Vendredi 15 juillet 5 15 /07 /Juil 22:35

Aicha est une jeune femme avec de longs cheveux châtains aux reflets miels attachés en queue haute. Elle a des yeux verts avec des reflets bleutés. Ce jour-là, elle porte une jupe et un top très court avec de longues cuissardes. Bien évidemment, elle a une grosse poitrine enfermée dans son petit top.
Elle était en train de regarder l'électricien travailler à l'installation du nouveau compteur quand elle sentit son sang bouillonné. Elle se leva et passa ses bras autour du cou de l'homme. Il était plutôt beau. De courts cheveux roux bien coiffés, des lunettes de soleil sur ses yeux verts, un jeans et un t-shirt.


-  Ca vous dirait ?  Souffla-t-elle en passant sa main sous le col de son t-shirt pour venir caresser ses pectoraux.


L'électricien, releva la tête et la regarda. Elle était tellement belle et il pouvait sentir sa poitrine chaude contre son dos. Il lui sourit et se redressa.

Aicha sourit, sentant qu'elle en aurait pour son compte. Elle lui prit le poignet puis l'attira dans le cagibi. Ils laissèrent entrouvert pour avoir un peu de lumière. La jeune femme sourit et vint se coller contre l’homme.
« Le roux » passa ses mains autour de la jeune femme, la regardant dans les yeux. Il sourit puis retira le haut d’Aicha. Il ne put que sourire en voyant qu'elle ne portait pas de soutien-gorge. Il passa ses mains sur la chaude poitrine et la massa doucement. Il se pencha et prit un téton en bouche. Il le lécha doucement faisant gémir la jeune femme qui se serra contre lui, le corps en feu.
Elle passa ses bras autour de ses épaules puis ses jambes autour de ses hanches. Elle colla son corps en feu contre celui de Mathieu alors qu'il suçait ses tétons faisant gémir sa compagne.

 

-      Plus... Murmura-t-elle.


L’homme ne se le fit pas redire, il sentait son sexe dur. Il continua de sucer la poitrine de la jeune femme tendit qu'il fit entrer deux doigts en elle. Il ne put que sourire en la sentant tellement humide et surtout qu'elle ne portait pas de culotte non plus.
Il remua ses doigts en elle et aima l'entendre gémir et hurler son plaisir. Elle remuait sur ses doigts pour le sentir plus profondément en elle. Elle était en transe et en voulait plus.


- Plus fort...plus fort !  Cria Aicha en remuant comme elle pouvait.


L’électricien sourit et enfonça ses doigts plus loin et plus rapidement en elle. Aicha se serra contre lui avec force lorsqu'elle jouit. Son corps tremblait mais si elle en voulait plus, elle voulait aussi lui rendre la pareille. Ainsi, difficilement, elle descendit et se mit à genou.
Elle sortit le sexe du "roux" de son pantalon avant de le mettre en bouche et de le sucer longuement. Mathieu poussa un soupir de plaisir et il prit la tête de la "châtain" pour la forcer à aller un peu plus loin. Aicha s'exécuta, fit coulisser l'organe dans sa bouche, caressant sa base d'une main et les testicules de l'autre.
L’homme s'appuya contre le mur, adorant de sentir cette bouche sur son sexe gonflé. Il n'avait plus couché depuis longtemps ainsi, il sentit qu'il était déjà à sa limite.


Aicha... Souffla "le roux".


Mais il ne put dire plus que le liquide explosait dans la bouche de sa partenaire. Cette dernière avala la douce et chaude semence blanche. Elle s'éloigna ensuite de l'électricien et lui sourit. Elle s'assit sur une caisse et elle écarta les cuisses pour dévoiler son intimité ruisselante de sa mouille.
« Le roux » la regarda très excité. Il se masturba en la voyant se caresser la poitrine et le vagin. C'était vraiment très excitant. Il fut bientôt dur et il put se mettre à la hauteur d’Aicha et de la pénétrer.
Celle-ci  poussa un cri de plaisir en sentant ce sexe en elle. Bien vite, l’homme commença à donner des coups de hanche. Il entrait et sortait de son intimité toujours plus vite faisant crier « la châtain » de plaisir.
Elle se serra fort contre lui et remua les hanches pour l'avoir le plus profondément possible en elle. « Le roux » comprit le message et il s'enfonça en elle avec force pour arriver au fond. Il s'efforça de lui donner le plus de plaisir possible ainsi, après cinq minutes de sexe intensif, ils jouirent ensemble.
L’électricien  se retira, ils se rhabillèrent.

