Aicha au bal….

Aicha est allée au bal. Elle adore danser, alors quand sa voisine lui a parlé des jeudis après-midi où la danse était reine, elle a décidé d’en profiter.

Aicha avait revêtu sa robe noire vaporeuse au long décolleté, celui-ci laissait apparaitre la naissance de sa poitrine généreuse.

Aicha ne se maquillait que très rarement, elle est donc restée naturelle pour aller danser.

Arrivées dans la salle de bal les deux copines se sont assises un peu intimidées par tant de monde ; la salle était pleine et les danseurs nombreux.

Plus de femmes que d’hommes, plus de 3eme âge que de jeunesse mais l’orchestre semblait bon et l’ambiance assurée.

Au bout de quelques minutes les voila toutes deux sur la piste de danse où leurs pas se mêlaient dans un long  pasodoble ….

Revenue sur sa chaise, un homme s’approcha d’Aicha ; grand, cheveux grisonnants, la soixantaine ; il lui parla dans une langue inconnue d’elle dont elle ne comprit que « bellissima » et l’embrassa sur la joue tendrement ; Aicha souriait et resplendissait.

L’homme la dévisagea, l’examina de la tête aux pieds, tout en constatant qu’elle était grande. Sa main droite s’aventura sur les épaules dénudées et le cou  d’Aicha la caressant doucement ; celle-ci sentit un frisson de plaisir la parcourir.

Puis l’homme retira sa main, l’embrassa de nouveau mais sa bouche dévia légèrement pour venir effleurer les lèvres d’Aicha qui le regarda avec des yeux surpris mais langoureux.

Il s’éloigna d’elle que de quelques mètres, surveillant ses moindres faits et gestes mais ne l’invita jamais à danser.

Aicha passait régulièrement devant lui pour se rendre sur la piste de danse et il ne manquait pas de regarder ses longues jambes qui dansaient devant lui marches, valses ou twists….

Un autre homme semblait s’intéresser à Aicha et vint s’asseoir devant elle. Il engagea la conversation très vite et l’invita à danser le slow. A son grand regret celle-ci était plus grande que lui, cela n’importait que peu pour danser, et il la serra très fort.

Il se présenta à elle, qui ne put que constater qu’il était encore très alerte pour son âge, 82 ans, il dansait encore très bien.

La danse terminée ils continuèrent leur conversation, lui constatant qu’une fois au lit la taille ne paraissait plus ; Aicha ria et approuva. Il l’invita à venir chez lui pour l’apéritif dès la fin du bal, il donna son adresse et elle ne dit pas non. L’homme était tout excité à l’idée de recevoir chez lui cette femme de 30 ans sa cadette, et Aicha constata qu’une grosseur apparaissait sous son pantalon. Avait-elle réveillé quelque désir ?

Son premier dragueur la regardait toujours mais ne l’invitait pas toujours pas.son petit vieux s’intéressa de plus près à sa copine plus proche de lui par la taille et l’âge mais il tenait quand même à les recevoir toutes les deux chez lui.

Lors de leur discussion, Aicha sentit une main venir caresser ses jambes, c’était celle, aventureuse, du premier qui s’était rapproché d’elle et la dévorait des yeux.

Elle sentit le désir monter en elle et décroisa les jambes ; à son grand regret la main baladeuse ne s’aventura pas plus loin ; le bal était fini…. L’homme avait disparu !

Aicha remercia son vieux cavalier et lui promis qu’elles reviendraient danser toutes les deux ; l’apéritif sera apprécié une prochaine fois sa copine souhaitant rentrer…

Elles repartirent heureuses de leur après-midi et Aicha émoustillée d’avoir excité deux hommes dont un bien âgé…

Que lui réserverait le prochain bal ?

Certainement encore de bien agréables rencontres puisque plusieurs danseurs l’avaient saluée en lui disant « à bientôt »…

Aicha et son chien

Vendredi après-midi. Vous me demandez, maître, non pas une sortie mais faire des photos  de ma rencontre avec MON CHIEN ADORE….vous me demandez d’être une vraie chienne, je vais le devenir, oui !

Je me suis préparée ; jupe noire fendue devant, chemisier rouge cintré au décolleté profond,  pas de dessous, des chaussures noires à talon.

