Aicha s’achète des chaussures
Aicha a une réelle passion pour les chaussures. Ou, peut-être, devrais-je écrire : elle souffre d’une irrépressible passion pour les chaussures. Elle aimerait
pouvoir en acheter une nouvelle paire chaque semaine, voire chaque jour, pouvoir flâner dans les magasins et essayer toutes les paires qui l’attirent, des heures durant. Elle aimerait ne pas
avoir à subir les regards en biais des vendeurs, qui se disent : « La brune, là, au fond, tu as vu, elle est là depuis au moins deux heures ! Elle n’arrête pas d’essayer des
pompes… elle a toujours rien acheté… et, regarde-la bien : je suis sûr qu’elle était déjà là la semaine dernière… »
Oui, ils ont raison : la semaine dernière, elle passait d’un rayon à l’autre, essayant une paire de belles sandales argentées à talons compensés là, enfilant
de fins escarpins noirs à talons aiguilles ici, glissant ses pieds dans de magnifiques bottines à boutons hors de saison…
Elle a découvert un petit magasin dans lequel elle peut s’égarer, des heures durant, extirper telle paire de chaussures et en éprouver la souplesse, remettre la
boîte en place et en prendre une autre à côté… sans que le propriétaire ne semble s’en offusquer ni ne lui fasse la moindre remarque.
Aicha voit bien ses regards, elle voit bien qu’il l’a vue. Mais il ne lui dit rien et l’accueille à chaque fois avec un « bonjour » qui semble
sincère…
Aussi est-elle retournée là, encore une fois, l’autre jour. Elle avait envie de glisser ses pieds dans de jolies chaussures toutes neuves, admirer la beauté
qu’elles lui offraient, sans contrepartie, et les reposer sagement dans le rayon avant de rentrer chez elle.
Le magasin était quasiment vide.
Elle avait salué le propriétaire d’un signe de tête, et s’était dirigée vers les magnifiques escarpins qu’elle avait remarqués quelques jours plus tôt.
Ils étaient toujours là, en bas du rayon. Un seul des deux, qu’elle enfila de suite, était en exposition – et à sa taille. Elle s’accroupit et tenta de dégager la
boîte. Aicha avait hâte de mettre le deuxième. La boîte semblait coincée, elle avait beau tirer, celle-ci ne sortait pas du rayon.
Alors qu’elle était toujours accroupie, se débattant avec la boîte à chaussure rebelle, elle sentit soudain se coller contre elle un autre corps. Les quelques
mots :
— Du calme ma belle… je pense que je peux t’aider… lui furent murmurés au creux de l’oreille.
Elle n’eut pas à tourner la tête pour reconnaître la voix du propriétaire.
— Elle ne veut pas venir et tu veux les essayer tous les deux ? Je vais t’aider. Mais tu me laisses faire,
d’accord ?
Aicha avait tellement besoin d’enfiler ces escarpins, ils étaient tellement beaux ! elle ne put qu’accepter. Elle hocha la tête.
— Mets-toi debout et laisse-moi faire…
Aicha obéit.
Ce n’est qu’une fois debout qu’elle se rendit compte de ce qui s’était passé.
Alors qu’elle était accroupie, il avait soulevé sa courte robe, et avait glissé un doigt dans l’élastique de sa culotte en dentelle. Lorsqu’elle se releva, la
culotte resta accrochée à son doigt, descendant le long des jambes d’Aicha.
Elle vit sa culotte sur ses chevilles. Et regarda l’escarpin orphelin, à son pied gauche. Elle n’eut pas une seconde d’hésitation. D’un léger geste des pieds –
toujours déséquilibrée à cause de l’absence du deuxième escarpin – elle finit de poser sa culotte. Une fois celle-ci ôtée, le propriétaire lui fit un sourire encourageant, décoinça la boîte et
sortit l’escarpin tant désiré. Il prit le pied droit d’Aicha et, délicatement, mit la deuxième chaussure. Il se remit debout. Aicha admirait ses deux pieds, si hauts, si beaux, si vertigineux
dans ces escarpins talons aiguilles. Elle en oublia ce qu’il venait de se passer.
Le propriétaire la ramena à la réalité. Il était debout à côté d’elle.
— Ils sont pour toi tout le temps que tu te laisses faire…
Et elle sentit une de ses fesses, nue, prise à pleine main. La main n’était pas rugueuse, pas rude, pas désagréable, sentir cette main sur sa fesse, la pétrissant
et faisant ainsi béer sa chatte, était excitant, elle en voulait plus.
Mais le vendeur se dirigea vers la caisse, où l’attendait une cliente. Aicha fit quelques pas, un peu sonnée, dans le rayon. Elle ne savait trop que faire.
