Jeudi 28 juillet 4 28 /07 /Juil 22:33

Sur la plage

 

L’homme plia son journal et s’allongea sur le dos, regarda le ciel et profita du soleil. Il désirait depuis longtemps passer un jour au bord de l’eau. Maintenant il était là, seul et presque nu dans la chaleur de l’été. Il avait trouvé un endroit tranquille, où il était pour ainsi dire caché dans cette dune, où soufflait un vent agréable.

Il se souvenait qu’il avait pris un magazine porno pour se distraire, mais avant d’y avoir jeté un coup d’œil, il la vit ! Aicha était là debout et elle s’assit près de lui.  Elle posa sa main sur sa bite avant qu’il n’eut pu dire un mot.   

Il ne savait pas, ni quoi dire, ni quoi faire.   

Les yeux fermés il la laissa faire, ce qu’il n’a pas eu à regretter ; elle continua et mit sa main sur son sexe dans son pantalon, celui-ci commençait à grossir.   

Ils ne dirent aucune parole.   

L’homme vit qu’Aicha savait ce qu’elle faisait et lui plaqua sa bite dans la main.

Elle baissa son pantalon silencieusement et s’assit sur sa pine. En souriant, elle le laissa glisser sa main sur sa chatte humide et chaude. Elle pressa sa bite avec son con, celle-ci devint raide. Elle le baisa et sa bite s’enfonça dans le trou jusqu’à la racine. Elle s’arrêta et prit la bite dans la bouche, la lécha ainsi que ses couilles,  mordre avec précaution le bout de la belle pine. Elle savait précisément ce qu’il désirait ardemment.   

Au diable le magazine porno qui était dans sa poche, une chatte c’est vraiment bien meilleur !  

Il était allongé sur le dos et goûta à la bouche d’Aicha dont les doigts avaient découvert ses couilles et qu’elle cajolait avec amour.   

Elle s’assit et tira son bras, pour qu’il se lève.   

Il dit “d’accord”, mais elle posa un doigt sur sa bouche, cela se passa sans un seul bruit, elle ne voulait entendre que le bruit de sa bite qui glissait dans sa bouche et dans son con.   

Il se leva. Elle reprit sa pine dans la bouche, mit ses deux mains autour de ses couilles et enfonça sa bite dans la bouche, la ressortit, puis elle a attrapé ses mains qu’elle a posé sur sa tête et l’homme commença à bouger son ventre exerçant des mouvements d’avant en arrière dans sa bouche.   

Il était là sur la plage et baisait la bouche d’une femme.  Sa bite entrait et sortait.

Aicha se leva et lécha son oreille. Il secoua la tête, la prit et la coucha sur le sable, écarta ses jambes et se mit à lécher son clito, le sucer, le caresser et lui procurer le même plaisir qu’elle lui avait donné.  

Il trouva le clito dur et superbe, savoureux, un peu salé, mais frais et délicieux.  

Il put remarquer que sa mouille commençait à couler et il aimait ça ; Aicha gémit fort quand il  mit le doigt dans le trou et la baisa.   

Elle se pencha en arrière et lui dit qu’il pouvait lui en donner plus.    

Deux doigts trouvèrent son trou profond et il les glissa dans sa chatte humide.   

Son jus se répandit et il la lécha avec trois doigts dans le con.   

Il s’arrêta un peu, car il entendit des voix de l’autre côte des dunes.   

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Par ici”, dit une voix ; L’homme arrêta complètement sa léchouille, mais Aicha poussa sa tête en direction de sa chatte.   

L’homme  se demanda ce qui allait arriver, et lécha de nouveau le con juteux ; Aicha  entendait les voix qui se rapprochaient.   

Bonjour, c’est bon ?”.

  L’homme s’arrêta et leva les yeux : Il y avait une fille et un gars.  

“Oui, Venez” dit Aicha en souriant.

  Les deux autres s’allongèrent et se léchèrent.   

Aicha prit la tête de l’homme et l’attira jusqu’à sa bouche, l’embrassa et murmura “Vous voulez quelque chose ?” « Non » balbutia-t-il.   

Il voulut la lécher de nouveau, mais elle désirait sa bite, s’asseyant sur sa bite elle lui dit : “Je veux que tu m’encules”.   

Il pouvait voir sa bite disparaitre dans son cul, il sortit du trou du cul d’Aicha, il était sur le point de décharger son foutre brûlant, il enfonça sa bite dans la bouche d’Aicha qui le suça ; il se pencha en avant et  put lécher l’autre fille, pendant qu’Aicha léchait sa bite. Elle suçait merveilleusement bien.   

Je vais décharger ” dit-il et il gicla dans la bouche d’Aicha qui avala cette douce crème avec plaisir.

 

L’autre fille se leva et lui jeta de l’eau sur la tête :

Cochon dit-elle, tu devrais me baiser et m’enculer aussi! ”…  ce qu’il s’empressa de faire ;

Aicha s’éloigna laissant l’homme profiter de cette fin de journée sur cette plage tranquille…

 

 

Par Aicha
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Lundi 25 juillet 1 25 /07 /Juil 21:25

Sans rien dire, il s’en alla dans le rayon dans lequel il avait commencé à baiser Aicha. Elle ne bougea pas, ses jambes tremblaient. Il revint : il était allé chercher l’embauchoir… Aicha sut immédiatement ce qui l’attendait. Il fallait qu’il prépare son cul  comme il avait préparé sa chatte.

Elle lui prit l’embauchoir des mains et le posa à l’entrée de sa rondelle. Elle était déjà ouverte, accueillante, en demande d’être remplie. Aicha passa l’embauchoir sur sa chatte, et l’y remis pour le lubrifier suffisamment. En fait elle se goda un peu avec. Il était froid après la queue bouillante du mec, cela atténua le feu de sa chatte – nul doute qu’Aicha allait ressentir pendant quelques jours les allers et retours de sa queue dans son vagin…

 

Le propriétaire se branlait en la regardant se masturber. Quelques gouttes de sperme perlaient au bout de sa queue. Elle se pencha en avant et les lécha. Aicha lui tendit l’embauchoir, prêt à être englouti par son cul. Puis elle se mit à quatre pattes sur le comptoir. Il posa de nouveau l’embauchoir à l’entrée de sa rondelle,  le poussa et, de son côté, Aicha recula ses fesses pour s’empaler peu à peu. La douleur était lancinante mais jouissive. Elle gémissait de plaisir. Passer la courbure du pied lui arracha un cri, mais une fois en place, c’était exactement ce que son cul réclamait. Elle était remplie comme elle  aime avoir le cul rempli. Il fit un peu bouger l’embauchoir. Aicha ne pouvait plus retenir ses cris de jouissance, désormais. La peur d’être entendue s’était évanouie.

 

Il joua encore un peu avec l’embauchoir dans son cul, tout en lui caressant rudement le clitoris. Il semblait deviner, sans qu’elle ait à lui demander, ce qui la fera le plus jouir. Il récolta sa mouille sur sa main. Il retira doucement l’embauchoir de son cul : Aicha avait l’impression qu’il lui arrachait les entrailles – et en même temps, cette sensation douloureuse était tellement bonne…

 

Il posa l’embauchoir à côté de la jambe d’Aicha. Celle-ci posa sa tête sur la surface froide du comptoir et ses mains ainsi libérées de son poids allèrent écarter ses fesses, pour que son cul s’ouvre encore davantage. Il cracha un peu de salive dans sa main et ré humecta sa queue. Il posa son gland sur la petite fleur d’Aicha. Elle eut soudain peur et son cul se resserra. Il passa un bras autour d’elle, se pencha au-dessus et lui murmura à l’oreille.

