Le blog de Aicha

Souvenirs d’Aicha et de ses deux hommes

 

Aicha est le genre de femme qui aime bien faire le ménage dans les chambres, elle aime ranger les vêtements de son fils qui n’est pas particulièrement méticuleux. Cependant elle ne se permettrait pas de fouiller dans les affaires de celui-ci. C’est vrai que mis à part ses habits, il ne laisse pas grand-chose trainer.
Aicha, depuis un certain temps a vu des traces sèches provenant de ses rêves mouillés ou encore des kleenex collés qui se perdent quelques fois sous le lit.
Non pas qu’Aicha s'en fiche, mais elle trouve tout ça assez normal. En fait elle est plutôt fière de son fils. Fière qu'il devienne ce jeune homme plein de vie tout en restant un gentil garçon. I est vrai qu'elle aime le regarder. C'est un jeune homme brun, avec ce regard noir profond qui fait sûrement chavirer les cœurs  de nombreuses jeunes filles. Aicha aime son fils de tout son cœur, mais quoi de plus normal, n'est-il pas son fils ?


Et puis, un jour comme les autres jours, elle est étonnée de trouver dans la chambre de G…, une cassette vidéo coincée entre le lit et le mur. Une bien étrange cachette pense-t-elle. Elle la range dans le bureau de son fiston.
Elle n'y aurait jamais repensée si son fils ne lui avait envoyé un sourire bien étrange le lendemain soir. Il venait de lui demander pour l’énième fois de ne plus faire le ménage dans sa chambre et qu’il est assez grand pour le faire seul. Mais sa mère un peu maniaque ne pouvait se résoudre à laisser l'amoncellement s'installer. Elle soupira puis elle crut bon d'ajouter qu'il n'avait pas à s'en faire. Jamais elle ne ferait de remarque sur ce qu'elle pouvait bien trouver dans son antre.
G… marque un temps d'arrêt puis, ses yeux se rétrécissent comme s'il venait de comprendre un sens cacher dans la phrase de sa mère et enfin, il lui sourit avec ce "Bon, ça va, ça va" qui fit douter Aicha.

Quelques jours après ce petit incident, Aicha fouine dans la chambre de son fils retrouvant la cassette. Elle l'enfonce dans l’ancien magnétoscope qu'avait récupéré G… pour visionner de vieux films.
Et là,  Aicha tombe assise sur le lit de G…, les yeux écarquillés. Sur le petit écran de la télé de son fils, elle se voit, elle, sa mère. Elle est nue et se prélasse sur ce vieux canapé qu'ils ont jeté depuis belle lurette. Derrière la caméra elle peut entendre son mari qui l'encourage à prendre des poses lascives et à se laisser aller devant l'objectif.

Aicha se souvint de ces jeux avec P… qui avaient presque cessés depuis la naissance de G... Son mari aimait la filmer et filmer leurs ébats. Aicha appuya sur l'avance rapide de la télécommande et retrouva chaque souvenir de ces séances coquines. Elle, seule se caressant, P…  dans la même situation, où entrain de le sucer, ou encore faisant l’amour dans toutes les positions.
Elle a honte. D'un autre côté c'était de très bons souvenirs qui malgré tout, lui réchauffèrent le bas du ventre.

Dans ce lit fait à la va vite, Aicha est à demi allongée, plongée dans ses pensées, elle retrouve les odeurs de son fils. Elle l'imagine entrain de se donner du plaisir en la regardant sur l’écran, elle, sa mère. Elle se laisse aller et s'accorde une petite caresse pour obtenir une jouissance personnelle comme s’il y avait longtemps qu'elle n'en avait pas eu. Et puis, au milieu des vapeurs d'orgasme qui s'évaporent peu à peu, elle touche terre à nouveau. Il faut qu'elle parle à son fils. Elle se relève, se rajuste et remet la cassette dans le tiroir à secret de l’armoire.
La vie reprend cependant son cours normal. P… a une libido assez importante, Aicha ne s'en plaint pas, au contraire, elle aime les attentions de son mari et surtout la façon dont il la prend dès que G… est couché.
Elle aime être renversée et possédée. Il faut dire que P… est grand et baraqué ;

C'est vrai aussi qu'il peut se montrer un peu brusque, elle l'aime comme ça et elle ne l'aurait jamais échangé pour un de ces minets romantiques plus jeunes. Elle aime sa fougue, son caractère sanguin et sa grosse bite qui la ravage.


C'est un samedi soir, où P… est en forme et compte bien le montrer à sa femme. Aicha bien contente de prendre sa dose de plaisir le laisse faire quand il commence à la tripoter dans la cuisine. G… est monté depuis une dizaine de minutes dans sa chambre, sensé regarder sa télé. Aicha débarrasse la table du salon, lavant les dernières tasses qui traînaient.