Lui avait-il dit que les escarpins – tellement hors de prix – étaient à elle ? lui avait-il dit autre chose ? Elle n’était plus sûre de rien…
Elle testa la marche, sur ces échasses qui lui faisaient des jambes sublimes – d’autant plus longues que sa robe était courte. Par curiosité, arrivée devant un
miroir, elle se retourna et se pencha : effectivement, si elle souhaitait ramasser quoi que ce soit par terre en se pliant en deux, quiconque était derrière elle avait une vue imprenable sur
sa chatte et sa rondelle.
Elle continua ses déambulations dans le magasin. Elle arriva vers le rayon « soldes », où un pauvre jeune homme, pas plus de vingt ans, semblait plongé
dans des abîmes de réflexion. Être aussi grande que lui sur ses talons, ressentir l’air frais de la climatisation sur ses grandes lèvres, tout cela était grisant. Aicha avait la tête qui
tournait.
Elle regarda le mec – pas moche, mais pas exceptionnel non plus – et pris une paire de chaussures en taille 42 :
— Celles-ci seront parfaites pour vous…
Il la récompensa d’un sourire béat et se dépêcha d’essayer les chaussures. Aicha continua sa balade dans le magasin.
Penchée au-dessus du rayon « collants / bas », alors qu’elle cherchait des nouveaux bas de couleur chair pour les fraîches soirées estivales, elle sentit
une main se poser sur la raie de ses fesses. Elle savait que c’était le propriétaire. Elle n’osa plus bouger. De peur qu’il n’aille plus loin ? Ou de peur qu’il ne s’en aille ? Allez
savoir…
Mais Aicha avait envie de ses doigts dans sa chatte, envie de sentir une queue dans ses orifices frustrés de l’absence de son mec. Elle le lui fit comprendre en
creusant un peu plus le dos et en poussant son cul vers lui.
Il comprit immédiatement. D’autant plus que les grandes lèvres d’Aicha commençaient à être humides de désir. Il n’eut qu’à les effleurer d’un doigt pour s’en
assurer. Elle n’en pouvait plus. Aicha était sur ses escarpins immenses, le cul en l’air, lisant, sans parvenir à lire, le prix des bas, sa robe lui couvrait tout juste les fesses. Il aurait
défait la ceinture de son jean et enfoncé sa queue dans sa chatte d’un grand coup, elle n’aurait pas dit autre chose que « oui » et aurait sans doute répandu sa mouille entre ses pieds.
Ils ne prononçaient pas un mot. Parler n’était pas nécessaire, et sans doute que cela aurait tout gâché.
Alors qu’Aicha était face à lui, il la retourna. Sans qu’il lui dise quoi que ce soit, elle se plia en deux et
s’accrocha au rayon situé en face d’elle.
— Tu sais ce qu’est un embauchoir ?
Aicha fit « oui » de la tête.
Comme si son hochement de tête ne lui suffisait pas, il mit devant son nez une de ces formes en bois ciré. Elle était encore dans son emballage. Aicha était
impatiente qu’il la prenne. Elle imaginait sa queue dure et tout aussi impatiente que sa chatte. Elle entendit le bruit du plastique qui se déchire. Et sentit soudain qu’il glissait l’objet entre
ses grandes lèvres. Sans aller plus loin.
— Tu sais que l’avantage avec un embauchoir, c’est qu’il s’écarte autant que tu veux ?
Aicha sentit sa chatte s’ouvrir et attendre le gode improvisé avec avidité. Avec tant d’avidité qu’elle eut un mouvement du bassin en arrière et qu’elle s’empala un
peu sur la forme en bois. Elle était lisse mais pas glissante.
Le propriétaire l’enleva un instant et frotta son clitoris et ses grandes lèvres avec ses doigts. Il ne put que constater qu’elle mouillait déjà beaucoup… Il passa
donc l’embauchoir sur les grandes lèvres, sur son clito, sur la raie de ses fesses, histoire de bien l’humecter de la mouille d ’ Aicha. Et il l’enfonça dans la chatte. Aicha poussa un
grand cri.
Il prit ses hanches à deux mains et poussa l’embauchoir un peu plus avec son bas-ventre. C’était jouissif de la faire prendre par cet objet improbable, par cet
inconnu, sans qu’elle ne sente même l’odeur de sa queue, de son corps.
Il était doux mais impérieux, et elle se laissa empaler allègrement, peu à peu, avec une envie de voir jusqu’où l’objet pourrait aller. Le proprio lâcha ses hanches
et passa ses doigts sur sa chatte, qui commençait à dégouliner. Il humecta sa rondelle. Et il la pénétra avec deux doigts, commençant un mouvement de va-et-vient qui augmentait l’excitation
d’Aicha. De son autre main, elle le sentit manipuler l’embauchoir : elle comprit vite qu’il était en train de l’agrandir, sa chatte était de plus en plus écartelée.