 

  • — Tes chaussures te font des fesses magnifiques quand tu marches, elles remontent tes fesses et on a encore plus envie de les écarter pour y fourrer sa queue…

 

Ces paroles eurent le don de la détendre. Aicha laissa son  cul s’ouvrir et il parvint à y glisser son gland. Ce n’était que son gland, et Aicha jouissait déjà. Il n’alla pas plus loin, détendant le cul d’Aicha en faisant quelques va-et-vient juste à l’entrée. Que c’était bon… Sentir ce gland lui perforer le cul, le sentir ressortir et revenir encore…

 

Son gland accrochait sa rondelle à chaque passage. Il continua ainsi quelques instants, et Aicha sentit monter un nouvel orgasme. Son cul, lui, était grand ouvert, et il l’enculait en savourant chaque millimètre gagné. Elle voulait qu’il aille plus loin, et elle lui signifia en s’empalant un peu plus sur sa queue. Il n’attendait que ça. D’un long et lent mouvement, il finit de transpercer ses rondelles une à une et chaque pénétration lui faisait pousser un cri entre jouissance et douleur. Lorsque ses couilles tapèrent sur les grandes lèvres d’Aicha, elle mouilla comme jamais elle n’avait mouillé, et il entreprit de l’enculer méthodiquement, brutalement, sauvagement. Elle l’encouragea.

 

  • — Encule-moi bien fort. Plus fort. Plus vite. Vas-y, bon sang, détruis-moi le cul…

 

Il cessa net lorsqu’une voix retentit derrière eux :

 

  • — On peut savoir ce qu’il se passe, ici ?

 

 

Le propriétaire du magasin s’arrêta net. Aicha sentit sa queue se ramollir dans son cul. C’était affreusement frustrant.

Elle tourna la tête et vit, pardessus son épaule, une femme, les mains sur les hanches, l’air peu commode.

Le mec sortit sa queue de son cul, lui tourna le dos. Il devait avoir son énorme queue qui lui pendait entre les jambes. Piètre spectacle…

Pour sa part, Aicha se retourna et s’assit sur le comptoir. Sans honte ni regret.

 

  • — Ah, vous étiez là… Je suis désolé, je… balbutia enfin celui qu’Aicha prenait jusqu’alors pour le propriétaire du magasin.
  • — Oui, j’étais là. Je viens d’arriver et je suis passée par la réserve pour poser un arrivage. Et ça m’ennuie un peu que le gérant de mon magasin encule une cliente sur ma caisse…

 

Si son interruption avait fait débander l’étalon d’Aicha, en ce qui la concernait, elle l’agaça plus qu’autre chose.

Le mec semblait avoir perdu tous ses moyens devant sa patronne.

 

  • — Eh bien, pourquoi vous ne continuez pas, que je vois ce que vous valez ? Vous m’aviez caché que vous aviez de tels… atouts quand je vous ai embauché !

 

Il ne dit pas un mot. Aicha réfléchit vite : si elle avait été vraiment gênée par la situation, elle ne serait pas intervenue, elle n’aurait pas osé se retrouver nez à… bite avec son employé. Si elle était intervenue, c’est qu’elle voulait que l’on sache qu’elle était là.

 

  • — Vous l’avez coupé dans son élan… C’est dommage, c’est un bon coup, prononça Aicha derrière le mec, qui semblait, dans un sot élan de galanterie, essayer de la cacher à la vue de sa chef.

 

Cet innocent tentait même de cacher son braquemart énorme, même au repos, avec ses deux mains. 

  • — Et vous auriez une solution pour que vous puissiez reprendre où vous en étiez ?,

Aicha savait ce que voulait la femme. Elle le sentait, comme si elle pouvait humer, de là où elle était assise, l’odeur de sa cyprine qui s’était répandue dans sa culotte alors qu’elle les observait de loin. Car Aicha en était sûre, elle les avait épiés depuis de longues minutes déjà. Elle la soupçonna même d’avoir mis ses mains dans sa culotte et de s’être masturbée en les regardant.

 

  • — Je pense qu’il faut le faire bander de nouveau. Et je suis sûre que s’il nous voit nous lécher l’une l’autre, il va bander comme un taureau immédiatement…
  • — C’est en effet envisageable.

 

Elle s’approcha du comptoir et écarta, d’un geste brusque, le mec qui semblait ne plus savoir où disparaître. Aicha se leva de la caisse et, debout en face de la femme, souleva la jupe de son tailleur. Elle portait des dessous en dentelle. Aicha mit la main sur son entrejambe. Son instinct ne l’avait pas trompée : sa culotte était détrempée. Elle ne fit aucun commentaire, mais écarta son slip d’un doigt et se mit à genoux. Aicha commença à la lécher, à taquiner son clitoris avec sa langue, à palper ses fesses, fermes et bien rondes, entre ses mains. Elle taquina son clito, effleura ses grandes lèvres, contourna ses replis. Aicha ne s’aventura pas dans sa chatte : elle voulait qu’elle la supplie de le faire. Aicha voulait qu’elle rabatte son caquet. Elle continua ainsi quelques instants en oubliant presque qu’il y avait un homme à côté d’elles. Aicha sentit que la femme mouillait de plus en plus, elle sentit ses frissons et ses tremblements, comme si elle essayait de résister au plaisir qu’elle lui donnait avec sa langue et ses mains qui écartaient de plus en plus ses fesses.

La femme se pencha soudain au-dessus d’Aicha.

 

  • — C’est bon, tu as gagné… lui dit-elle dans un souffle.

 

Aicha s’écarta d’elle, de sa chatte. Elle défit les boutons et la fermeture éclair de sa jupe et celle-ci tomba à ses pieds. La femme l’enjamba et fit signe à Aicha d’aller vers le comptoir. Elle aussi semblait avoir oublié son employé, qui avait abandonné toute idée de cacher son sexe et qui commençait à se caresser.

Aicha s’allongea sur le comptoir et écarta les jambes : la femme comprit immédiatement et, sans un mot, vint se mettre à quatre pattes au-dessus d’elle.

 

  • — Retourne-toi.

 

Elle obéit et présenta ses fesses à Aicha. Sa chatte était au-dessus du visage de celle-ci. Aicha lui écarta les grandes lèvres avec ses deux mains et la titilla avec sa langue.  La femme plongea sa langue dans la chatte d’Aicha. Elle semblait prendre autant de plaisir à jouer avec ses replis, son clito, qu’Aicha en avait à jouer avec les siens.

Aicha regarda sur le côté : le « proprio » se branlait juste à côté d’elles. Sa queue avait de nouveau atteint le diamètre qui donnait envie de s’empaler dessus. Mais sa vitesse à débander avait frustrée Aicha, elle avait envie de le faire attendre… Sa patronne était finalement bien plus fiable.

 

Après avoir bien joué à l’entrée de la chatte de sa nouvelle compagne de jeux, Aicha introduisit sa langue, bien tendue, dans sa caverne, en l’écartant bien avec ses deux mains. Elle  enfouit tout son visage entre ses grandes lèvres. La femme gémit de surprise.

 

Aicha explora avec sa langue tous les recoins de son intimité, elle la fouilla aussi profondément que sa langue le lui permettait. Puis elle l’écarta et la repoussa un peu. La femme avait cessé de  lécher Aicha, elle était tout à son plaisir et en oubliait le reste.

 

  • — Non, continue !
  • — Alors, mets-toi à ma place.

 

Elles se retournèrent. La femme était à son tour allongée sur le comptoir, et Aicha à quatre pattes au-dessus d’elle, sa tête entre ses cuisses.

 

  • — Je continue à te lécher si tu mets tes doigts dans ma chatte…

 

Elle obtempéra immédiatement. Elle glissa un, puis deux, puis trois doigts dans la chatte d’Aicha, et la branla doucement. Elle se rendit compte qu’Aicha mouillait à mesure qu’elle la pénétra avec ses doigts longs et fins, mais elle ne sembla pas vouloir aller au-delà.

