Mercredi 22 juin 3 22 /06 /Juin 13:27

Aicha et vous ….

 

Au printemps, le désir me donne des ailes, comme le mystère qui enrobe ma peau, je souhaite me défaire de mon hibernation…

Qui suis-je ? Qui est donc Aicha derrière son écran, cette femme si femme qui crache ses émotions, audacieuse  et rebelle à toute inhibition ?

 

 

Vous trempez vos lèvres fébriles dans votre tasse de café, dans un instant d’éternité ; dehors tous les passants vous semblent si pressés.

Qu’est ce qu’une minute devant l’éternité ?

Une silhouette plus légère détourne votre attention, vous éloigne de l’immersion de votre isolement.

La tiédeur des rayons du soleil printanier a ce talent béni de soudain dévêtir les femmes les plus frileuses.

La fluidité de la robe d’Aicha ondule sous ses pas, dans une allure noble sans pour cela être hautaine, elle a l’air si sûre d’elle ; quel est donc son destin ?

Chacune de ses enjambées racées dévoile dans l’impudeur le galbe de ses cuisses de bas noir voilées. Exquise féminité attirant le regard non camouflé de prédateurs anonymes, elle n’en est que plus belle dans sa féminité.

 

Vous vous plaisez à rêver, qui est-elle ? Vous ne le saurez sans doute jamais mais vous en garderez sans doute un troublant souvenir…

Sa course sensuelle est soudain arrêtée, Aicha plonge dans son sac une main farfouilleuse, en retire à la hâte un portable vibrant.  Caverne d’Ali baba  que le  sac d'une  femme...

Son rire vous éclabousse comme la luminosité d'une matinée estivale, dans une communication que vous devinez, que vous désirez amicale.

Il est temps de vous éclipser car votre fébrilité s’avère tout à coup palpable, délateurs sont ces regards qui semblent vous juger. Vous avez soudain l’impression de ressembler à un néon publicitaire lumineux  … 

 « Je suis là, je vous attends »

 

Mais pour qui se prend-t-elle pour ainsi vous troubler ?

« Garçon, s’il vous plait, l’addition? »

 

Trop tard, Aicha vient d’entrer. Elle jauge superficiellement l’ensemble de la clientèle, murmure quelques mots au garçon de café, puis s’efface doucement vers le panneau discret  « Toilettes »

Le serveur, enfin, s’approche de votre table, vous tendant l’addition et la salade du jour.

« Je n’ai rien commandé », vous empressez-vous  de lui dire

-Oui, je sais mais une cliente qui vient d’entrer m’a demandé de lui servir la salade du jour à votre table

-bien, merci, vous pouvez encaisser maintenant ?

-Bien sûr, Monsieur »

Vous lui tendez la monnaie, tout en vous apprêtant à partir. Peine perdue, elle reparait, elle se dirige vers vous, son assurance en guise de carte de visite.

« Bonjour, est-ce vous ? C’est moi ! »

 Le mystère persiste, jusqu’à l’instant précis, où d’un geste élégant, elle retire ses lunettes.

Un reflet persistant d’un regard vert troublant, vous éclabousse à l’identique de son rire éclatant, quelques minutes auparavant. Votre silence l’interroge …

« Oh je suis confuse, j’ai du me tromper ! »

« Non, je suis bien moi » 

A votre confusion, elle répond par un sourire qui trouve la faille pour embraser votre désir!

Vous en venez soudain à regretter la bénédiction que vous aviez prêtée à la douceur printanière. Vous avez une idée de qui elle est peut être, mais vous la laissez, pour votre grand plaisir, se dévoiler.

Cette femme « mystérieuse » vous parle de ses rêves, de sa vie, si naturellement qu’elle en est émouvante de sincérité. Presque naïve dans ses emportements, elle perd de sa superbe, laissant, par moment, une puérilité faire d’elle une enfant que vous désirez autant. Votre regard abandonne la prunelle de ses yeux  dont elle use avec talent pour mieux vous subjuguer. Vous enrobez sa silhouette. Elle n’est pas vraiment belle, juste ce je ne sais quoi qui la rend sensuelle, dans sa seule gestuelle et ses regards si doux. Vous l’imaginez choisissant sa toilette, harmonisant accessoires et maquillage et le temps qu’elle a du accorder à ces instants de mise en beauté  précieux  pour une femme attendue à un rendez-vous galant.