Elle ne répondait plus de rien. L’embauchoir n’était pas désagréable, au contraire, mais elle avait envie d’une grosse queue, aussi large que ce machin, qui lui
pilonne la chatte.
Il ne semblait pas pressé de la lui donner, le salaud…
Ses mains étaient de nouveau sur ses fesses. Il les écarta et, de ses deux pouces, enfonça encore un peu plus l’embauchoir. Aicha retint un petit cri. L’embauchoir
lui remplissait la chatte jusqu’à la courbure du faux pied. C’était énorme. C’était bon. Mais il manquait de relief, de mouvement, de vitalité.
— Enlève ce truc et mets ta queue à la place, lui dit-elle d’un ton impérieux.
Il ne répondit rien, il s’accroupit derrière elle, lui fit écarter les jambes davantage, se mit à genoux entre ses pieds toujours magnifiquement chaussés et
commença à lui lécher les grandes lèvres. Il remua un peu l’embauchoir qui lui perforait la chatte. Le flot de mouille ne tarda pas à lui couler le long des cuisses.
— Tu es à point.
Il se remit debout et la releva. Aicha lui tournait toujours le dos. Elle avait toujours l’embauchoir coincé . Il la força à se retourner et fit glisser les
bretelles de sa robe, qui tomba à terre. Il la ramassa, la respira, et la posa sur un rayon derrière lui. Aicha était en escarpins, totalement nue, remplie d’un objet dont elle n’avait jamais
imaginé, auparavant, qu’il puisse servir au plaisir sexuel. Elle s’offrait à lui, voulait qu’il la prenne vite, avant que la douleur qui lui perçait le bas-ventre ne devienne insoutenable. Pas la
douleur liée à la présence de l’embauchoir dans sa chatte. La douleur liée au besoin de se faire défoncer la chatte sans plus attendre.
Elle mit les mains sur sa ceinture, il l’encouragea d’un hochement de tête. Aicha défit sa ceinture, fit sauter les boutons de son jean et descendre celui-ci sur
ses hanches. Elle avait hâte de voir sa queue, hâte de la toucher. Elle commençait à croire qu’il avait un problème, tant il avait été timide. N’importe quel mec l’aurait prise bien avant. Lui,
semblait hésitant à lui montrer son vit. Elle mit un doigt dans l’élastique de son caleçon, distendu par le désir, autant que sa chatte l’était par l’embauchoir. Et elle le fit glisser.
Aicha comprit alors pourquoi il avait besoin d’un embauchoir, pourquoi il lui avait ouvert la chatte ainsi, avant de lui montrer sa queue. Elle comprit que ses
étranges préliminaires étaient nécessaires.
Sa queue était anormale. Il était d’une taille moyenne, ni gros ni maigre, mais sa queue était anormalement énorme. Tout à son étonnement, Aicha le regarda enfin.
Il eut un sourire penaud, comme s’il s’excusait d’être affublé d’un tel sexe.
— Prends-la entre tes mains…
Elle ne se fit pas prier, mit ses deux mains sur ce chibre au diamètre incroyable. Elle ne parvenait pas à fermer sa main sur sa queue, elle était trop large. Elle
se mit à genoux et, comme pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas, mit sa bouche autour de son gland. Elle avait de la peine à l’entourer entièrement avec ses lèvres. Impossible de l’enfoncer
dans la bouche, elle était trop grosse.
— Tu as peur ?
Oh que oui, qu’Aicha avait peur. S’il savait à quel point elle avait peur !
Il pensait qu’elle avait peur d’avoir mal, qu’elle lui déchire la chatte.
Il avait tout faux.
Aicha avait peur de prendre trop de plaisir à s’empaler sur cette queue large et nervurée. Elle avait peur de ne plus pouvoir être satisfaite désormais en l’absence
d’un tel calibre, si elle l’essayait.
— Tu veux qu’on arrête ?
Pour toute réponse, Aicha se releva et, les jambes un peu écartées et pliées, se mit à jouer un peu avec l’embauchoir entre ses grandes lèvres. Quand elle l’ôta de
la chatte, un flot de liquide coula entre ses cuisses.
Elle lui rendit l’embauchoir. Puis elle se tourna et reprit sa position, les mains sur le dernier rayon de l’étal, les
reins creusés, le cul en l’air, la chatte offerte.