Aicha plongea son visage dans la toison de la femme et, par des coups de langue, entreprit de se rapprocher de sa chatte ; elle la fit languir. Des mouvements incontrôlés de son bassin lui prouvaient qu’elle voulait qu’Aicha recommence, qu’elle mette sa langue bien au fond de sa chatte et qu’Aicha savoure son jus. Mais celle-ci voulait faire monter son désir jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Les mouvements des doigts de la femme dans la chatte d’Aicha étaient de plus en plus rapides et impérieux. Elle introduisit un quatrième doigt… puis le pouce. Toute sa main était à l’entrée de la chatte.

 

Aicha accroupit sur sa main et l’engouffra en entier. La femme eut un cri de surprise, lorsqu’elle vit sa propre main aspirée par la chatte d’Aicha.

Pour la récompenser, celle-ci lui donna ce qu’elle attendait. Elle lui écarta bien les grandes lèvres et introduisit sa langue jusqu’au plus profond de sa chatte. Aicha la fouissait autant qu’elle en avait envie, autant que toutes les vibrations de son corps lui disaient qu’elle le voulait. Plus Aicha la branlait avec sa langue, plus elle écartait sa chatte avec ses doigts, plus elle mouillait. Elle se mit à baiser Aicha avec sa main, d’abord doucement, comme si elle n’osait pas, puis plus vite, plus profondément, plus brutalement. Aicha sentit de nouveau sa chatte se remplir de liquide.

Lorsque la femme ôta sa main, elle reçut la mouille sur son visage.

 

  • — Oh…

 

Elle passa de nouveau sa main sur les grandes lèvres d’Aicha, la frottant sur toutes les faces. Ainsi humectée, elle la réintroduisit dans la chatte d’Aicha, et se remit à la fister avec vigueur cette fois, sans timidité. Aicha la baisa avec sa langue, avec ses doigts, aussi fort qu’elle la fistait. Elles étaient toutes les deux au bord de l’orgasme et entendaient le souffle du mec, qui se branlait bruyamment à côté d’elles.

 

La femme retira sa main de la chatte d’Aicha. Elle écarta ses fesses avec ses deux mains. Elle la réintroduisit encore. Puis elle l’ôta pour l’enfoncer d’un coup dans son cul.

Quelle jouissance pour Aicha…

 

Celle-ci n’avait plus besoin d’une queue, la femme avait sa main dans son cul. Aicha s’empala sur ses doigts et profita de chaque millimètre gagné. Sa main était plus dure qu’un gode, plus nervurée qu’une queue. Aicha la happa avec délice. Il n’y avait que le plaisir sauvage de cette main qui s’enfonçait de plus en plus dans son cul qui comptait pour elle… Aicha voulait la retenir et, en même temps, voulait qu’elle l’encule plus loin, elle lui donnait des sensations inconnues. Elle était à la fois douce et fine. Aicha sentit sa mouille qui lui coulait sur le corps, et eut envie de la lécher.

Mais elle n’en eut pas le temps…

 

 

Aicha sentit soudain la main qui lui fistait le cul avec délice se retirer, tirant en arrière chaque rondelle pénétrée. C’était à la fois jouissif, de sentir cette main qui reculait, et frustrant, tant le vide créé dans son cul lui semblait profond.

 

Deux mains écartèrent ses fesses et un gland se posa à l’entrée de sa petite fleur.

 

  • — Qu’est-ce que tu attends ?

 

Aicha n’attendit pas sa réponse et, étant toujours à quatre pattes, d’un grand coup de reins vers l’arrière, elle s’empala sur la queue énorme du mec, enfin redevenue dure. Il ne bougeait pas, aussi est-ce elle qui fit des allers et retours pour bien se faire enculer jusqu’à ce que ses couilles touchent ses grandes lèvres. La rondelle d’Aicha était tellement écartelée, après l’embauchoir, après sa queue, après la main de sa patronne, qu’elle coulissa sur sa queue sans difficulté.

 

La sensation de s’embrocher sur un pieu accélérait les mouvements d’Aicha sur sa queue. Sa patronne, qu’Aicha avait négligée, se masturbait. Elle avait mis trois de ses doigts dans sa chatte, elle se caressait en regardant, par en dessous, la grosse queue qui enculait Aicha bien à fond. La vision sous cet angle devait être hautement excitante, à en juger par le rythme auquel elle se fourrait la main dans la chatte. Aicha la laissa faire. Ses tétons frôlaient le visage de la femme à chaque fois qu’elle reculait pour bien s’empaler sur la queue du mec. Aicha entendit le bruit de succion de ses doigts dans sa chatte, de plus en plus humide et dégoulinante. Elle voulait la voir mettre toute sa main dans sa chatte…

 

Aicha défit le seul gros bouton du  tailleur de la patronne et les petits boutons de son chemisier. Aicha voulait voir ses seins. Ils étaient tendus, les tétons pointaient à travers la dentelle du soutien-gorge. Aicha lui sortit les seins du chemisier. Ils étaient magnifiques, gonflés à souhait, les aréoles bien sombres.

 

Aicha mit de grands coups de reins en arrière pour bien se faire défoncer. Elle n’en pouvait plus de sentir cette queue lui remplir le cul. Elle était certaine qu’elle avait atteint un point de non-retour. Jamais, désormais, elle ne pourra jouir sans un tel calibre. C’était impossible. C’était trop bon de sentir ce cône immense lui ouvrir le cul. C’était trop bon, cette queue large et veineuse, qui  lui ouvrait les rondelles. Sa chatte se remplissait de liquide. Elle avait les larmes aux yeux et son ventre commençait à lui faire mal.

 

La nana en dessous d’elle introduisit dans sa chatte son pouce et son auriculaire. Elle se fistait en haletant, Aicha sentit son souffle. Elle gémissait comme si c’était elle qui se faisait prendre.

Aicha se pencha en avant et alla lui lécher un téton, puis  le nombril, la toison, le clito, puis,  s’arrêta. Aicha plongea le nez dans ses grandes lèvres et  la lécha avec envie. Le mec derrière elle avait enfin repris de la vigueur et, puisqu’Aicha ne bougeait plus, c’est lui qui la pilonnait enfin avec entrain. Aicha avait peur qu’il ne vienne dans son cul trop vite, avant qu'elle n’ait le temps de donner du plaisir à sa patronne.

 

  • — Doucement… dit-elle en relevant à peine la tête.

 

Aicha remit son nez entre les cuisses de la nana. Sa mouille était limpide, fraîche. Elle la lécha avec plaisir, mais était obligée de bien mettre les mains à plat sur le comptoir car le mec la pilonnait avec tellement de vigueur qu’elle avançait de vingt centimètres à chaque fois !

 

Elle se retrouva le cul en l’air, à tenter de résister aux assauts d’une queue énorme. Elle voulait faire jouir sa patronne avec sa langue, en remerciement de son efficacité avec sa main. Aicha replongea dans sa toison, suça ses grandes lèvres avec avidité. D’une main, la femme lui les écarta  pour qu’Aicha puisse faire entrer sa langue plus profondément. Son autre main caressait la chatte d’Aicha, qui gouttait sur son ventre. Elle humecta bien son autre main avec la mouille, et glissa trois doigts dans la vulve d’Aicha, gonflée et bien ouverte. Celle-ci eut l’impression que tout son sang se concentrait entre sa chatte et son cul. Elle n’avait plus d’autres sensations que celles liées à ces deux orifices.

 

L’espace laissé dans sa chatte par la queue du mec était étroit, mais les doigts de la nana s’y glissèrent sans mal. Enhardie par cette première étape, elle introduisit son petit doigt. Aicha était tellement lubrifiée qu’évidemment son pouce entra sans mal. Aicha hoqueta. Elle avait le cul plus que rempli, la chatte fourrée, et sa bouche se repaissait de la chatte d’une autre femme. C’était tellement jouissif qu’elle fut envahie d’une bouffée de chaleur. Tous ses orifices se détendirent d’un coup. Femme fontaine elle est, femme fontaine elle fut… et sa mouille se répandit entre les seins de la patronne. Aicha ne parvenait plus à la lécher malgré son envie de le faire, elle poussa un cri qui dut ameuter le quartier.