« Les yeux déshabillent ce que mains habillent » (Charles de Leusse)

Les vôtres se perdent dans le V de son profond décolleté dévoilant par instant la naissance de ses seins, sous un geste malhabile, une nouvelle position, lorsqu’elle croise et décroise ses jambes, dévoilant progressivement  et de plus en plus haut, le galbe de ses cuisses fuselées.

Vous ne dites presque rien, la laissez se raconter entre deux bouchées de salade  qu’elle déguste, gourmande.

« Mais vous, vous ne dites rien, racontez-moi …je suis désolée, je suis si bavarde, A moins que …je ne vous plaise pas, c’est cela, mon Dieu je suis confuse »

Vous lui souriez attendri en lui murmurant, « mais si …. » !

Comment lui avouer que là , dans l’instant, vous avez envie de l’embrasser, de glisser vos mains sous les pans de sa robe , de la prendre par la main, de l’emmener plus loin , de lui donner ce plaisir qu’elle décrit dans ses écritures , ces désirs qui ont fini par vous conduire jusqu’ici.

Vous vous dévoilez, un peu, pas trop, elle boit ce que vous dites, vous interrompt un instant, enfournant dans votre bouche une fourchetée de son plat, en vous murmurant « c’est délicieux ».

Votre surprise l’amuse, elle ne peut retenir un rire mutin, un rire qui vous éclabousse pour tant de séduction spontanée.

Elle ne laisse rien paraître, vous ne savez pas si vous êtes à son goût. Peut être vous le fera-t-elle savoir, peut être…

Elle désorganise tout à coup vos pensées

« Et bien, où êtes-vous ? Parti pour un ailleurs …

« Désolé, c’est vrai, un oubli au boulot qui me tracasse un peu »

« Ah, le boulot, c’est vrai j’avais oublié que vous travailliez …Bien je vais vous laisser, de toute manière je suis attendue ailleurs »

« Mais non, restez »

Elle appelle le garçon, demande l’addition.

« Non laissez, je vous en prie, vous êtes mon invitée »

« Oh, merci. »

Elle se lève …vous vous levez.

« Un instant je reviens » vous dit-elle

 

Vous la regardez s’éloigner, vous vous imprégnez de sa démarche chaloupée, qui laisse deviner une croupe des plus séduisantes… Un instant, un instant seulement vous rêvez à plus qu’un simple rendez-vous dans la douceur d’un café…

Elle discute un instant avec le barman, semble écrire quelques mots sur un papier

« Voilà » vous dit-elle, en posant un baiser sur votre joue

Son parfum vous ensorcèle, elle est divinement diabolique ne serait-ce que par ses comportements innés.

« A bientôt » vous dit-elle  en déposant sur la table un papier griffonné.

« A quoi jouez-vous, beau ténébreux avec vos yeux couleurs d’automne

Besoin de tendresse, de contre jours et de caresses, que voulez-vous ?

Que je vous entraine, vous allume, vous étreigne, vous couche sur le dos ?

Votre sourire a su trouver la faille, tendre animal.

Venez si vous voulez que je vous entraine,  que je vous allume, que je vous éteigne…  06 29…… »

 

Elle se retourne, rit aux éclats de votre émoi, le diabolique au bord des yeux.

Inutile de noter son numéro, vous la suivez déjà dans la douceur du printemps naissant…

 

La suite, Aicha vous la laisse deviner ou inventer…

Quelques indices si vous voulez, une chambre d’hôtel…Un lit défait et deux amants  qui se découvrent.

 

Aicha n’est plus mystérieuse pour vous...

 

Par Aicha
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Mercredi 22 juin 3 22 /06 /Juin 13:23

 

Aicha soumise

 

 

J’aime être votre femme soumise, l’esclave aux pieds de mon Maître, obéissante sans rechigner, sans dire jamais non à mon Seigneur et dictateur des désirs.