Elle n’eut pas à attendre longtemps. Le propriétaire prit ses fesses et les écarta. Aicha sentit l’air frais de la clim lui caresser l’entrée de la chatte. C’était
intenable. Une queue inimaginable se présenta enfin entre ses grandes lèvres et s’introduisit, d’un mouvement lent et continu. Pour qu’il n’ait aucun doute sur ses intentions, Aicha poussa le cul
vers lui, pour ressentir jusqu’au bout le diamètre de ce braquemart incroyable. Lorsque ses couilles tapèrent sur ses grandes lèvres, la déchirure de sa chatte était jouissive, ses jambes
tremblaient et une vague de chaleur l’envahit.
Le proprio ne bougeait plus. Ses mains écartaient les fesses d’Aicha, sa queue lui déchirait la chatte, ses testicules lui chatouillaient l’abricot, et il ne
bougeait plus.
Elle comprit qu’il n’osait aller plus loin, que la plupart des nanas devaient fuir en voyant ce chibre, de peur d’avoir mal, d’être blessées. Elles ne devaient même
pas être assez lubrifiées pour l’accueillir.
Ce n’était pas un problème pour Aicha. Elle mouille facilement, elle a donc englouti sa queue avec délectation, sans douleur, mais avec un plaisir qui lui fit un
coup au cœur.
— Baise-moi, et fais-moi jouir.
,
Il n’attendait que ça.
Il agrippa ses hanches et commença à la pilonner. Elle dut se cramponner au rayon pour ne pas perdre l’équilibre, pour ne pas se taper la tête. Ses gros seins
tressautaient en cadence de ses coups de reins. La sensation était inimaginable, à la limite de l’indescriptible. Aicha était nue, perchée sur des talons vertigineux, en train de se faire baiser
dans un lieu public par une queue énorme. Aicha sentit les veines de sa queue dures à l’entrée sa chatte, sentit son gland devenir de plus en plus saillant dans sa caverne, sa mouille qui lui
dégoulinait entre les jambes.
— Plus fort, défonce-moi…
- Non arrête
Aicha dégagea sa queue de sa chatte en ondulant un peu de la croupe. Il la regarda, ne semblant pas comprendre pourquoi elle voulait cesser de se faire malmener la
chatte maintenant, alors qu’ils semblaient tous les deux y prendre un réel plaisir. Elle se mit à genoux devant lui. Sa queue en pleine érection ressemblait à un poteau rouge et luisant. Elle
commença à la lécher. Il mit sa main dans les cheveux d’Aicha, les tenant sans les tirer, et fit des mouvements du bassin, lui baisant la bouche, lui remplissant la gorge. Aicha tenait ses
couilles, gonflées, pleines, prêtes à exploser, dans sa main droite, sa main gauche s’enfonçait dans sa fesse droite. Elle avait envie de la marquer de ses ongles comme il venait de lui marquer
la chatte avec son pieu.
Il continua à lui baiser la bouche, elle goûta un peu à son sperme, sa queue bavait et commençait à se répandre. Ses mouvements étaient de plus en plus forts et
Aicha avait du mal à ne pas s’étouffer, il s’en aperçut. Il enleva sa queue de sa bouche et la força à se remettre debout.
Sa queue, raide et fière, était irrésistible. Il attrapa Aicha à bras le corps et elle s’empala sur son pilier avec une allégresse proche de l’évanouissement. Il
l’emporta ainsi, piquée sur sa queue, jusqu’au comptoir de la caisse. Il la posa les fesses dessus. Sa queue semblait ne plus vouloir sortir de sa chatte. Elle la comblait parfaitement. Il mit sa
main sur sa nuque et, ainsi coincée entre sa queue et sa main, il fit quelques allers et retours. Aicha était sa prisonnière, et n’avait pas envie d’être délivrée.
Sans bouger de là où il était, il appuya sur un bouton pour faire descendre le rideau de fer qui fermait le magasin. Plus personne ne pouvait venir les
déranger.
Et plus il écartelait la chatte d’Aicha avec son chibre monstrueux, plus elle sentait la mouille qui lui coulait dans la raie des fesses.
Aicha sentit les parois de sa chatte se gonfler, son gland, bien marqué et dur, heurtait sa vulve à chaque fois qu’il entrait et sortait de son vagin. Et à chaque
fois, elle laissait échapper un flot de liquide sous elle. Le comptoir était trempé.
Aicha voulait sa queue dans son cul.
— Encule-moi !
Prononcer ces mots sur un ton impérieux n’eut pas l’effet escompté. Il ne cessa pas de la baiser pour l’enculer, au contraire, il redoubla ses assauts dans la
chatte. Aicha retenait ses cris, ayant peur d’être entendue de la rue, mais un long râle s’échappa quand elle jouit violemment, finissant d’inonder le comptoir.
Il se retira sans un mot, sans avoir joui. Aicha regardait de nouveau sa queue, ses couilles. Elle les voulait encore plus dans son cul, après cet orgasme
hors de proportion aussi…
(à suivre)