La jeune femme resta avec lui jusqu'à ce que son travail soit terminé alors qu'ils décidèrent de refaire ce genre de sport durant tout le temps du travail du « roux. »

Par Aicha
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Jeudi 7 juillet 4 07 /07 /Juil 12:03

Aicha soumise

 

 

J’aime être votre femme soumise, l’esclave aux pieds de mon Maître, obéissante sans rechigner, sans dire jamais non à mon Seigneur et dictateur des désirs.

J’aimerais par vous mes seins léchés, baisés, sucés, torturés…

Mes courbes prises, malaxées, pétries sans relâche…

Ma bouche capturée, captive, léchant, suçant sans honte, sans répit…

Mon corps soumis à vos envies, vos appétences, vos folies…

Je suis à vous, corps et âme. Je  ne connais que 4 mots dans mon vocabulaire :

"Oui, Maître, merci, Maître et encore, Maître "

 Moi, dont le prénom est à présent des insultes, des gros mots, des affronts, des impolitesses, ces mots qui me font vibrer et m’offrir, m’ouvrir plus encore, à vous, mon Maître.

 

Avoir quelque chose à accomplir avec le sourire, la joie de pouvoir témoigner encore et toujours mon attachement, ma soumission.

Réaliser en votre compagnie de nouveaux défis, mes souhaits, mes envies, mes fantasmes, dépasser mes limites. Toujours exécuter vos ordres, docile, obéissante petite soumise à son Maître.

 

Réaliser une sucette selon vos ordres, je m'y vois déjà... 

À quatre pattes, entre vos jambes, je laperais délicatement vos couilles. Je saliverais sur votre queue bien raide, je la lècherais, je l’aspirerais.

Je serais et suis déjà votre chienne, toute docile. Assidue, je tournerais autour de vous, donnant des petits coups de langue sur vos jambes, vos fesses, partout sur votre peau. Je vous honorerais, vous, mon Maître.

Je marcherais félinement à quatre pattes, le cul bien levé, le dandinant effrontément, la chatte bien ouverte d’où s’écoulera ma cyprine, vous passerez un doigt dedans et vous me lécherez :

 

— Ceci est une récompense, me direz-vous, pour avoir été obéissante.

— …

— Tu aimes ?

 

Je ferais "oui" de la tête, vous  me demanderez de me masturber et de me lécher ensuite les doigts. J’écarterais bien les jambes pour que vous puissiez jouir du spectacle, je me caresserais doucement puis plus vite, en ondulant bien ma croupe…

Je sucerais mes doigts un par un me délectant de ma mouille, je serais au bord de l’explosion. Je vous regarderais, mes yeux se poseront sur votre sexe gonflé, j’aurais envie de le reprendre dans ma bouche !

Soudain, n’y tenant plus, je me dirigerais vers lui et l’engouffrerais d’un coup.

 

— Qui t’a dit de bouger de ta place ?

 

Vous vous retirerez de ma bouche, je serais déçue ! Puis sans effort, vous me retournerez, je sentirais votre sexe m’enfiler d’un coup sec ; la situation, l’excitation, et le va-et-vient me feront hurler de plaisir !

 

— Je suis votre chienne, baisez-moi ! Oh oui, baisez-moi ! Ne vous arrêtez pas, prenez devant, derrière, j’aime être votre chienne !

 

Je jouirais, tout mon corps s’enveloppera d’une sensation de bien-être, votre semence, que je désire tant, viendra inonder mon ventre !