J’aimerais par vous mes seins léchés, baisés, sucés, torturés…

Mes courbes prises, malaxées, pétries sans relâche…

Ma bouche capturée, captive, léchant, suçant sans honte, sans répit…

Mon corps soumis à vos envies, vos appétences, vos folies…

Je suis à vous, corps et âme. Je  ne connais que 4 mots dans mon vocabulaire : Oui, Maître, merci, Maître et encore, Maître ! Moi, dont le prénom est à présent des insultes, des gros mots, des affronts, des impolitesses, ces mots qui me font vibrer et m’offrir, m’ouvrir plus encore, à vous, mon Maître.

 

Avoir quelque chose à accomplir avec le sourire, la joie de pouvoir témoigner encore et toujours mon attachement, ma soumission.

Réaliser en votre compagnie de nouveaux défis, mes souhaits, mes envies, mes fantasmes, dépasser mes limites. Toujours exécuter vos ordres, docile, obéissante petite soumise à son Maître.

 

Quelle joie cette sucette d’avril….je n’ai qu’un désir la recommencer suivant vos ordres… je m’y vois déjà…

 

À quatre pattes, entre vos jambes, je laperais délicatement vos couilles. Je saliverais sur votre queue bien raide, je la lècherais, je l’aspirerais.

Je serais et suis déjà votre chienne, toute docile. Assidue, je tournerais autour de vous, donnant des petits coups de langue sur vos jambes, vos fesses, partout sur votre peau. Je vous honorerais, vous, mon Maître.

Je marcherais félinement à quatre pattes, le cul bien levé, le dandinant effrontément, la chatte bien ouverte d’où s’écoulera ma cyprine, vous passerez un doigt dedans et vous me lécherez :

 

— Ceci est une récompense, me direz-vous, pour avoir été obéissante.

— …

— Tu aimes ?

 

Je ferais "oui" de la tête, vous  me demanderez de me masturber et de me lécher ensuite les doigts. J’écarterais bien les jambes pour que vous puissiez jouir du spectacle, je me caresserais doucement puis plus vite, en ondulant bien ma croupe…

Je sucerais mes doigts un par un me délectant de ma mouille, je serais au bord de l’explosion. Je vous regarderais, mes yeux se poseront sur votre sexe gonflé, j’aurais envie de le reprendre dans ma bouche !

Soudain, n’y tenant plus, je me dirigerais vers lui et l’engouffrerais d’un coup.

 

— Qui t’a dit de bouger de ta place ?

 

Vous vous retirerez de ma bouche, je serais déçue ! Puis sans effort, vous me retournerez, je sentirais votre sexe m’enfiler d’un coup sec ; la situation, l’excitation, et le va-et-vient me feront hurler de plaisir !

 

— Je suis votre chienne, baisez-moi ! Oh oui, baisez-moi ! Ne vous arrêtez pas, prenez devant, derrière, j’aime être votre chienne !

 

Je jouirais, tout mon corps s’enveloppera d’une sensation de bien-être, votre semence, que je désire tant, viendra inonder mon ventre !

J’aimerais ce plongeon dans la luxure avec vous ; cette fois, ce sera me sentir chienne entre vos mains et la prochaine fois…

Oui, que sera donc cette prochaine fois ? Que deviendrai-je ? Jusqu’où j’irai, jusqu’où j’oserai aller avec vous, pour vous, mon Maître ?

J’en suis certaine, je saurais m’abandonner sans réserve, avec simplicité  comme si tout cela était naturel…

La bouche ouverte à votre queue, la chatte offerte à toutes les intrusions, le cul béant à toutes les intromissions, fière d’être comblée, fière d’être satisfaite ainsi, moi, votre soumise adorée et obéissante, esclave de rêve, enchaînée à vos pulsions, frémissante à vos convoitises…

Je veux tout ; tout de vous et de moi, recevoir, donner, lécher, sucer, avaler. Toujours plus loin vers ces horizons sombres mais si porteurs de lumière.

 

Le froid papier deviendra-t-il chaude réalité ?