 

Aicha creusa le dos dans son orgasme. Juste à temps pour recueillir le sperme du mec qui l’arrosa entre les omoplates. Sa semence lui coula le long de la colonne vertébrale et fit une flaque au-dessus de la raie de ses fesses.

 

C’était fini.

 

 

Le compagnon d’Aicha est de nouveau parti. Elle est de nouveau seule depuis plusieurs jours. C’est pénible, les vacances des autres quand on est obligée de bosser…

 

Non, elle n’est pas retournée au magasin de chaussures.

 

Elle a simplement gardé les escarpins de cette soirée-là. Elle n’a pas repris ses chaussures vieilles d’une semaine quand elle est partie, après tout ce qu’elle venait de vivre. Elle a juste enfilé sa robe, et s’était éclipsée. Elle n’était pas honteuse, non, mais elle n’avait plus rien à faire là.

 

Oui, son compagnon l’a félicitée pour les escarpins. Quand Aicha les enfile, quelle que soit la manière dont elle est habillée, il ne peut s’empêcher de se coller à elle et de lui faire sentir combien il bande, rien qu’à la regarder, perchée sur ces élégantes échasses. Il ne veut pas qu’elle les mette en dehors de l’appartement, il paraît que ça rendrait fous les autres hommes.

Leur vie sexuelle les comble tout à fait, ils n’ont pas besoin d’intervenants extérieurs.

 

 

  • — Bonjour monsieur, je voulais vous demander : est-ce que vous vendez des embauchoirs… ?

 

 

Par Aicha
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Samedi 23 juillet 6 23 /07 /Juil 22:23

Aicha s’achète des chaussures

 

Aicha a une réelle passion pour les chaussures. Ou, peut-être, devrais-je écrire : elle souffre d’une irrépressible passion pour les chaussures. Elle aimerait pouvoir en acheter une nouvelle paire chaque semaine, voire chaque jour, pouvoir flâner dans les magasins et essayer toutes les paires qui l’attirent, des heures durant. Elle aimerait ne pas avoir à subir les regards en biais des vendeurs, qui se disent : « La brune, là, au fond, tu as vu, elle est là depuis au moins deux heures ! Elle n’arrête pas d’essayer des pompes… elle a toujours rien acheté… et, regarde-la bien : je suis sûr qu’elle était déjà là la semaine dernière… »

 

Oui, ils ont raison : la semaine dernière, elle passait d’un rayon à l’autre, essayant une paire de belles sandales argentées à talons compensés là, enfilant de fins escarpins noirs à talons aiguilles ici, glissant ses pieds dans de magnifiques bottines à boutons hors de saison…

 

Elle a découvert un petit magasin dans lequel elle peut s’égarer, des heures durant, extirper telle paire de chaussures et en éprouver la souplesse, remettre la boîte en place et en prendre une autre à côté… sans que le propriétaire ne semble s’en offusquer ni ne lui fasse la moindre remarque.

Aicha voit bien ses regards, elle voit bien qu’il l’a vue. Mais il ne lui dit rien et l’accueille à chaque fois avec un « bonjour » qui semble sincère…

 

Aussi est-elle retournée là, encore une fois, l’autre jour. Elle avait envie de glisser ses pieds dans de jolies chaussures toutes neuves, admirer la beauté qu’elles lui offraient, sans contrepartie, et les reposer sagement dans le rayon avant de rentrer chez elle.

 

Le magasin était quasiment vide.

Elle avait salué le propriétaire d’un signe de tête, et s’était dirigée vers les magnifiques escarpins qu’elle avait remarqués quelques jours plus tôt.

Ils étaient toujours là, en bas du rayon. Un seul des deux, qu’elle enfila de suite, était en exposition – et à sa taille. Elle s’accroupit et tenta de dégager la boîte. Aicha avait hâte de mettre le deuxième. La boîte semblait coincée, elle avait beau tirer, celle-ci ne sortait pas du rayon.

 

Alors qu’elle était toujours accroupie, se débattant avec la boîte à chaussure rebelle, elle sentit soudain se coller contre elle un autre corps. Les quelques mots :

  — Du calme ma belle… je pense que je peux t’aider… lui furent murmurés au creux de l’oreille.

 

Elle n’eut pas à tourner la tête pour reconnaître la voix du propriétaire.

  — Elle ne veut pas venir et tu veux les essayer tous les deux ? Je vais t’aider. Mais tu me laisses faire, d’accord ?

 

Aicha avait tellement besoin d’enfiler ces escarpins, ils étaient tellement beaux ! elle  ne put qu’accepter. Elle hocha la tête.

  — Mets-toi debout et laisse-moi faire…

 

Aicha obéit.

Ce n’est qu’une fois debout qu’elle se rendit compte de ce qui s’était passé.

Alors qu’elle était accroupie, il avait soulevé sa courte robe, et avait glissé un doigt dans l’élastique de sa culotte en dentelle. Lorsqu’elle se releva, la culotte resta accrochée à son doigt, descendant le long des  jambes d’Aicha.

Elle vit sa culotte sur ses chevilles. Et regarda l’escarpin orphelin, à son pied gauche. Elle n’eut pas une seconde d’hésitation. D’un léger geste des pieds – toujours déséquilibrée à cause de l’absence du deuxième escarpin – elle finit de poser sa culotte. Une fois celle-ci ôtée, le propriétaire lui fit un sourire encourageant, décoinça la boîte et sortit l’escarpin tant désiré. Il prit le pied droit d’Aicha et, délicatement, mit la deuxième chaussure. Il se remit debout. Aicha admirait ses deux pieds, si hauts, si beaux, si vertigineux dans ces escarpins talons aiguilles. Elle en oublia ce qu’il venait de se passer.

Le propriétaire la ramena à la réalité. Il était debout à côté d’elle.

  — Ils sont pour toi tout le temps que tu te laisses faire…

 

Et elle sentit une de ses fesses, nue, prise à pleine main. La main n’était pas rugueuse, pas rude, pas désagréable, sentir cette main sur sa fesse, la pétrissant et faisant ainsi béer sa chatte, était excitant, elle en voulait plus.

 

Mais le vendeur se dirigea vers la caisse, où l’attendait une cliente. Aicha fit quelques pas, un peu sonnée, dans le rayon. Elle  ne savait trop que faire. Lui avait-il dit que les escarpins – tellement hors de prix  – étaient à elle ? lui avait-il dit autre chose ? Elle n’était plus sûre de rien…

Elle testa la marche, sur ces échasses qui lui faisaient des jambes sublimes – d’autant plus longues que sa robe était courte. Par curiosité, arrivée devant un miroir, elle se retourna et se pencha : effectivement, si elle souhaitait ramasser quoi que ce soit par terre en se pliant en deux, quiconque était derrière elle avait une vue imprenable sur sa chatte et sa rondelle.

 

Elle continua ses déambulations dans le magasin. Elle arriva vers le rayon « soldes », où un pauvre jeune homme, pas plus de vingt ans, semblait plongé dans des abîmes de réflexion. Être aussi grande que lui sur ses talons, ressentir l’air frais de la climatisation sur ses grandes lèvres, tout cela était grisant. Aicha avait la tête qui tournait.

Elle regarda le mec – pas moche, mais pas exceptionnel non plus – et pris une paire de chaussures en taille 42 :

  — Celles-ci seront parfaites pour vous…

 

Il la récompensa d’un sourire béat et se dépêcha d’essayer les chaussures. Aicha continua sa balade dans le magasin.