J’aimerais ce plongeon dans la luxure avec vous ; cette fois, ce sera me sentir chienne entre vos mains et la prochaine fois…

Oui, que sera donc cette prochaine fois ? Que deviendrai-je ? Jusqu’où j’irai, jusqu’où j’oserai aller avec vous, pour vous, mon Maître ?

J’en suis certaine, je saurais m’abandonner sans réserve, avec simplicité  comme si tout cela était naturel…

La bouche ouverte à votre queue, la chatte offerte à toutes les intrusions, le cul béant à toutes les intromissions, fière d’être comblée, fière d’être satisfaite ainsi, moi, votre soumise adorée et obéissante, esclave de rêve, enchaînée à vos pulsions, frémissante à vos convoitises…

Je veux tout ; tout de vous et de moi, recevoir, donner, lécher, sucer, avaler. Toujours plus loin vers ces horizons sombres mais si porteurs de lumière.

 

Le froid papier deviendra-t-il chaude réalité ?

Vous êtes le Maître et vous seul le déciderez…

 

Votre fidèle et dévouée Aicha

 

Par Aicha
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Mardi 5 juillet 2 05 /07 /Juil 14:04

Aicha et son maitre ont décidé daller au cinéma ce matin. C’est quelque chose d’anodin bien sur mais ils ont tous les deux une idée bien précise en tête en partant car la salle obscure leurs donne quelques idées malicieuses qu’ils désirent réaliser depuis longtemps. Partis pour la séance de 11h, ils espèrent qu’il n’y aura pas trop de monde, enfin c’est surtout Aicha qui l’espère car le maitre s’en inquiète moins
Arrivés devant le ciné ils choisissent un film n’ayant pas trop de succès pour éviter un peu la foule et réaliser ainsi quelques uns de leurs fantasmes cachés..
Billets en mains ils se dirigent vers la salle, main dans la main en laissant leurs esprits vogués à ce qui allait peut être se passer une fois dans l’obscurité. Ils s’installent à l’arrière de la salle et, malheureusement pour Aicha, deux filles arrivent et s’installent juste devant eux, ses idées coquines s’éloignent, tant pis.. Elle n’a plus qu’à se farcir ce navet !
La lumière s’éteint, le film commence. Au bout de quelques instants les petites envies d’Aicha la reprennent mais en même temps, de savoir que ces filles peuvent les voir la dérange un peu. ..
Si elles s’étaient installées deux rangs en dessous elles n’auraient pas du tout déranger mais là en plus Aicha voit bien que son maitre n’attend que le moment où elle va enfin poser sa main sur sa cuisse, et ailleurs aussi bien entendu.
Après plusieurs hésitations Aicha se dit qu’il fait noir et qu’elles ont l’air captivé.. Elle tente le diable
Sa main s’aventure sur la cuisse. Elle le sent tressaillir car il connaît ses réticences s’il y a des gens autours d’eux.
Sa main s’approche des boutons de son pantalon, elle les défait un par un, son maitre est déjà tout émoustillé. Elle commence à caresser son sexe tout tendu sous son boxer, elle aime le sentir tout dur sous sa main
Mais elle en veut plus, alors libère sa queue de ce boxer qui devenait trop serré et le voilà, devant elle, gonflé de désir, Aicha n’a qu’une envie, c’est de le prendre dans la bouche !
Elle regarde son maitre, sent son regard fixé sur sa bouche et oublie où elle est, oublie ces filles qui peuvent la voir à tout moment ; Aicha n’a qu’un désir, prendre cette queue au fond de sa bouche. Elle s’approche d’elle, la lèche, son gland gonflé Aicha sent alors la main de son homme se crisper ; elle fait glisser sa langue le long de sa queue... hum quel délice ; elle aime la sentir sous sa langue mais la lécher ne lui suffit pas, elle la prend dans sa bouche, elle aime tellement sucer cette belle queue  parfaite pour les pipes, bien grosse comme Aicha les aime.
