EROTICO-AICHA
Découvrez les textes d'Aicha ...
Sans rien dire, il s’en alla dans le rayon dans lequel il avait commencé à baiser Aicha. Elle ne bougea pas, ses jambes tremblaient. Il revint : il était allé chercher l’embauchoir… Aicha sut immédiatement ce qui l’attendait. Il fallait qu’il prépare son cul comme il avait préparé sa chatte.
Elle lui prit l’embauchoir des mains et le posa à l’entrée de sa rondelle. Elle était déjà ouverte, accueillante, en demande d’être remplie. Aicha passa l’embauchoir sur sa chatte, et l’y remis pour le lubrifier suffisamment. En fait elle se goda un peu avec. Il était froid après la queue bouillante du mec, cela atténua le feu de sa chatte – nul doute qu’Aicha allait ressentir pendant quelques jours les allers et retours de sa queue dans son vagin…
Le propriétaire se branlait en la regardant se masturber. Quelques gouttes de sperme perlaient au bout de sa queue. Elle se pencha en avant et les lécha. Aicha lui tendit l’embauchoir, prêt à être englouti par son cul. Puis elle se mit à quatre pattes sur le comptoir. Il posa de nouveau l’embauchoir à l’entrée de sa rondelle, le poussa et, de son côté, Aicha recula ses fesses pour s’empaler peu à peu. La douleur était lancinante mais jouissive. Elle gémissait de plaisir. Passer la courbure du pied lui arracha un cri, mais une fois en place, c’était exactement ce que son cul réclamait. Elle était remplie comme elle aime avoir le cul rempli. Il fit un peu bouger l’embauchoir. Aicha ne pouvait plus retenir ses cris de jouissance, désormais. La peur d’être entendue s’était évanouie.
Il joua encore un peu avec l’embauchoir dans son cul, tout en lui caressant rudement le clitoris. Il semblait deviner, sans qu’elle ait à lui demander, ce qui la fera le plus jouir. Il récolta sa mouille sur sa main. Il retira doucement l’embauchoir de son cul : Aicha avait l’impression qu’il lui arrachait les entrailles – et en même temps, cette sensation douloureuse était tellement bonne…
Il posa l’embauchoir à côté de la jambe d’Aicha. Celle-ci posa sa tête sur la surface froide du comptoir et ses mains ainsi libérées de son poids allèrent écarter ses fesses, pour que son cul s’ouvre encore davantage. Il cracha un peu de salive dans sa main et ré humecta sa queue. Il posa son gland sur la petite fleur d’Aicha. Elle eut soudain peur et son cul se resserra. Il passa un bras autour d’elle, se pencha au-dessus et lui murmura à l’oreille.
Ces paroles eurent le don de la détendre. Aicha laissa son cul s’ouvrir et il parvint à y glisser son gland. Ce n’était que son gland, et Aicha jouissait déjà. Il n’alla pas plus loin, détendant le cul d’Aicha en faisant quelques va-et-vient juste à l’entrée. Que c’était bon… Sentir ce gland lui perforer le cul, le sentir ressortir et revenir encore…
Son gland accrochait sa rondelle à chaque passage. Il continua ainsi quelques instants, et Aicha sentit monter un nouvel orgasme. Son cul, lui, était grand ouvert, et il l’enculait en savourant chaque millimètre gagné. Elle voulait qu’il aille plus loin, et elle lui signifia en s’empalant un peu plus sur sa queue. Il n’attendait que ça. D’un long et lent mouvement, il finit de transpercer ses rondelles une à une et chaque pénétration lui faisait pousser un cri entre jouissance et douleur. Lorsque ses couilles tapèrent sur les grandes lèvres d’Aicha, elle mouilla comme jamais elle n’avait mouillé, et il entreprit de l’enculer méthodiquement, brutalement, sauvagement. Elle l’encouragea.
Il cessa net lorsqu’une voix retentit derrière eux :
…
Le propriétaire du magasin s’arrêta net. Aicha sentit sa queue se ramollir dans son cul. C’était affreusement frustrant.
Elle tourna la tête et vit, pardessus son épaule, une femme, les mains sur les hanches, l’air peu commode.
Le mec sortit sa queue de son cul, lui tourna le dos. Il devait avoir son énorme queue qui lui pendait entre les jambes. Piètre spectacle…
Pour sa part, Aicha se retourna et s’assit sur le comptoir. Sans honte ni regret.
Si son interruption avait fait débander l’étalon d’Aicha, en ce qui la concernait, elle l’agaça plus qu’autre chose.
Le mec semblait avoir perdu tous ses moyens devant sa patronne.