Penchée au-dessus du rayon « collants / bas », alors qu’elle cherchait des nouveaux bas de couleur chair pour les fraîches soirées estivales, elle sentit une main se poser sur la raie de ses fesses. Elle savait que c’était le propriétaire. Elle n’osa plus bouger. De peur qu’il n’aille plus loin ? Ou de peur qu’il ne s’en aille ? Allez savoir…  

 

Mais Aicha avait envie de ses doigts dans sa chatte, envie de sentir une queue dans ses orifices frustrés de l’absence de son mec. Elle le lui fit comprendre en creusant un peu plus le dos et en poussant son cul vers lui.

Il comprit immédiatement. D’autant plus que les grandes lèvres d’Aicha commençaient à être humides de désir. Il n’eut qu’à les effleurer d’un doigt pour s’en assurer. Elle n’en pouvait plus. Aicha était sur ses escarpins immenses, le cul en l’air, lisant, sans parvenir à lire, le prix des bas, sa robe lui couvrait tout juste les fesses. Il aurait défait la ceinture de son jean et enfoncé sa queue dans sa chatte d’un grand coup, elle n’aurait pas dit autre chose que « oui » et aurait sans doute répandu sa mouille entre ses pieds. Ils ne prononçaient pas un mot. Parler n’était pas nécessaire, et sans doute que cela aurait tout gâché.

  Alors qu’Aicha était face à lui, il la retourna. Sans qu’il lui dise quoi que ce soit, elle se plia en deux et s’accrocha au rayon situé en face d’elle.  

— Tu sais ce qu’est un embauchoir ?  

 

Aicha fit « oui » de la tête.

Comme si son hochement de tête ne lui suffisait pas, il mit devant son nez une de ces formes en bois ciré. Elle était encore dans son emballage. Aicha était impatiente qu’il la prenne. Elle imaginait sa queue dure et tout aussi impatiente que sa chatte. Elle entendit le bruit du plastique qui se déchire. Et sentit soudain qu’il glissait l’objet entre ses grandes lèvres. Sans aller plus loin.

  — Tu sais que l’avantage avec un embauchoir, c’est qu’il s’écarte autant que tu veux ?

 

Aicha sentit sa chatte s’ouvrir et attendre le gode improvisé avec avidité. Avec tant d’avidité qu’elle eut un mouvement du bassin en arrière et qu’elle s’empala un peu sur la forme en bois. Elle était lisse mais pas glissante.

Le propriétaire l’enleva un instant et frotta son clitoris et ses grandes lèvres avec ses doigts. Il ne put que constater qu’elle mouillait déjà beaucoup… Il passa donc l’embauchoir sur les grandes lèvres, sur son clito, sur la raie de ses fesses, histoire de bien l’humecter de la mouille d ’ Aicha. Et il l’enfonça dans la chatte. Aicha  poussa un grand cri.

Il prit ses hanches à deux mains et poussa l’embauchoir un peu plus avec son bas-ventre. C’était jouissif de la faire prendre par cet objet improbable, par cet inconnu, sans qu’elle ne sente même l’odeur de sa queue, de son corps.  

Il était doux mais impérieux, et elle se laissa empaler allègrement, peu à peu, avec une envie de voir jusqu’où l’objet pourrait aller. Le proprio lâcha ses hanches et passa ses doigts sur sa chatte, qui commençait à dégouliner. Il humecta sa rondelle. Et il la pénétra avec deux doigts, commençant un mouvement de va-et-vient qui augmentait l’excitation d’Aicha. De son autre main, elle le sentit manipuler l’embauchoir : elle comprit vite qu’il était en train de l’agrandir, sa chatte était de plus en plus écartelée.

Elle ne répondait plus de rien. L’embauchoir n’était pas désagréable, au contraire, mais elle avait envie d’une grosse queue, aussi large que ce machin, qui lui pilonne la chatte.

Il ne semblait pas pressé de la lui donner, le salaud… 

 

Ses mains étaient de nouveau sur ses fesses. Il les écarta et, de ses deux pouces, enfonça encore un peu plus l’embauchoir. Aicha retint un petit cri. L’embauchoir lui remplissait la chatte jusqu’à la courbure du faux pied. C’était énorme. C’était bon. Mais il manquait de relief, de mouvement, de vitalité.

  — Enlève ce truc et mets ta queue à la place, lui dit-elle d’un ton impérieux.

 

Il ne répondit rien, il s’accroupit derrière elle, lui fit écarter les jambes davantage, se mit à genoux entre ses pieds toujours magnifiquement chaussés et commença à lui lécher les grandes lèvres. Il remua un peu l’embauchoir qui lui perforait la chatte. Le flot de mouille ne tarda pas à lui couler le long des cuisses.

  — Tu es à point.

 

Il se remit debout et la releva. Aicha lui tournait toujours le dos. Elle avait toujours l’embauchoir coincé . Il la força à se retourner et fit glisser les bretelles de sa robe, qui tomba à terre. Il la ramassa, la respira, et la posa sur un rayon derrière lui. Aicha était en escarpins, totalement nue, remplie d’un objet dont elle n’avait jamais imaginé, auparavant, qu’il puisse servir au plaisir sexuel. Elle s’offrait à lui, voulait qu’il la prenne vite, avant que la douleur qui lui perçait le bas-ventre ne devienne insoutenable. Pas la douleur liée à la présence de l’embauchoir dans sa chatte. La douleur liée au besoin de se faire défoncer la chatte sans plus attendre.

 

Elle mit les mains sur sa ceinture, il l’encouragea d’un hochement de tête. Aicha défit sa ceinture, fit sauter les boutons de son jean et descendre celui-ci sur ses hanches. Elle avait hâte de voir sa queue, hâte de la toucher. Elle commençait à croire qu’il avait un problème, tant il avait été timide. N’importe quel mec l’aurait prise bien avant. Lui, semblait hésitant à lui montrer son vit. Elle mit un doigt dans l’élastique de son caleçon, distendu par le désir, autant que sa chatte l’était par l’embauchoir. Et elle le fit glisser.

Aicha comprit alors pourquoi il avait besoin d’un embauchoir, pourquoi il lui avait ouvert la chatte ainsi, avant de lui montrer sa queue. Elle comprit que ses étranges préliminaires étaient nécessaires.  

Sa queue était anormale. Il était d’une taille moyenne, ni gros ni maigre, mais sa queue était anormalement énorme. Tout à son étonnement, Aicha le regarda enfin. Il eut un sourire penaud, comme s’il s’excusait d’être affublé d’un tel sexe. 

— Prends-la entre tes mains…

 

Elle ne se fit pas prier, mit ses deux mains sur ce chibre au diamètre incroyable. Elle ne parvenait pas à fermer sa main sur sa queue, elle était trop large. Elle se mit à genoux et, comme pour s’assurer qu’elle ne rêvait pas, mit sa bouche autour de son gland. Elle avait de la peine à l’entourer entièrement avec ses lèvres. Impossible de  l’enfoncer dans la bouche, elle était trop grosse.

 — Tu as peur ?

 

Oh que oui, qu’Aicha avait peur. S’il savait à quel point elle avait peur !

Il pensait qu’elle avait peur d’avoir mal, qu’elle lui déchire la chatte.

Il avait tout faux.

Aicha avait peur de prendre trop de plaisir à s’empaler sur cette queue large et nervurée. Elle avait peur de ne plus pouvoir être satisfaite désormais en l’absence d’un tel calibre, si elle l’essayait.

— Tu veux qu’on arrête ?

 

Pour toute réponse, Aicha se releva et, les jambes un peu écartées et pliées, se mit à jouer un peu avec l’embauchoir entre ses grandes lèvres. Quand elle l’ôta de la chatte, un flot de liquide coula entre ses cuisses.

  Elle lui rendit l’embauchoir. Puis elle se tourna et reprit sa position, les mains sur le dernier rayon de l’étal, les reins creusés, le cul en l’air, la chatte offerte.