Et là soudain elle perçoit un mouvement devant eux, elle se relève rapidement en espérant qu'elles n’aient rien vu. Son maitre a toujours sa queue dressée et elle sait que si jamais elles l’ont vu il serait très excité. Aicha se rend compte que la situation l’excite elle aussi bien plus qu’elle ne l’aurait imaginée au départ, car elle sent son string devenir humide..
Alors plus rien ne l’arrête, elle se jette à nouveau sur cette queue qui n’attend que çà. Elle la reprend dans sa bouche et la suce, la déguste, la bouffe toute entière, elle la veut au plus profond de sa gorge. Aicha a toujours aimé sucer et se régale, plus rien ne compte à part cette queue  qui s’offre à elle ; elle alterne entre sa bouche et sa main, la branle, la suce ; elle descend lécher ses boules .. Aicha est comme folle !
Elle entend des petits gémissements que son homme essaye de taire mais n’y arrive pas. elle sait que les demoiselles peuvent les voir, les entendre mais cela en devient que plus excitant.. Et elle continue à rendre fou son homme, elle continue la séance de torture, car elle sait que son maitre va bientôt atteindre le point de non retour et elle espère bien le surprendre car il ne doit pas se douter de ce qui l’attend …
Sa queue va et vient entre sa bouche et sa main, son string devient de plus en plus mouillé, et elle sent cette  queue prête à exploser.
Une main l’arrête, Aicha lance un regard interrogateur à son maitre, celui-ci lui dit de ne pas continuer car il ne va plus tarder à jouir. Parfait c’est ce qu’elle attend depuis un moment
Sans plus attendre elle le reprend en bouche et le suce de plus en plus vite ; elle veut le faire jouir, ici dans cette salle de ciné, devant ce film pourri.. Il la laisse faire, elle sent la respiration du maitre s’accélérer, ses gémissements s’intensifient, ses ongles s’enfoncent sur son bras, Aicha est excitée de le mettre dans cet état là.
Elle sent sa queue se contracter et enfin il jouit, enfin il se libère dans sa bouche !  Aicha sent un premier jet inonder sa gorge, elle jouit presque tant elle adore ça. Et c’est à ce moment là qu’une des filles se retourne légèrement mais c’est trop tard Aicha ne peut pas arrêter maintenant, si elle retire la queue de sa bouche, elle va mettre de la crème partout, et elle n’aime pas le gâchis !
Alors elle commence à avaler sans se soucier des regards. Un autre jet vient remplir sa bouche, elle sent couler son sperme tout chaud au fond de sa gorge, elle avale tout, elle aime tellement avaler et pour ne pas laisser sa queue pleine de crème elle lèche jusqu’à la dernière goutte
Puis elle pose un dernier baiser sur son sexe, se relève sur son siège, discrètement son homme se rhabille, leurs regards se croisent et elle glisse sa main dans la sienne.
A ce moment là,  l’une des filles se retourne et les regarde ; Aicha ne sait pas si elle se doute de quelque chose …mais si elle s’était retournée 20s avant…

 

Par Aicha
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Jeudi 30 juin 4 30 /06 /Juin 14:55

La salle d'attente est pleine de gosses malades, Aicha a pris un rendez-vous un mercredi après-midi, ce n'était pas une bonne idée... Le médecin a encore du retard, elle hésite entre rester ou partir de cet endroit étouffant. Elle a honte, elle ne sait pas quoi lui dire. Ca fait quelques années qu'il la suit : ils se connaissent à peine, elle n’est que rarement malade. Un rendez-vous de temps en temps pour un certificat médical ou un rhume carabiné. Aicha sait qu'il est toujours terriblement en retard, elle trépigne chaque fois dans la salle d'attente, se jurant de changer de médecin.

 Et puis, quand il ouvre la porte et la fait entrer dans son bureau, elle oublie tout. Il est gentil, doux, il a le regard rieur, il est très empathique.
Mais cette fois, non, non, elle a trop honte

Madame T., veuillez me suivre, c’est à vous.