Vous êtes le Maître et vous seul le déciderez…

 

Votre fidèle et dévouée Aicha

 

Par Aicha
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Samedi 18 juin 6 18 /06 /Juin 13:31

La rencontre

 

Dans le rôle du séducteur prédateur, T… ne ressemble à aucun autre des hommes qu’elle a pu croiser.

En intellectuel irréprochable, doté d’une culture générale bien au-delà de la moyenne, il la sonde, la malmène, jusqu’à la faire chavirer.....De dialogues en incertitudes, elle se soumet presque à son insu à cette méthode détournée d’investigation, mais loin d’être sotte, donne la réplique assouvissant ses interrogations.

Ils se cherchent, ils se devinent, le jeu de séduction prends des allures de rivalité, plutôt que de complicité.

Mais les hommes sont implacablement diaboliques pour arriver à leurs fins ...

 

- Vous avez des jambes extraordinaires, lui murmure t-il à l’oreille, ponctuant sa dévotion d’une nouvelle caresse sur la douceur des bas, d’une main plus audacieuse glissée négligemment sous la jupe fendue.

-N’abusez pas de vos atouts, vous me plaisez, autant vous l’avouer, mais de là à me donner en spectacle....

-Je vois cet éclat dans vos yeux, vous aimez, avouez, avouez,  je vous en conjure et j’arrête tout

-J’avoue, mais juste pour que vous cessiez immédiatement, je regrette déjà....

-Vous regrettez ? Restons en là, je me suis trompé je crois...

-Noooon !

-Vous voyez, vous mentez

-Mais qui êtes –vous donc, Satan lui-même habillé en homme séduisant

-Pour vous séduire. Vous avez deviné, vous êtes extraordinaire

-Ne cessez-vous donc jamais ?

-Jamais ! Je vous promets une soirée inoubliable, acceptez !

-Séduite, votre injonction a le mérite  de m’abuser. A quelle heure ?

-Convenons d’un endroit, chez vous ?

-Sûrement pas !

- Ecoutez, je vous invite à dîner, rendez-vous  à 20 heures. Soyez glamour, je vous veux envoûtante

-Encore des ordres....mais c’est entendu 20 heures sur le lieu de rendez-vous !

 

Elle dépose un léger baiser au coin de ses lèvres et puis s’éclipse.

Sa silhouette qui fuit, le séduit, il la dévisage, l’envisage comme une grande prédatrice, une femme inconsciente de ses capacités de séduction.

D’investigations en déviations elle se demande quelle raison a bien pu la pousser à accepter une invitation pour le moins mystérieuse d’un inconnu rencontré sur le net.

Elle envisage toutes les situations, de la plus sage à la plus sordide, d’un simple dîner à l’éventualité d’une soirée libertine.

Mais son imaginaire l’emporte, elle le sait, elle le devine, tout cela va se résumer à un dîner, peut être, un verre pour clore la soirée, mais rien de plus, rien de moins.

Et pourtant, T… n’a pas l’air d’être un de ces hommes qui se contenterait d’un simple repas, d’un simple verre....

 

Ce mystère, l’inconnu éveille en elle des sensations, elle se plait à imaginer que cet homme pourrait être à l’origine de l’assouvissement de ses fantasmes, ceux la même qu’elle a trop longtemps négligés empreinte d’oisiveté sensuelle…

 

Par Aicha
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Samedi 18 juin 6 18 /06 /Juin 13:24

Mon fantasme c’est vous

 

Mon fantasme c'est vous.

Vous résumez en vous mes désirs,

C’est simple et économique, tout en un, le multi pack,

La multiprise, l'occase du jour, de la semaine, même pas bradé...

 

Mon fantasme c'est vous.

Vous entrez dans mes rêves la nuit,

Pas besoin de vous appeler, vous connaissez le chemin de mes songes,

Vous savez comment entrer sans frapper, tout en douceur, en langueurs.

 

Mon fantasme c'est vous.

Vous savez comment me prendre,

Oh oui me prendre, prenez-moi.

J'aime me rendre à vos emprises des sens, mirages d'essences.

 

Mon fantasme c'est vous.

Vous aimez me prendre et me surprendre,

Le plaisir se mêle à l'inattendu et au suspense,

L’érotique devient tragique, passionnel, comique ou sensuel.