Quel plaisir de « rencontrer » pour Vous  ainsi. 
 je vais chercher mon « TRESOR » chez ma fille qui le garde depuis quelques mois. Nous serons mieux chez moi pour cette rencontre intime. J’en ai envie, je sens que j'ai besoin de découvrir des terrains inconnus, sur lesquels vous savez très bien m’accompagner…

Arrivée sur le parking de ma résidence après un court voyage en voiture, le chien s’excite il reconnait les lieux ; je me gare et le fait descendre du coffre il est heureux d’être avec moi. L’excitation me gagne  je ne veux pas vous décevoir je réussirais cette nouvelle rencontre intime et prendrais du plaisir à le faire ; dans l’ascenseur, sentir l’odeur du chien fait que la chaleur et l’excitation se font plus pressants…

Arrivés dans l’appartement « Trésor » sentine et reconnait les lieux ; nous nous faisons des bisous tendres, comme à chaque retrouvailles.

Puis j’appelle le chien à me rejoindre ; je suis assise dans mon séjour et j’ai soulevé ma jupe ; ma chatte se retrouve à l’air libre ; Trésor avance son museau, commence de me sentir prudemment et le voyant hésitant je l’incite à poursuivre ses investigations par de douces paroles, il est heureux et vient me lécher ;

C’est agréable, jamais je ne l’ai laissé faire et sentir cette langue douce et chaude sur ma chatte me procure une folle envie à poursuivre et à le laisser faire.

Il s’y emploie très bien d’ailleurs et y trouve aussi du plaisir… il en tremble même ; je n’étais pas gênée, et a me faisait chaud dans le ventre !

Je me suis déshabillée afin d’être plus à l’aise ; une fois nue le chien a commencé à me lécher de plus en plus rapidement, je mouillais, ca me plaisais cette impression de douceur et de  salive chaude dans ma chatte, je me suis retournée et il a léché aussi mon postérieur ; il a saisi ma jambe et essayait de me « sauter » !!! très dynamique, il avait très envie !

Je me suis allongée sur le sol, il m’a grimpé dessus et continué de lécher ma chatte, il est venu donner un coup de lèche entre mes seins et sur mon ventre, puis je voyais sa queue grossir, je l’ai saisie et commencé à la branler avec ma main, puis à la sucer…

Il ne bougeait pas, comme aimanté par ce que je lui faisais.

Pour la première fois, je sentais une sensation inconnue en moi, je faisais du sexe à un chien, mon propre chien !  
Je sentais mon sexe qui mouillait de plus en plus !
 

Vous m’avez demandé avec cette soirée de dépasser  je pense, mes limites ; je n’ai pas hésité une seconde, je l’ai fait et « Trésor » a pu découvrir que sa maitresse était une vraie chienne !

Tout ceci me faisait des « choses » dans le ventre, l'envie était de plus en plus en moi, je ne pouvais lutter contre ceci, même si ma conscience me disait non, je sentais que mon corps en avait besoin.
Et là j’ai senti nettement que le chien commençait à prendre vraiment son pied sur mes jambes, et en léchant ma chatte ; il avait des envies envers moi, et ça me faisait plutôt plaisir !

Je continuais à le caresser et lui branler la queue que je sentais durcir de plus en plus ;

Je me suis rendu compte que mon corps n'obéissait plus à ma tête ! J'aurais dû changer de position, pour ne pas l'exciter d'avantage ! Mais non au contraire, je bougeais et excitais Trésor ; j’avais envie qu’il me prenne ; je lui ai attrapé une nouvelle fois la queue que j’ai sucée, elle était grosse, rouge, douce mais l’odeur était fort désagréable, cela ne m’a pas empêché de continuer et de lui faire comprendre que je désirais qu’il me prenne ;

Je sentais la chaleur me gagner, envahir mon entre-jambes, je mouillais sous le regard de ce chien, je sentais l'envie d'un autre, une envie de plus en plus irrésistible. Le plaisir c'est certain me gagnait de plus en plus. J’allais perdre le contrôle de mon corps. J’étais trempée,  j'étais prête, prête à me faire prendre par mon propre chien!

J’ai dû passer à ses yeux pour une salope, une chienne, mais j’en suis une, je suis la vôtre !

Et, j’ai même levé et écarté les jambes pour lui faciliter l'accès à ma chatte ; il a éjaculé une première fois sur moi ; j’étais trempée ; il a pissé en même temps. bref j’ai donné du plaisir à mon chien !

Mais il s’est éloigné ; penaud, la queue encore grosse et rose ;  il tremblait ; il ne savait plus comment faire, il ne reconnaissait plus sa maitresse…

Je me suis relevée et me suis ressaisie, je sentais encore cette chaleur dans tout mon corps, ma vulve était en feu !    
J’avais mouillé, et mon sexe me brulait encore !      
Il n'y avait plus de raisonnable, mes limites avaient- elles été franchies ?

Le chien m’a fait comprendre qu’il désirait sortir ;

Je me suis douchée, rhabillée en constatant des traces de griffures importantes sur mes jambes….