Déjà ? Aicha ne l'a pas entendu entrer tellement elle est plongée dans ses pensées.

Elle entre, rougissante, et s’assoit, baisse les yeux, sa voix tremble. Il attend silencieusement. Le silence se fit pesant mais Aicha ne savait pas par où commencer. Il se racle la gorge, elle relève la tête et croise son regard clair. Il sourit, semblant lui indiquer que tout peut être dit dans ce bureau aux nombreux secrets.

- Alors, euh, en fait, je viens vous voir pour un problème, euh, très gênant, euh, voilà, donc, je n’ai plus de euh, de plaisir, lorsque je fais l’amour.
Ca y est, elle l'a dit.
- Je vous en parle parce que ça me pèse vraiment, depuis plusieurs mois. Je me pose beaucoup de questions …

 

 

La semaine suivante, jeudi soir :

 

Aicha est seule dans la salle d'attente. Le médecin est venu chercher son avant-dernier patient il y a 10 minutes. Leurs regards se sont croisés, puis détournés. Il ressort sans un mot, le visage fermé. Aicha est intimidée, elle rougit toute seule dans la salle d'attente en repensant à la scène de la semaine dernière. Le désir monte en elle, rien qu'à la pensée de ce cunnilingus hors du commun. Ses yeux se ferment, les sensations l'envahissent.

Elle  le revoit, penché sur elle ; elle la ressent, sa langue chaude... Mmmmh, elle soupire d’aise, ouvre son manteau, se détends sur sa chaise, le sourire aux lèvres. Elle est déjà toute émoustillée, son sexe lance un appel sans équivoque, le même que celui de la semaine dernière : "baisez-moi, baisez-moi, baisez-moi..."

- Alors Madame, vous êtes prête pour la consultation ?

Il a surpris Aicha tandis qu’elle divaguait. Elle se lève brusquement,  fait tomber son sac ; son écharpe  est enroulée autour de son bras, elle n'arrive pas à s’en dépêtrer. Quand elle se baisse pour ramasser son sac, c'est son téléphone qui glisse et qu’elle  rattrape de justesse. Il rit, il lui demande s'il peut l'aider. Il s'approche et pose ses mains sur ses épaules en lui conseillant de se calmer. Ses lèvres frôlent délicatement sa nuque. Il retire le manteau d’Aicha, le pose sur une chaise. Toujours dans son dos, il l'attire à lui, la serre contre lui et elle se laisse aller, relâchant enfin la pression et sentant la détente l'envahir. Aicha penche la tête contre son torse et  soupire.


- Allez, venez dans mon bureau, nous serons mieux. Vous savez que cette consultation dépasse les règles de la déontologie ?
- Je le sais, bien sûr. Il est rare de voir des médecins payer ainsi de leur personne physique... Vous craignez que je porte plainte ?
- Et bien, j'avoue y avoir pensé. Ce que je vous propose n'est bien évidemment pas autorisé par l'Ordre des Médecins. Je perdrais l'autorisation d'exercer si vous portez plainte.
- Ne vous inquiétez pas, je ne suis pas ici en tant que patiente, même si vous avez sûrement des choses à m'apprendre sur le fonctionnement de mon corps et de mes organes... sexuels. Je suis ce soir une simple femme désirant...faire l’amour... avec vous.

Il ôte sa blouse, enlève ses lunettes et se frotte les yeux. Il boit un verre d'eau, s'étire. On dirait la mue du professionnel qui quitte son uniforme pour redevenir un homme normal. Il lui sourit. Il est vraiment charmant.

 

 

 

Allons, pour une fois, Aicha va prendre les devants et ne pas attendre que tout vienne de lui. Elle se transforme, elle aussi, mais intérieurement, en femme audacieuse et sensuelle. Elle  veut qu'il profite lui aussi de cet étrange rendez-vous. Alors, Aicha commence à se déshabiller, en le regardant droit dans les yeux, se forçant à ne pas les baisser. Elle retire son gilet, enlève son haut, dégrafe sa jupe, et se retrouve en bottes, bas et sous-vêtements. Elle se sent très nue ainsi, mais de voir briller l'intérêt dans ses yeux, de le voir sourire légèrement et respirer un peu plus fort, Aicha se sent confiante. Elle s'approche de lui et  le pousse gentiment pour qu’il s'assoie dans son fauteuil et posant son pied droit sur sa cuisse, elle lui demande :

- Enlevez-moi cette botte, s'il-vous-plaît.