Il ne dit pas un mot. Aicha réfléchit vite : si elle avait été vraiment gênée par la situation, elle ne serait pas intervenue, elle n’aurait pas osé se retrouver nez à… bite avec son employé. Si elle était intervenue, c’est qu’elle voulait que l’on sache qu’elle était là.
Cet innocent tentait même de cacher son braquemart énorme, même au repos, avec ses deux mains.
Aicha savait ce que voulait la femme. Elle le sentait, comme si elle pouvait humer, de là où elle était assise, l’odeur de sa cyprine qui s’était répandue dans sa culotte alors qu’elle les observait de loin. Car Aicha en était sûre, elle les avait épiés depuis de longues minutes déjà. Elle la soupçonna même d’avoir mis ses mains dans sa culotte et de s’être masturbée en les regardant.
Elle s’approcha du comptoir et écarta, d’un geste brusque, le mec qui semblait ne plus savoir où disparaître. Aicha se leva de la caisse et, debout en face de la femme, souleva la jupe de son tailleur. Elle portait des dessous en dentelle. Aicha mit la main sur son entrejambe. Son instinct ne l’avait pas trompée : sa culotte était détrempée. Elle ne fit aucun commentaire, mais écarta son slip d’un doigt et se mit à genoux. Aicha commença à la lécher, à taquiner son clitoris avec sa langue, à palper ses fesses, fermes et bien rondes, entre ses mains. Elle taquina son clito, effleura ses grandes lèvres, contourna ses replis. Aicha ne s’aventura pas dans sa chatte : elle voulait qu’elle la supplie de le faire. Aicha voulait qu’elle rabatte son caquet. Elle continua ainsi quelques instants en oubliant presque qu’il y avait un homme à côté d’elles. Aicha sentit que la femme mouillait de plus en plus, elle sentit ses frissons et ses tremblements, comme si elle essayait de résister au plaisir qu’elle lui donnait avec sa langue et ses mains qui écartaient de plus en plus ses fesses.
La femme se pencha soudain au-dessus d’Aicha.
Aicha s’écarta d’elle, de sa chatte. Elle défit les boutons et la fermeture éclair de sa jupe et celle-ci tomba à ses pieds. La femme l’enjamba et fit signe à Aicha d’aller vers le comptoir. Elle aussi semblait avoir oublié son employé, qui avait abandonné toute idée de cacher son sexe et qui commençait à se caresser.
Aicha s’allongea sur le comptoir et écarta les jambes : la femme comprit immédiatement et, sans un mot, vint se mettre à quatre pattes au-dessus d’elle.
Elle obéit et présenta ses fesses à Aicha. Sa chatte était au-dessus du visage de celle-ci. Aicha lui écarta les grandes lèvres avec ses deux mains et la titilla avec sa langue. La femme plongea sa langue dans la chatte d’Aicha. Elle semblait prendre autant de plaisir à jouer avec ses replis, son clito, qu’Aicha en avait à jouer avec les siens.
Aicha regarda sur le côté : le « proprio » se branlait juste à côté d’elles. Sa queue avait de nouveau atteint le diamètre qui donnait envie de s’empaler dessus. Mais sa vitesse à débander avait frustrée Aicha, elle avait envie de le faire attendre… Sa patronne était finalement bien plus fiable.
Après avoir bien joué à l’entrée de la chatte de sa nouvelle compagne de jeux, Aicha introduisit sa langue, bien tendue, dans sa caverne, en l’écartant bien avec ses deux mains. Elle enfouit tout son visage entre ses grandes lèvres. La femme gémit de surprise.
Aicha explora avec sa langue tous les recoins de son intimité, elle la fouilla aussi profondément que sa langue le lui permettait. Puis elle l’écarta et la repoussa un peu. La femme avait cessé de lécher Aicha, elle était tout à son plaisir et en oubliait le reste.
Elles se retournèrent. La femme était à son tour allongée sur le comptoir, et Aicha à quatre pattes au-dessus d’elle, sa tête entre ses cuisses.
Elle obtempéra immédiatement. Elle glissa un, puis deux, puis trois doigts dans la chatte d’Aicha, et la branla doucement. Elle se rendit compte qu’Aicha mouillait à mesure qu’elle la pénétra avec ses doigts longs et fins, mais elle ne sembla pas vouloir aller au-delà.