 

Elle n’eut pas à attendre longtemps. Le propriétaire prit ses fesses et les écarta. Aicha sentit l’air frais de la clim lui caresser l’entrée de la chatte. C’était intenable. Une queue inimaginable se présenta enfin entre ses grandes lèvres et s’introduisit, d’un mouvement lent et continu. Pour qu’il n’ait aucun doute sur ses intentions, Aicha poussa le cul vers lui, pour ressentir jusqu’au bout le diamètre de ce braquemart incroyable. Lorsque ses couilles tapèrent sur ses grandes lèvres, la déchirure de sa chatte était jouissive, ses jambes tremblaient et une vague de chaleur l’envahit.

 

Le proprio ne bougeait plus. Ses mains écartaient les fesses d’Aicha, sa queue lui déchirait la chatte, ses testicules lui chatouillaient l’abricot, et il ne bougeait plus.

Elle comprit qu’il n’osait aller plus loin, que la plupart des nanas devaient fuir en voyant ce chibre, de peur d’avoir mal, d’être blessées. Elles ne devaient même pas être assez lubrifiées pour l’accueillir.

Ce n’était pas un problème pour Aicha. Elle mouille facilement, elle a donc englouti sa queue avec délectation, sans douleur, mais avec un plaisir qui lui fit un coup au cœur. 

— Baise-moi, et fais-moi jouir.

,

Il n’attendait que ça.

Il agrippa ses hanches et commença à la pilonner. Elle dut se cramponner au rayon pour ne pas perdre l’équilibre, pour ne pas se taper la tête. Ses gros seins tressautaient en cadence de ses coups de reins. La sensation était inimaginable, à la limite de l’indescriptible. Aicha était nue, perchée sur des talons vertigineux, en train de se faire baiser dans un lieu public par une queue énorme. Aicha sentit les veines de sa queue dures à l’entrée sa chatte, sentit son gland devenir de plus en plus saillant dans sa caverne, sa mouille qui lui dégoulinait entre les jambes. 

— Plus fort, défonce-moi…

   -    Non arrête

 

Aicha dégagea sa queue de sa chatte en ondulant un peu de la croupe. Il la regarda, ne semblant pas comprendre pourquoi elle voulait cesser de se faire malmener la chatte maintenant, alors qu’ils semblaient tous les deux y prendre un réel plaisir. Elle se mit à genoux devant lui. Sa queue en pleine érection ressemblait à un poteau rouge et luisant. Elle commença à la lécher. Il mit sa main dans les cheveux d’Aicha, les tenant sans les tirer, et fit des mouvements du bassin, lui baisant la bouche, lui remplissant la gorge. Aicha tenait ses couilles, gonflées, pleines, prêtes à exploser, dans sa main droite, sa main gauche s’enfonçait dans sa fesse droite. Elle avait envie de la marquer de ses ongles comme il venait de lui marquer la chatte avec son pieu.

 

Il continua à lui baiser la bouche, elle goûta un peu à son sperme, sa queue bavait et commençait à se répandre. Ses mouvements étaient de plus en plus forts et Aicha avait du mal à ne pas s’étouffer, il s’en aperçut. Il enleva sa queue de sa bouche et la força à se remettre debout.

 

Sa queue, raide et fière, était irrésistible. Il attrapa Aicha à bras le corps et elle s’empala sur son pilier avec une allégresse proche de l’évanouissement. Il l’emporta ainsi, piquée sur sa queue, jusqu’au comptoir de la caisse. Il la posa les fesses dessus. Sa queue semblait ne plus vouloir sortir de sa chatte. Elle la comblait parfaitement. Il mit sa main sur sa nuque et, ainsi coincée entre sa queue et sa main, il fit quelques allers et retours. Aicha était sa prisonnière, et n’avait pas envie d’être délivrée.

 

Sans bouger de là où il était, il appuya sur un bouton pour faire descendre le rideau de fer qui fermait le magasin. Plus personne ne pouvait venir les déranger.  

Et plus il écartelait la chatte d’Aicha avec son chibre monstrueux, plus elle sentait la mouille qui lui coulait dans la raie des fesses.  

Aicha sentit les parois de sa chatte se gonfler, son gland, bien marqué et dur, heurtait sa vulve à chaque fois qu’il entrait et sortait de son vagin. Et à chaque fois, elle laissait échapper un flot de liquide sous elle. Le comptoir était trempé.

Aicha voulait sa queue dans son cul.

  — Encule-moi !

 

Prononcer ces mots sur un ton impérieux n’eut pas l’effet escompté. Il ne cessa pas de la baiser pour l’enculer, au contraire, il redoubla ses assauts dans la chatte. Aicha retenait ses cris, ayant peur d’être entendue de la rue, mais un long râle s’échappa quand elle jouit violemment, finissant d’inonder le comptoir.  

Il se retira sans un mot, sans avoir joui. Aicha regardait de nouveau sa queue, ses couilles. Elle  les voulait encore plus dans son cul, après cet orgasme hors de proportion aussi…

 

(à suivre)

 

Par Aicha
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Mardi 19 juillet 2 19 /07 /Juil 21:10

La crevaison d’Aicha

 

Le jeune Bastien, en vacances dans le Limousin, fait son footing dans la forêt , seul, isolé en pleine nature, de bon matin. Il arrive sur un chemin au milieu de la forêt. Au loin, il aperçoit une auto garée en bord de chemin et une femme agenouillée, en train de changer une roue, il s’agit d’Aicha. En le voyant approcher, elle se redresse, semblant soulagée de rencontrer quelqu'un à  cet endroit.
"- Vous avez un problème? Demande le jeune homme
- Oui, j'ai crevé au mauvais endroit."
Bastien se dirige vers la roue et  commence à la dévisser avec le matériel qu'Aicha a déballé de son coffre. Il n’est pas expert en changement de roue  et bataille donc, mais au bout d'une trentaine de minutes il termine le travail à la grande joie d’Aicha.

Quelques mots sur Aicha, mais depuis le temps vous la connaissez bien ; Elle est pulpeuse à souhait avec de jolies rondeurs aux bons endroits (seins, cul, cuisses), des cheveux courts et châtains clairs et des yeux verts charmeurs. Elle a la cinquantaine. Ce jour-là, elle est vêtue d'une robe longue d'été colorée, tenue par des bretelles et chaussée de talons compensés en toile. Bref, elle est tout à fait au goût du jeune homme.
"-
Vous me sauvez la vie jeune homme, je me voyais rester ici plusieurs heures.
- C'est sûr qu'il y a d'autres endroits plus fréquentés pour crever.
- Comment pourrais-je vous remercier?"
A cette question, des pensées coquines se bousculèrent dans la tête de Bastien. Un sourire est apparu sur son visage, sourire qu’Aicha a repéré et compris.
"- Je vois à quoi vous pensez. Vous devez avoir l'âge de mon fils, à peine plus âgé peut-être. Pourquoi pas, après tout, on est seuls au monde ici et je vous dois une fière chandelle."
Aicha s'approche de lui et pose sa main sur son paquet déjà dur. Ils s'embrassent à pleine langue et le jeune homme commence à peloter les fesses d’Aicha à travers la robe avec ses mains salies par le dépannage mais cela ne la gêne pas. Il relève la robe pour toucher le cul. Aicha est en string.  