Il obtempère, les mains tremblantes. Il parvient à retirer la botte malgré tout. Aicha le vois déglutir lentement pendant que sa main remonte le long de sa jambe, glissant sans bruit sur le bas noir. Il lui serre le genou de ses doigts longs et fins, approche doucement ses lèvres et les pose sur le bas de sa cuisse, juste à côté du genou. Son souffle chaud transperce le tissu synthétique. Aicha sent cette brûlure l’envahir, elle a envie d'arracher le bas pour mieux percevoir les sensations que lui procure ce contact. Mais elle le laisse faire ; ses mains continuent à monter jusqu'en haut de sa cuisse et déroulent lentement le bas. Le souffle d’Aicha est comme suspendu. Elle  tressaille, frissonne, les doigts du médecin touchent à peine sa peau, à peine un frôlement, dont l'effet est inversement proportionnel à la légèreté de la caresse. Petit à petit, le bas est déroulé jusqu'à sa cheville. Il lui soulève le pied pour retirer enfin ce truc dont le contact est devenu insupportable à la jeune femme.

Très troublée, Aicha retrouve néanmoins ses esprits pour retirer son pied de sa cuisse et changer de jambe.

- Enlevez-moi celle-ci, maintenant.

Cette fois, il ne tremble plus. Ses gestes sont plus assurés ; il défait la fermeture éclair de la botte sans difficulté et la jette au sol. Le pied d’Aicha glisse doucement sur sa cuisse pour atteindre son entrejambe. Aucun doute, il est déjà dur. Elle frotte la bosse de la pointe de son pied, à travers son pantalon. Il recule légèrement, crispé par l'excitation. Le pied remonte sous sa chemise et caresse le ventre, les flancs, et redescend vers son sexe.

 
- Retirez mon bas, je ne le supporte plus.

D'un geste empressé, il continue donc de la déshabiller. Il approche ensuite son siège du bureau et Aicha se retrouve coincée entre ses bras. Elle s’assoie sur son bureau. Il saisit ses genoux et les écarte sans ménagement.


- J'ai envie de te goûter encore, dit-il à voix basse.
- Je n'y vois aucune objection, Docteur...

Sa bouche monte jusqu'en haut de la cuisse d’Aicha, à cet endroit si doux, juste avant d’atteindre la chatte déjà bien humidifiée par le désir puissant qu’elle ressent. Il écarte sa culotte pour embrasser sa fente. Aicha ne sent que ses lèvres se poser, elle est déjà brûlée. Il tire encore plus fort sur l’élastique pour laper le miel qui coule en elle. Il donne des petits coups de langue répétés, rythmés, tel un chaton assoiffé. Ses mains serrent ses cuisses.

 

 

 

Ca fait une semaine qu’Aicha attend ce moment, elle n’en a jamais été aussi proche, n’a jamais été aussi désireuse de sentir la queue d’un homme l’emplir et la soulager, mais elle doit attendre, ça n’en sera que meilleur.

Elle se laisse aller contre sa bouche, enserre son visage de ses cuisses, lui caresse les cheveux, la joue

Gêné par la culotte, il s’écarte d’Aicha pour  la retirer. Ses gestes frénétiques révèlent son excitation. Les mouvements sont maladroits, la culotte résiste, les deux amants rient. Aicha profite de cet intermède pour le relever et lui déboutonner son pantalon, l'attire à elle pour sentir son sexe bander dur, contre son pubis. Elle le sent frémir à travers son boxer. Les mains de la jeune femme se posent sur ses fesses, elle le presse contre elle. Il relève la tête d’Aicha pour  l’embrasser, lui  tripote les seins à travers son soutien-gorge. Il passe sa main derrière le tissu, ses caresses durcissent les tétons. Aicha est toute entière tendue vers lui.