Aicha plongea son visage dans la toison de la femme et, par des coups de langue, entreprit de se rapprocher de sa chatte ; elle la fit languir. Des mouvements incontrôlés de son bassin lui prouvaient qu’elle voulait qu’Aicha recommence, qu’elle mette sa langue bien au fond de sa chatte et qu’Aicha savoure son jus. Mais celle-ci voulait faire monter son désir jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus. Les mouvements des doigts de la femme dans la chatte d’Aicha étaient de plus en plus rapides et impérieux. Elle introduisit un quatrième doigt… puis le pouce. Toute sa main était à l’entrée de la chatte.
Aicha accroupit sur sa main et l’engouffra en entier. La femme eut un cri de surprise, lorsqu’elle vit sa propre main aspirée par la chatte d’Aicha.
Pour la récompenser, celle-ci lui donna ce qu’elle attendait. Elle lui écarta bien les grandes lèvres et introduisit sa langue jusqu’au plus profond de sa chatte. Aicha la fouissait autant qu’elle en avait envie, autant que toutes les vibrations de son corps lui disaient qu’elle le voulait. Plus Aicha la branlait avec sa langue, plus elle écartait sa chatte avec ses doigts, plus elle mouillait. Elle se mit à baiser Aicha avec sa main, d’abord doucement, comme si elle n’osait pas, puis plus vite, plus profondément, plus brutalement. Aicha sentit de nouveau sa chatte se remplir de liquide.
Lorsque la femme ôta sa main, elle reçut la mouille sur son visage.
Elle passa de nouveau sa main sur les grandes lèvres d’Aicha, la frottant sur toutes les faces. Ainsi humectée, elle la réintroduisit dans la chatte d’Aicha, et se remit à la fister avec vigueur cette fois, sans timidité. Aicha la baisa avec sa langue, avec ses doigts, aussi fort qu’elle la fistait. Elles étaient toutes les deux au bord de l’orgasme et entendaient le souffle du mec, qui se branlait bruyamment à côté d’elles.
La femme retira sa main de la chatte d’Aicha. Elle écarta ses fesses avec ses deux mains. Elle la réintroduisit encore. Puis elle l’ôta pour l’enfoncer d’un coup dans son cul.
Quelle jouissance pour Aicha…
Celle-ci n’avait plus besoin d’une queue, la femme avait sa main dans son cul. Aicha s’empala sur ses doigts et profita de chaque millimètre gagné. Sa main était plus dure qu’un gode, plus nervurée qu’une queue. Aicha la happa avec délice. Il n’y avait que le plaisir sauvage de cette main qui s’enfonçait de plus en plus dans son cul qui comptait pour elle… Aicha voulait la retenir et, en même temps, voulait qu’elle l’encule plus loin, elle lui donnait des sensations inconnues. Elle était à la fois douce et fine. Aicha sentit sa mouille qui lui coulait sur le corps, et eut envie de la lécher.
Mais elle n’en eut pas le temps…
…
Aicha sentit soudain la main qui lui fistait le cul avec délice se retirer, tirant en arrière chaque rondelle pénétrée. C’était à la fois jouissif, de sentir cette main qui reculait, et frustrant, tant le vide créé dans son cul lui semblait profond.
Deux mains écartèrent ses fesses et un gland se posa à l’entrée de sa petite fleur.
Aicha n’attendit pas sa réponse et, étant toujours à quatre pattes, d’un grand coup de reins vers l’arrière, elle s’empala sur la queue énorme du mec, enfin redevenue dure. Il ne bougeait pas, aussi est-ce elle qui fit des allers et retours pour bien se faire enculer jusqu’à ce que ses couilles touchent ses grandes lèvres. La rondelle d’Aicha était tellement écartelée, après l’embauchoir, après sa queue, après la main de sa patronne, qu’elle coulissa sur sa queue sans difficulté.
La sensation de s’embrocher sur un pieu accélérait les mouvements d’Aicha sur sa queue. Sa patronne, qu’Aicha avait négligée, se masturbait. Elle avait mis trois de ses doigts dans sa chatte, elle se caressait en regardant, par en dessous, la grosse queue qui enculait Aicha bien à fond. La vision sous cet angle devait être hautement excitante, à en juger par le rythme auquel elle se fourrait la main dans la chatte. Aicha la laissa faire. Ses tétons frôlaient le visage de la femme à chaque fois qu’elle reculait pour bien s’empaler sur la queue du mec. Aicha entendit le bruit de succion de ses doigts dans sa chatte, de plus en plus humide et dégoulinante. Elle voulait la voir mettre toute sa main dans sa chatte…
Aicha défit le seul gros bouton du tailleur de la patronne et les petits boutons de son chemisier. Aicha voulait voir ses seins. Ils étaient tendus, les tétons pointaient à travers la dentelle du soutien-gorge. Aicha lui sortit les seins du chemisier. Ils étaient magnifiques, gonflés à souhait, les aréoles bien sombres.