"- Comment tu t'appelles?
- Bastien.
- Moi c'est Aicha. Tu veux que je te suce Bastien ?
- Je veux tout. Tu me suces et je te baise."
Aicha  s'accroupit devant lui, baisse son short et son caleçon et prend son sexe dans la main. Elle le branle doucement, le décalotte puis passe la langue sur son gland. Il est excité. Puis elle avale littéralement la queue et le pompe tandis que sa main malaxe les boules: Bastien est aux anges. Au bout de quelques minutes, Aicha se relève et va s'appuyer sur le capot de sa voiture.
"- Viens me lécher."
Le jeune homme accepte l'invitation. A son tour il s'accroupit devant son entrecuisse. Elle relève sa robe. Il lui ôte son string, trempé de mouille. Elle est rasée. Sa bouche se pose sur son clito qu’il embrasse avant de lécher. Aicha, les yeux fermés, gémit et parle à voix basse comme si elle a peur d'être entendue:
"- Hmmm, vas-y Bastien c'est bon. Branle moi la minette mon chéri."
Bastien suit sa demande et introduit son index et son majeur dans sa vulve mouillée tout en continuant de la lécher. Puis, il se relève tout en laissant sa langue glisser sur le clito, le ventre, jusque sur la bouche d’Aicha. Il fait tomber sa robe et dégrafe le soutien-gorge. Deux melons apparaissent alors. Il commence à les lécher et les téter, ses mains caressent ses fesses et ses lèvres vaginales. Elle a un corps de rêve.

"- T'as des capotes?

- Je dois avoir ça dans mon sac."
Aicha l’abandonne quelques secondes, le temps de prendre son sac sur le siège passager. C'est alors qu’il ne peut se contenir, la voyant penchée dans la voiture, le cul offert, il vient se positionner derrière elle et lui fourre sa queue dans le vagin, sans protection

"- Non, attends, Cria Aicha, pas sans capote petit con!"
Bastien fait deux ou trois va et vient avant de se retirer. Elle se redresse aussitôt, lui jette un regard furieux et dit:
"-
Fais plus ça sinon je me casse. Qu'on baise, ok, mais on le fait correctement.
- Excuse-moi."

Bastien pose ses lèvres sur les siennes pour vite revenir à leur affaire espérant la calmer. Aicha se laisse faire. Elle va prendre un drap de bain dans le coffre et l'étale au sol. Si quelqu'un venait à passer il assisterait à une jolie scène. Le jeune homme déroule une capote donnée par sa maîtresse et vient se coucher sur elle. Sa queue rentre, Aicha gémit doucement. Il s‘arrête, sort sa queue et lui caresse le clito avec. Puis, lui remet dans le trou, lui tenant la jambe droite en l'air. A chaque coup de bassin, Aicha crie plus fort. Puis, elle se met à quatre pattes et il la prend en levrette, la tenant par les hanches.
"- Oh oui! C’est bon! T’arrête pas Bastien, je vais avoir un orgasme."
Le jeune homme intensifie le pilonnage, accélère la cadence, son ventre tape contre ses fesses. Il continue ainsi jusqu'à sa délivrance. Aicha se met à jouir très fort:
"- Aaaaaaaaaah! Mon dieu que c'est bon! Aaaaaaah!"
Bastien sort sa bite de son vagin. Il la laisse reprendre ses esprits et son souffle.
"- A toi maintenant."
Il se couche sur la serviette, s'offrant à elle. Aicha enlève le latex et le suce. Elle lui lèche les couilles. Il glousse de plaisir, et lui met l'index dans le vagin. Aicha accélère la branlette jusqu'à ce que Bastien éjacule. Un gros jet blanchâtre jaillit de sa queue et mouille la main d’Aicha. Elle n'arrête pas la branlette pour autant et la poursuit pour finir de le vider. Un second jet, moins important sort. Puis, elle nettoie le gland avec la langue.
Ils restent quelques instants silencieux. Le jeune homme approche sa bouche de la sienne. Ils s'embrassent fougueusement. Puis se rhabillent:
"-
Tu veux que je te dépose?
- D'accord
."
Aicha le ramène à son appartement. Avant de descendre de la voiture, il lui demande:
"-
T'es d'accord pour qu'on se revoie?
- J'ai un mec. D'ailleurs je file à Limoges pour le retrouver. Je n’ai fait que te remercier pour le service rendu »


Par Aicha
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Dimanche 17 juillet 7 17 /07 /Juil 21:46

Moi, Aicha je prends mon pied …

 

Je m’appelle Aicha. J’ai 52 ans. Je suis divorcée, je suis votre écrivaine préférée… et j’adore le sexe… Je déborde d’imagination… voici une de mes aventures, réelle ou non, je vous laisse à votre imagination…

 

Je suis grande. J’ai des cheveux châtains courts des yeux verts et coquins sous une paire de lunettes, une bouche mutine. Mon corps a des formes, une poitrine très généreuse, ferme et rebondie, que je mets en valeur le plus souvent possible. Ma vie sexuelle est agréable.

Aussi quand Mr X a commencé à me draguer, je l’ai laissé faire. La sensation d’être recherchée, d’être désirée, ravive ma libido et fait monter mon désir. 

 

Je connais bien Mr X. Nous sommes des amis intimes. Rien ne s’est jamais passé entre nous, sexuellement parlant, mais nous nous connaissons bien. Il m’a raconté ses nombreux déboires amoureux de divorcé très porté sur la chose. Nous nous apprécions et aimons être ensemble, sans aller plus loin. Et puis un jour, alors qu’il me draguait depuis un moment sans que je cède à ses avances, je l’ai retrouvé à la cafétéria. Mr X, pour plaisanter, m’a proposé de me montrer son sexe. J’ai réellement cru à une plaisanterie !

 

Nous étions dans un coin isolé à la cafeteria et avant que j’aie pu réagir ou dire un mot, Mr X a joint le geste à la parole. Il a ouvert sa braguette sous mes yeux médusés et en a extrait un membre déjà long, pas encore dur, mais déjà impressionnant, qui m’a laissée sans voix. J’ai vu ensuite l’engin se dresser et gonfler lentement. J’ai eu rapidement sous les yeux un sexe de vingt-deux centimètres de long et de près de cinq centimètres de diamètre !

C’est le plus gros et le plus bel engin que je n’aie jamais vu. Et même si l’audace de Mr X me sidére, je ne peux qu’admirer ses « arguments ». Mais la situation ne s’est pas prolongée longtemps, Mr X a dû remballer sa marchandise car quelqu’un arrivait.

 

Je suis ensuite allée aux toilettes me caresser tant la scène que je venais de vivre m’avait excitée, et plus précisément l’organe de Mr X. J’ai joui sans rien toucher d’autre que ma poitrine, à travers le tissu de mon corsage… rien qu’en imaginant ce membre impressionnant en moi.

 

Quand Mr X m’a proposé de le retrouver l’après-midi pour aller faire un tour, j’ai accepté, toujours émoustillée par ce que je venais de voir.

 

À peine dans la voiture de Mr X, j’ai débraguetté le pantalon de mon chauffeur. J’ai extrait le membre qui a durci rapidement. La queue de l’étalon a jailli sous mes yeux. Les vingt-deux centimètres de chair tendue étaient maintenant à proximité immédiate de ma bouche. Mouillant comme jamais, j’ai d’abord branlé longuement l’engin, appréciant en connaisseuse ses dimensions. J’ai dû utiliser mes deux mains pour le caresser complètement. Puis je me suis penchée vers son entrejambe, après avoir détaché sa ceinture, approchant ma bouche de la tige dure. J’ai ensuite léché et sucé le gland, puis le membre. Je l’ai pompé avec fougue. Mais, malgré ma bonne volonté, je ne suis arrivée qu’à peine à en prendre la moitié en bouche.

 

Quand Mr X s’arrête en bordure d’un chemin désert et descend de la voiture, il est à point et veut me prendre. Sa queue d’étalon dure et raide entre les jambes, il me dévore des yeux. J’ai monstrueusement envie de lui et lui aussi. Nous connaissons la solution, sans rien dire, tellement elle est évidente. Comme nous sommes amis intimes et que nous nous racontons des tas de choses, nous avons déjà échangé sur nos goûts sexuels réciproques. Mr X sait que j’ai une préférence pour la sodomie. Et je sais qu’il aime cela aussi.