Puis j’ai ramené mon « Trésor adoré » chez ma fille ; je voyais bien qu’il n’était pas à l’aise dans le coffre et heureux de se retrouver dans son jardin ; il venait de vivre un événement certainement graver à jamais dans sa mémoire ! Moi aussi ;

Je ne dirais pas que j’ai adoré, non aimé sera suffisant ; je ne souhaite pas revivre ceci préférant de loin la queue de l’homme et son odeur masculine, l’odeur canine me déplaisant un peu ; mais l’expérience a été enrichissante et le fait que le chien n’ait pas voulu terminer m’a un peu frustrée et laissée sur ma faim, mais je m’en suis remise depuis….

Aicha prend du plaisir avec son chien

Un soir Aicha s’est retrouvée en sortant de la salle de bain devant « Trésor », son beau Bouvier Bernois âgé de 8ans , qui avait son slip sur la truffe, cela l'a fait mi rire mi pleurer, et elle s’est assise à ses côtés, au pied du lit sur le tapis. Elle a bu un verre et a laissé tomber la serviette qui l'enrobait. Aicha a pris un T-shirt qui lui servait de chemise de nuit et a essayé de l'enfiler en se posant sur les genoux. Dans la chaleur de sa chambre elle a senti « Trésor » se dresser sur elle et lui lécher le ventre pas encore recouvert du t-shirt.
Aicha a caressé son chien le qualifiant de « petit chéri d'amour » etc ; elle était assise jambes écartées, le T-shirt au dessus de la taille et l’animal devant elle. La douceur et la chaleur de son pelage, les désagréments de ses petites griffes sur ses cuisses, et Aicha qui se trouvait dans un état second, ont fait qu’elle le laissa jouer sur sa peau avec sa truffe, sa langue, ses pattes.

Son ventre, ses cuisses se laissaient faire.
Elle oscillait entre « c'est un gentil chien qui lui s'occupe de son amour de maîtresse » et « oh je suis une salope de bourgeoise qui n'ose pas mais se laisse faire par son chien »…

Aicha s’est levée, son t-shirt est descendu à mi-cuisses, elle s’est accroupie. Trésor s'est approché d’elle et sa truffe, à travers le t-shirt, sur son cul a fait sursauter de peur Aicha, mais aussi d'envie car elle s’est cambrée tout en se retournant. Elle regardait le chien, tous deux haletants ; elle s’est relevée, a fermé la porte à clef et s‘est agenouillée, mi levée face à lui, a relevé son T-shirt pour lui laisser l'accès à son ventre, ses cuisses et son entrejambe.

Il a mis du temps à comprendre, mais a commencé à venir la renifler avec sa truffe si douce ; doucement celle-ci s'est déplacée vers le sexe humide d’Aicha qui l’a aidé en se caressant de la main gauche et en lui donnant ses doigts à lécher. Alors le Bouvier a compris qu'il avait des droits sur sa maîtresse.
Sa langue s'est faite douceur et ouragan, râpeuse et musclée douce et forte pour se glisser en elle qui écartait ses jambes pliées pour le laisser faire, et elle s’est allongée sur le côté. Comme il la léchait avec avidité elle a aperçu sa bite en érection, l'a caressée de ses doigts tremblants puis de sa main droite a commencé à le branler doucement pendant que la gauche lui présentait les zones de son sexe les plus sensibles.
Son excitation naturelle de belle chienne, a fait le reste. Aicha s’est retrouvée tête bêche avec le chien dont la langue l’a rendue folle de plaisir ; Aicha lui a rendu ce plaisir sur sa bite gonflée par ses mains puis ses lèvres et enfin sa bouche où sa langue s’est déchaînée.
Elle n’a jamais, avant, « pompé » un sexe masculin de façon aussi animale et peu contrôlée. Aicha s’est repue de son foutre épais et n’en a rien perdu.
Comme il la regardait et qu’il voulait la suivre partout dans la chambre, voire sur le lit, Aicha a eu le réflexe heureux de lui ordonner de rester sur le tapis qui est devenu le seul territoire où « Trésor » pouvait la considérer comme sa chose.

Plus tard dans la nuit Aicha a essayé des tenues sexy devant l’animal en lui demandant si il la trouvait à sa convenance ; elle s’est mise à 4 pattes pour le laisser la lécher où bon lui semblait : épaules, cou, seins, reins, cuisses…
Épuisée, elle s’est endormie avec lui, recouverte d’une couette, sur le tapis.
Le réveil fut dur.

Aicha alla vite prendre une douche, et s’aperçu que le chien avait léché et bavé sur un de ses slips ; elle ne put résister et le mit gluant sous une petite robe noire boutonnée devant.

Aicha s’est sentie une vraie chienne.