 

Mon fantasme c'est vous.

Vous êtes mon maître intransigeant,

Vous pourriez être mon roi,

Vous êtes ma moitié ou mon tout, vous me faites planer et voler.

 

Mon fantasme c'est vous.

Vos mains sont porteuses de délices,

Ma peau frémit à  les imaginer sur elle, c'est si bon.

Votre voix est un puissant aphrodisiaque, mes fesses remuent de l'entendre.

 

Mon fantasme c'est vous.

Je soupire à l'idée de votre sexe,

Le mien se mouille et se crispe, viens.

Il le veut en lui, l'étreindre et le capturer, et en jouir.

 

Mon fantasme c'est vous.

Réel et virtuel, fantastique et fantasmatique,

Vous existez dans les mots et les mails qui flottent dans les airs,

Vous m'embrassez par téléphone, vous me faites jouir par internet.

 

Mon fantasme c'est vous.

 

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J’aimerais que vous soyez là…

 

 

J'aimerais que vous soyez  là,  derrière moi, dans ma chambre, assise,

Comme si vous aviez  pu vous échapper et venir chez moi par surprise. 

Me surprendre pour me prendre.

 

Mais vous êtes à votre bureau, en train de travailler.

Vous vous concentrez, vous réfléchissez...

Pensez-vous un peu à moi, à cette heure ? 

Travaillez, travaillez bien mon amour.

 

Je serais tournée le dos à la porte, et j'entendrais un tout  petit bruit,

Comme si vous vous teniez debout  sur le seuil. Oui ...ici, juste ici. 

Pour m'attraper, alors je devrais me défendre.

 

Mais vous êtes devant votre PC, au travail, vous corrigez  les chiffres, les mots.

Vous vous concentrez, et vous déconcentrez. 

Alors je ne bougerais plus, tous mes sens en alerte, le cœur battant,

Comme si quelqu'un allait m'attaquer... c'est excitant.

 

Peur, Envie, Désir, de Plaisirs...tendres.

 

Vous viendriez  me toucher, me caresser.

Alors je sursauterais, je crierais, je n'aurais pas dû être presque nue,

Ni me caresser pour vous attirer, effleurer ma peau douce,  que vous n’avez pas encore vue.

 

Pour l'embrasser et la mordre, la lécher, 

Vous devez suivre ma colonne,  votre ventre durcit,

Votre esprit s'évade vers des fantasmes torrides, votre béquille se raidit. 

Attention, vos mots sont mal rangés! 

 

Je caresse mon corps brûlant, nue devant mon bureau,

Mes fesses sont impatientes, elles appellent vos mains pour de folles caresses. 

Prenez-moi, écartez-les et venez. 

 

« Excel » danse devant vos yeux, on vous parle là-bas, 

Mais vous êtes dans notre monde,

Vous me pencheriez là sur cette table, relèveriez mes fesses bien rondes,

 

Votre pieu en mon antre, j'aimerais ; Ce doit être si bon.

 

Alors je crierais, je réclamerais, je gémirais et je me cambrerais, folle,

Sous vos assauts enragés, passionnés, bouillants, vous mon homme. 

Pour jouir enfin... Fusionnés... Epuisés.

 

On vous demande si la liste est prête, vous devez en conférence  la présenter,

Il faut vous lever de votre chaise, mais c'est  gênant cette bosse  à montrer. 

 

Ma foi je vous laisse, je pars en ville.

A demain mon Amour, bonne journée. 

 

 

 

Par Aicha
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Vendredi 17 juin 5 17 /06 /Juin 13:15

Maitre Mystère

 

En maitre incontestable de ma féminité,

En amant espion de mon intimité,

Il a trouvé la faille de la femme que je suis,

M’imposant sa présence en secret dans mes nuits.

 

Il n’est autre qu'’un rêve ou pire une utopie,

Un fantôme érotique nourrissant mes envies,

Un fantasme, une chimère qui hante mon esprit,

Alimente mes désirs, m’affamant de sa vie !

 

Alors je sens sur moi, se promener ses mains,

Dessiner sur mon corps, des ombres sur mes reins

Sa silhouette émerge de mes rêves satinés

Ensorcelle ma peau de spasmes érotisés.