 

Je me retrouve jupe relevée, slip ôté, penchée en avant, le gland de Mr X posé au bord de mon anus. Il appuie avec son gros gland contre mon petit trou. J’ai déjà pris des gros calibres dans les fesses mais jamais un tel engin. Mr X doit appuyer fortement son gland contre mon petit trou pour le pénétrer. Son sexe force finalement le passage. Et il s’enfonce en moi…

J’en ai presque le souffle coupé. Je sens la queue de Mr X remplir mes fesses. Les vingt-deux centimètres de l’homme, qui ont déjà distendu ma bouche, pourfendent mon anus, le distendant complètement, lui qui était pourtant très accueillant.

J’ai un fessier très, très accueillant. Et je suis très, très excitée. Mon postérieur s’adapte rapidement à la taille gigantesque du membre qui me possède. Je le reçois entièrement en moi, planté au fond de mes fesses, ahanant de plaisir. En même temps, je me sens remplie comme jamais par ce pieu énorme qui taraude mon cul. Mr X remue en moi, entrant et sortant maintenant entièrement son sexe de mon anus, m’arrachant des cris de plaisir rauques à chaque fois qu’il replonge en moi. Mes fesses sont ouvertes.

Je subis avec délectation les assauts de l’homme dans mes fesses. Il me pourfend, me possédant totalement. Plus il me défonce, m’arrachant des râles de plaisir, et plus j’en redemande. Cambrée, je me fais enculer avec délectation. Au bout d’un long moment, il me prévient qu’il va venir. Je me dégage alors, sentant un vide lorsque la queue, longue et puissante, sort de mon petit trou, et lui demande de jouir dans ma bouche. Il obéit et éjacule de longues giclées de foutre dans ma gorge. J’avale en hoquetant la semence abondante de mon étalon d’amant.

 

Après nous être rhabillés, nous profitons du beau temps à côté de la voiture. Mais rapidement, Mr X me dit qu’il a encore envie de moi avant de retourner au travail. Pour me le prouver, il se débraguette à nouveau, ressort son outil à plaisir. Il bande de nouveau !

 

Je reprends en main le sexe de taureau de mon nouvel amant. Je m’agenouille pour le sucer, léchant ses couilles encore pleines. Mais rapidement, je le veux autre part. Je me relève, ôte d’abord mon slip puis ma jupe. À moitié nue, je me mets devant la voiture. Puis, me penchant en avant, les seins sur le capot, je dis à Mr X en lui exhibant mon cul tendu et déjà offert :

 — Encule-moi !

 

Ce dernier ne se fait pas prier. Il se colle contre moi et me pénètre sans plus de préliminaires. Sa grosse queue s’enfonce cette fois-ci sans problème dans mes fesses. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il est à fond de mon cul. Mr X me sodomise pendant près d’un quart d’heure. Il m’encule profondément, me pénétrant de toute la longueur de sa grosse queue. Plus il va et vient en moi, distendant mon anus, et plus j’apprécie et l’accompagne, me cambrant et me tordant sur l’engin qui me déchire les fesses.

Mes seins lourds, comprimés dans mon soutien-gorge, me font mal, tellement ils sont durs. Ils tressautent au rythme des ruades de l’homme dans mes fesses. Puis, à bout, Mr X rue une dernière fois en moi, et éjacule dans mes fesses, son pieu planté au fond de mon cul, tandis que je jouis avec force.

 

Une fois rentrée chez moi, je dois passer deux fois dans l’après-midi aux toilettes pour me calmer. J’ai deux orgasmes uniquement en venant caresser de la main mon anus encore ouvert. Le simple souvenir des deux sodomies intenses que j’ai subies peu avant, me fait mouiller comme une folle. J’ai du mal à me tenir assise sur ma chaise tellement mes fesses me démangent…

 

J’ai soudain envie de réaliser un autre de mes fantasmes. Je prends ma voiture et m’arrête dans un endroit désert et ôte mon slip et ma jupe. Là, à moitié nue, je m’accroupis entre les deux sièges avant de ma voiture, que j’ai reculés au maximum. Je suis juste au-dessus du levier de vitesse de mon véhicule. Mon anus est ouvert et mon désir au plus haut point. Je m’empale les fesses sur le levier de vitesse de ma voiture.

Le levier rentre sans difficulté dans mon anus dilaté. Je me mets à monter et descendre sur l’engin, me sodomisant sans vergogne. Je sens le plaisir monter en moi à chaque fois que je redescends sur le pieu qui est à peine plus large que la queue qui m’avait fait tant jouir juste avant. Alors que je suis toujours en train de m’auto-enculer, je vois une voiture garée un peu plus loin. Plus exactement, je vois un détail de la voiture : la boule de caravane à l’arrière. Mon sang bondit !

 

Je me dégage du levier de vitesse et sors de mon véhicule après avoir vérifié qu’il n’y ait personne. Je dois faire attention, malgré mon désir et mon excitation. Certes la nuit tombe, mais je suis à moitié nue, et porte juste mon corsage et mon soutien-gorge.

 

Je me dirige vers l’autre véhicule, non sans avoir pris un préservatif dans mon sac à main. Je me baisse et habille la boule de la voiture avec le préservatif. Elle est plus grosse que le levier, mais cela devrait passer, me dis-je, toute émoustillée. Puis je me tourne et m’agenouille au-dessus de l’attache de caravane, vérifiant une dernière fois qu’il n’y a personne dans les parages.

Je sens le froid du métal à travers le caoutchouc quand je m’assois sur la boule, cette dernière commençant à ouvrir mes fesses. Je me laisse descendre lentement, sentant la boule ouvrir encore plus mon petit trou. Puis d’un coup, je me retrouve avec le globe en moi, empalée dessus, la boule à l’intérieur de mon cul.

 

Je me mets alors à aller et venir sur l’engin, d’abord doucement, la boule au fond du cul. Puis j’amplifie le mouvement, en ressortant complètement la boule de mes fesses pour me rasseoir aussitôt dessus. Je me sodomise avec force et sens le plaisir monter en moi. J’ai chaud.

 

J’ouvre mon corsage, l’ôte et le jette au sol. Puis je défais mon soutien-gorge qui rejoint le corsage, libérant ma lourde poitrine aux pointes tendues et dures. J’ai besoin de respirer et de jouir. Et je suis maintenant entièrement nue. Un voyeur qui serait passé par là aurait vu une femme, la chatte et ses gros seins à l’air, s’enculer sur une boule de caravane, en plein milieu d’un parking.

Je jouis. Je monte et descends sur le pieu de métal, mes seins lourds et durs suivant le même mouvement. Mon manège dure près de dix minutes avant que je n’aie un nouvel orgasme fulgurant.

Calmée et essoufflée, je me retire de la boule et me relève. Puis je regagne ma voiture, toujours nue, après avoir ramassé mes vêtements. Je suis toujours excitée, car je suis nue et offerte dehors. Je sens mes fesses me brûler tellement elles sont ouvertes et défoncées.

 

Je reste un moment nue à côté de mon véhicule, imaginant des voyeurs qui se rincent l’œil, me caressant doucement sur tout le corps. Le plaisir me saisit encore, et j’ai un orgasme juste en me caressant, nue à côté de mon véhicule.

 

Je me rhabille enfin et rentre chez moi.

 

Je m’aperçois dans ma salle de bains, juste avant de me mettre au lit, que mon anus est toujours très dilaté. Je me penche en avant et me mets de dos face à la glace. Je vois mon petit trou ouvert et tressaille de plaisir.

 

Je me caresse à nouveau et jouis une dernière fois en pensant à ces « membres » qui m’ont donné tant de plaisir…

 

Par Aicha
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Voici le petit monde d'Aicha

réalité ou fantasmes ?

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N'hésitez pas à m'écrire vos impressions, je vous répondrais !

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bisous à tous mes visiteurs !

Aicha 

 

 

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Découvrez la véritable Aicha au fil de vos lectures

et de quelques photos éparses...

je vous laisse l'imaginer... 

 

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