dans son corps. Les quatre pattes en l’air, elle puisait encore dans ses dernières réserves pour sucer quelques bites ramollies dans l’espoir de leur soutirer encore du plaisir pour un second tour.

Comme pour marquer la fin de la partie, de l’eau inonda la table. La bonne, un jet à la main, l’arrosait à grande eau. Outre l’effet lavant, le massage à l’eau était bienvenu.

Impudique, et pour défier son hôte, Aicha écartait grand ses jambes. Le compas à fond, la vue était admirable. L’autre cochonne insistait bien avec le jet, là où ça faisait du bien à Aicha. L’effet du jet sur sa chatte et sur son petit trou était des plus agréables et elle sentait déjà l’orgasme renaître.

À la voir faire avec son jet, la salope n’avait pas dû avoir son compte et Aicha l’intéressait. Avec son jet, elle jouait au pompier de service. Le geste alerte et après quelques mouvements rapides de haut en bas avec le jet sur le sexe et le con d’Aicha, la boniche mettait la pression sur le petit trou qui n’en demandait pas tant. C’était une vicieuse qui la masturbait au jet, en plein public. Le fait d’être encore exposée au beau milieu d’une salle dans cette orgie l’excitait toujours.

Plus l’excitation montait et devenait insupportable, plus Aicha lui tendait insolemment sa chatte. Haletante, elle l’implorait de lui donner le coup de grâce.

 

La délivrance ne tarda pas. Un des tortionnaires se saisit d’un cierge et l’introduisit tel un gros phallus dans son petit trou. Les va-et-vient étaient dévastateurs de plaisir, de plus, en même temps, la bonne continuait à lui exciter la chatte avec son jet.

Avec ce traitement de choc, Aicha ne résista pas plus de cinq minutes. Une série de plusieurs spasmes lui secoua tout le corps. Elle avait son compte. Quoique…

 

Par Aicha
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