 

Sur mes lèvres la rosée d’un baiser enfiévré ;

Sur mon sexe le nectar, par ses doigts, engendrés.

Désordres et émotions confondent ma passion,

Pour la faiblesse de mon cœur brouillon.

 

Il esquisse, modèle sur mon corps langoureux,

Sensuelles arabesques,  gestes pernicieux,

De la pointe de mes seins jusqu’au creux de mes reins,

M’infligeant ma capture en un jeu assassin.

 

Quand le plaisir perdure dans mon sommeil nacré,

Que la luxure s’invite sans y être conviée,

Mes lèvres engourdies murmurent son prénom,

Je l’appelle Satan, le prince de mes  démons.

 

Il est pour moi Mystère, Seigneur de mon plaisir,

Chevalier conquérant quand il me fait jouir.

Vassale érotisée sous serment d’appartenance,

Je n’appartiens qu'’à lui, lui voue mon existence.

 

A l’aube d’un nouveau jour lorsqu’il quittera ma couche,

Mon corps empli de lui, désireux qu'encore il le touche,

S’éveillera doucement, empreint de ses caresses,

Imprégné des sueurs d’une longue nuit d’ivresse.

 

Mais je sais qu'’il existe et il le sait aussi,

Orgasmes tempétueux ne seraient sans lui,

Virtuelle puissance en mon âme imprimée,

Il est l’homme orchestre de ma réalité.

 

 

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Soumission

 

 

Il est des sentiments que l’on voudrait uniques ;

Des émotions intenses que l’on rêve magiques.

Un homme croise une femme au détour du destin ;

Il éclaire sa vie jalonnée de chagrins.

Des émois émergeant d’une vie ordinaire ;

Accompagnent ses matins de plaisirs solitaires.

Elle rêve de corps à corps dans un nid de satin,

De bravades amoureuses, de frissons dans ses reins.

La beauté lumineuse  de son cœur malmené,

Réfléchit en ses yeux d’un étrange reflet.

Dont lui seul a les codes, lui seul a le secret,

Des érogènes troubles dont il l’a émoustillée.

Il l’enferme sans pudeur dans une soumission ;

Du maitre à son esclave coupable de passion.

Elle l’aime, il la convoite comme une proie servile ;

Aux dérives érotiques d’une fallacieuse idylle.

En appelle sans raison à la sensualité,

De son corps offert en toute liberté.

Elle sacrifie son corps au désir dont elle crève,

Cette passion charnelle pour lui, qu’elle vénère.

Dans sa domination elle puise sa jouissance ;

Se prête sans pudeur à une obéissance.

Un seul regard de lui au cœur de son calice ;

Sèmera en elle le trouble, inséminera le vice.

Luxure et dépendance l’arrachent au réel ;

De la banalité d’un amour temporel.

Esclave sexuelle de sentiments adorateurs ;

Elle s’y vautre, s’y complait sans aucune pudeur.

En attendant le jour d’une brulante étreinte ;

Mélange énigmatique  de deux corps qui s’éreintent.

 

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L’attente

 

Dans l’attente … Je suis sereine.
Le suis-je vraiment ?
Peut être pas !
Mais le paraître,
Je dois absolument !
Pourtant,
J’ai envie de HURLER
À cette envie de vous  toucher.

Non ; Je sais,
Ça ne se fait pas.
Alors, sereine,
Je vais l’être.
Peut être,
Ou faire semblant.
Tout me brûle,
Me bouscule.
Mon ventre, ce garnement
Ne fait pas semblant.
Il se répand
Outrageusement
A l’idée
De vous aimer …

Je vous attends …. J’ai tant à vous donner

 

Par Aicha
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Présentation

Texte Libre

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Voici le petit monde d'Aicha

réalité ou fantasmes ?

à votre avis ?

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N'hésitez pas à m'écrire vos impressions, je vous répondrais !

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bisous à tous mes visiteurs !

Aicha 

 

 

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Découvrez la véritable Aicha au fil de vos lectures

et de quelques photos éparses...

je vous laisse l'imaginer... 

 

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