Elle  lui chuchote : "Je te veux maintenant". Ces mots lui arrachent un gémissement.

Aicha descend  son boxer, saisis la queue  du médecin entre ses doigts, la caresse, la positionne à l’entrée de sa grotte. Il fait un mouvement du bassin pour la pénétrer mais elle le retient de ses mains. Pas encore ; elle utilise son sexe pour aller et venir sur sa fente humide, pour appuyer sur son bouton. Aicha ondule du bassin.

A ce moment-là, il s'impatiente, il écarte ses mains, bloque les hanches et la pénètre sans un mot. Ca rentre tout seul, aucun obstacle ne vient s'interposer, son vagin est assez mouillé pour permettre ce doux glissement  en elle.

- Pas de vaginisme non plus Tu m'accueilles chaleureusement dans ton intimité, lui susurre-t-il à l'oreille.

Aicha sourit, elle se sent effectivement très ouverte à l’intrusion de son instrument en elle.

Les mains du médecin écartent ses cuisses, Aicha se colle à lui et celui-ci entreprend de lui faire l’amour. Ses mouvements semblent répondre à une partition parfaite, il la pénètre avec la grâce d'un violoniste, à l'archet virtuose.

Allegro, presto, staccato, andante Une vraie symphonie qui la plonge dans une extase inédite.

Allegro : une vraie tornade qui la bouscule, la défonce.

Andante pour reprendre la respiration.

Staccato pour faire monter le plaisir, avec des mouvements lents mais nets et puissants.

Presto en final de la symphonie, la musique monte, puissante. Un artiste sensible, sous son costume de médecin.

Tandis qu'ils se rhabillent, le médecin  demande à Aicha :

"Tu reprends un rendez-vous ?"

 

 

Par Aicha
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Mardi 28 juin 2 28 /06 /Juin 16:35

J'étais folle!!!
C'est ce que je me disais lorsque cette envie d'être sauvagement baisée me pris. Cela faisait un peu plus d'un mois maintenant que cette idée me trottait dans la tête, mais je ne me voyais pas demander à un homme de bien vouloir me prendre sans aucune tendresse, de me faire subir ce qu'il voulait, et pourtant...

Je décidai donc de faire quelque recherche sur internet sur le sujet SM et me rendit compte que bien plus de gens que je le pensais le pratiquaient.
J’aperçus une annonce d’un homme qui recherchait justement des femmes qui désiraient se faire dominées. Après mûre réflexion, je lui écrivis  un mail lui expliquant la situation. Il me donna un rendez vous  deux jours plus tard que j'acceptai et me demanda de me mettre en jupe très courte avec un porte jarretelle, bas noirs, sans rien dessous et un haut transparent, sans soutien gorge. En me rendant chez lui, j'étais très gênée d'être ainsi vêtue à la vue de tous ces gens qui ne cessait de me regarder et de parler sur mon passage.
Arrivée chez cet inconnu qui allait bientôt réaliser mon fantasme, j’hésitai un peu avant de frapper à sa porte.


-Entre, me dit il. Je vois que tu as bien écouté mes conseils pour tes vêtements.
-Oui...
-Tais toi et va au milieu de la pièce.
Je fis ce que cet homme me demandait.
-Bien, maintenant tu m'appelles maître, et tu fais tout ce que je te dis sans rien dire.
-Bien.
-Bien qui?
-Bien maître.
-A quatre pattes, tout de suite et remonte un peu ta jupe que je puisse apercevoir ta chatte et ton cul, salope.


Je m’exécutai tout en me demandant ce que je faisais là, sans trop comprendre il me plaça un collier de cuir noir auquel il attacha une laisse.
-Maintenant, tu es ma chienne, mon esclave.