Aicha mit de grands coups de reins en arrière pour bien se faire défoncer. Elle n’en pouvait plus de sentir cette queue lui remplir le cul. Elle était certaine qu’elle avait atteint un point de non-retour. Jamais, désormais, elle ne pourra jouir sans un tel calibre. C’était impossible. C’était trop bon de sentir ce cône immense lui ouvrir le cul. C’était trop bon, cette queue large et veineuse, qui lui ouvrait les rondelles. Sa chatte se remplissait de liquide. Elle avait les larmes aux yeux et son ventre commençait à lui faire mal.
La nana en dessous d’elle introduisit dans sa chatte son pouce et son auriculaire. Elle se fistait en haletant, Aicha sentit son souffle. Elle gémissait comme si c’était elle qui se faisait prendre.
Aicha se pencha en avant et alla lui lécher un téton, puis le nombril, la toison, le clito, puis, s’arrêta. Aicha plongea le nez dans ses grandes lèvres et la lécha avec envie. Le mec derrière elle avait enfin repris de la vigueur et, puisqu’Aicha ne bougeait plus, c’est lui qui la pilonnait enfin avec entrain. Aicha avait peur qu’il ne vienne dans son cul trop vite, avant qu'elle n’ait le temps de donner du plaisir à sa patronne.
Aicha remit son nez entre les cuisses de la nana. Sa mouille était limpide, fraîche. Elle la lécha avec plaisir, mais était obligée de bien mettre les mains à plat sur le comptoir car le mec la pilonnait avec tellement de vigueur qu’elle avançait de vingt centimètres à chaque fois !
Elle se retrouva le cul en l’air, à tenter de résister aux assauts d’une queue énorme. Elle voulait faire jouir sa patronne avec sa langue, en remerciement de son efficacité avec sa main. Aicha replongea dans sa toison, suça ses grandes lèvres avec avidité. D’une main, la femme lui les écarta pour qu’Aicha puisse faire entrer sa langue plus profondément. Son autre main caressait la chatte d’Aicha, qui gouttait sur son ventre. Elle humecta bien son autre main avec la mouille, et glissa trois doigts dans la vulve d’Aicha, gonflée et bien ouverte. Celle-ci eut l’impression que tout son sang se concentrait entre sa chatte et son cul. Elle n’avait plus d’autres sensations que celles liées à ces deux orifices.
L’espace laissé dans sa chatte par la queue du mec était étroit, mais les doigts de la nana s’y glissèrent sans mal. Enhardie par cette première étape, elle introduisit son petit doigt. Aicha était tellement lubrifiée qu’évidemment son pouce entra sans mal. Aicha hoqueta. Elle avait le cul plus que rempli, la chatte fourrée, et sa bouche se repaissait de la chatte d’une autre femme. C’était tellement jouissif qu’elle fut envahie d’une bouffée de chaleur. Tous ses orifices se détendirent d’un coup. Femme fontaine elle est, femme fontaine elle fut… et sa mouille se répandit entre les seins de la patronne. Aicha ne parvenait plus à la lécher malgré son envie de le faire, elle poussa un cri qui dut ameuter le quartier.
Aicha creusa le dos dans son orgasme. Juste à temps pour recueillir le sperme du mec qui l’arrosa entre les omoplates. Sa semence lui coula le long de la colonne vertébrale et fit une flaque au-dessus de la raie de ses fesses.
C’était fini.
…
Le compagnon d’Aicha est de nouveau parti. Elle est de nouveau seule depuis plusieurs jours. C’est pénible, les vacances des autres quand on est obligée de bosser…
Non, elle n’est pas retournée au magasin de chaussures.
Elle a simplement gardé les escarpins de cette soirée-là. Elle n’a pas repris ses chaussures vieilles d’une semaine quand elle est partie, après tout ce qu’elle venait de vivre. Elle a juste enfilé sa robe, et s’était éclipsée. Elle n’était pas honteuse, non, mais elle n’avait plus rien à faire là.
Oui, son compagnon l’a félicitée pour les escarpins. Quand Aicha les enfile, quelle que soit la manière dont elle est habillée, il ne peut s’empêcher de se coller à elle et de lui faire sentir combien il bande, rien qu’à la regarder, perchée sur ces élégantes échasses. Il ne veut pas qu’elle les mette en dehors de l’appartement, il paraît que ça rendrait fous les autres hommes.
Leur vie sexuelle les comble tout à fait, ils n’ont pas besoin d’intervenants extérieurs.
…
Juin 2025 | ||||||||||
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