Je fis oui de la tête en le regardant.
-Baisses tes yeux, tu me regardes seulement quand je te le dis, compris. Bon faisons un tour dans l'appartement pour que je te fasse visiter et tu restes à quatre patte comme une chienne.


Il me tira violemment sur la laisse et me traina dans son appartement. La moquette brulait mes genoux et me faisait mal, mais se fût une douleur assez excitante, je dois dire. Nous revînmes au milieu de son salon et il me plaça les fesses en l'air et me demanda de relever ma jupe afin de vérifier si je n'avais pas de culotte.

-  quel beau cul. 

il m'attrapa par les cheveux et me plaça le visage sur son entrejambe.
-Enlèves ma braguette avec tes dents, esclave, et le slip aussi, voilà c'est bien pétasse et maintenant prend mon sexe dans ta bouche de chienne, il est gros tu vas voir tu vas adorer, je vais te faire jouir petite pute, ma pute.
-Tu aimes ça, je le vois à ton visage, fais voir ta chatte, oui elle est trempée. Aller suces moi la bite, suce, suce.
Il me déversa tout son sperme dans le fond de la bouche et m'ordonna d'avaler car son sperme était précieux pour une esclave.

j'étais toujours à genou les yeux bandés. il se leva, me tira par ma laisse ainsi que par les cheveux, je gémis de douleur et de bonheur.
-Tais toi tu n'as pas le droit de jouir, salope.
-Oui maître, excusez moi.
D'un coup, je sentis une chose entrer dans ma chatte encore humide, c'était un gode bien sur, il s'amusa avec puis me lécha le sexe en s'amusant toujours à me pénétrer avec son gode, puis il en prit un deuxième qu'il plaça au même endroit, deux godes dans la chatte c'était très jouïssif.
Puis tout à coup, je sentis quelque chose frôler mon anus, s'était sa queue, il commença à jouer avec autour puis passa un doigt puis deux puis trois..
J'ai apprécié la queue de cette inconnu en moi qui entrait et sortait en me claquant les fesses de sa main et en me traitant de chienne.
-Tu aimes salope, chienne, oh oui tu aimes, tu es toute excitée, vas-y maintenant si tu veux jouies.
Et je jouie, j'étais heureuse au moment ou je commençais à partir dans les nuages, il tira brutalement sur la laisse, me prit le visage et me plaça la bouche sur sa bite et cracha à nouveau dans ma bouche tout son sperme que j'avalai à nouveau

- Nettoie moi bien surtout, qu'il ne reste rien sur ma queue, je ne veux aucune trace de toi sale chienne. C'est bien et maintenant lèves toi, tu es bien foutue, combien en poitrine?
-110 D maître.
-Et bien c'est beau ça, approche toi.
Il m'agrippa les seins et les serra très fort dans ses mains.
-Rhabilles toi chienne et va t'en, je te recontacterai une prochaine fois.
-Mais laissez-moi prendre une douche.
-Non, je t'ai dis de fermer ta gueule et de faire ce que je te dis de faire, tu seras bien punie pour ça la prochaine fois que l'on se verra, surveilles tes mails, je n'aimerai pas que tu manques mon rendez vous. Va-t’en.
Je partis de son appartement la tête dans les nuages et à présent les gens pouvait me regarder je m'en foutais, j'étais heureuse d'avoir si bien joui et d'avoir été baisée comme une chienne par cette homme dont je ne connais rien. Une fois chez moi, je relevais touts les jours mes mails pour voir si il me faisait signe, ce qui arriva au bout d'une semaine, je n'en pouvais plus d'attendre, j'avais trop envie de recommencer et dire qu'avant je me croyais folle.

Me faire baiser comme ça, c'était si bon, et le prochain rendez vous fût encore meilleur …

 

 


 

 

 
     
 



 
Par Aicha
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Voici le petit monde d'Aicha

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bisous à tous mes visiteurs !

Aicha 

 

 

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Découvrez la véritable Aicha au fil de vos lectures

et de quelques photos éparses...

je vous laisse l'imaginer... 

 

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