A cette époque, à quarante ans, Aicha commence à avoir ces formes que les femmes redoutent tant. Elle n'est pas vraiment potelée et P… aime ainsi sa femme.  Elle a un merveilleux petit cul qu'il tripote dès qu'il en a l'occasion et des seins ronds et généreux.

Quand il la pousse contre la table de la salle à manger, elle sait qu'il va lui offrir un de ces bons moments de folle passion.
Elle aime sentir ses grands battoirs qui lui servent de main, remonter sa chemise de nuit. La peau rugueuse qui explore son dos comme s'il faisait le tour du propriétaire avant d'appuyer sur sa nuque pour asseoir définitivement sa domination. Elle est déjà trempée d'impatience. Il aime presser sa main contre sa fente. Il presse ses doigts imposants à l'entrée du vagin et sans plus de précaution il enfonce son majeur dans la chatte trempée.
Aicha feule comme une tigresse prise au piège, dominée par son mâle.

 P… regarde ses doigts brillants de la liqueur et satisfait, enserre les hanches d’Aicha pour la ramener contre sa tige gonflée. A chaque fois, il pousse si fort contre les parois sexuelles qu'elle serre les dents sous la douleur. Puis la douleur se mue en plaisir, un plaisir infini de se sentir remplie par ce membre de chair qui se déploie à l'intérieur de son ventre et irradie sa chaleur.
Le souffle coupé par la fureur de cet envahisseur, elle ne reprend son souffle qu'à son second va et vient, quand ses chairs prennent la mesure de l’organe demeurant en elle. Elle n’ouvre les yeux que pour les refermer. Entre les mains énormes de son mari, son  corps est secoué d'avant en arrière comme une poupée de chiffon. Ses seins glissent sur la toile cirée, elle tente de s'accrocher aux bords de la table tandis que P… la fait coulisser sur son ardillon.
D'ordinaire elle ferme les yeux pour que plus rien n'existe, juste ce goupillon qui la taraude. Mais il y a cette petite lueur rouge ! Elle l'a aperçue juste avant que son époux accélère le rythme et se plante d'un grand coup de rein dans elle. Elle rouvre les paupières mais elle a du mal à distinguer quoi que ce soit, ainsi ballotée. Elle la voit pourtant de nouveau la petite lumière rouge.
Elle plisse les yeux pour voir ce que ça peut bien être et  s'agrippe à la table plus fermement. P… grogne, content qu'elle se rebiffe un peu. Une grande claque sur ses petites fesses puis un grand coup de rein lui revaut sa rébellion. Aicha gémit de plaisir à ces stimulations mais reste concentrée sur cette vision inhabituelle.
Les petits appels qu'elle pousse, son mari croit à du plaisir, mais là, dans la demi-obscurité, Aicha l'a vu et elle panique.
G… a un genou à terre. A bout de bras il tient le nouveau caméscope de ses parents pour immortaliser cette petite soirée. Il ne voit pas le regard de sa mère rivé à la diode rouge de l'appareil qui indique l'enregistrement. Aicha réfléchit aussi vite qu'elle peut au milieu des effluves soporifiques du plaisir qui ont déjà pris le contrôle d'une bonne partie de son corps.

" Han… han… P… Chéri… attends… et si… Et si G… nous… "

P… croit rêver. Qu'est entrain de dire sa femme ?
Quoi G… ? Quoi son fils ? Il est entrain de dormir ou de regarder  sa télé. Pourquoi doit-elle parler de lui maintenant ?
Ne peut-elle l'oublier quelques instants ! Ne peut-elle cesser une seconde de se comporter en mère poule !

Il la retourne comme une crêpe avant de la pénétrer de nouveau. De face cette fois, elle peut voir ce regard amoureux presque dément qu'a son mari pendant qu'il la laboure comme un forcené. P… peut la voir maintenant, il peut voir ses petits coups d'œil vers le haut des escaliers. Il peut voir dans ses yeux la crainte, la gêne ou la peur tout simplement. Alors il sent sa libido retomber et la frustration exploser. S'il y a bien un moment où il ne faut pas le déranger, s'il y a bien un moment où il ne faut pas l'interrompre c'est bien celui-là. Il aime sa femme et quand il s'unit à elle, dans ce pur moment de plaisir et d'extase, il ne désire qu'une chose, qu'elle se donne toute à lui.


Aicha lance un dernier regard vers l'escalier. Un de trop, les yeux de P… suivent ceux de son épouse qui panique pour de bon. Dans un même mouvement il lui ordonne de ne pas bouger, il enjambe d'un pas l'espace qui le sépare de l'interrupteur. G… n'a pas le temps de faire le moindre geste, dans la lumière soudaine du lustre, le regard de son père le transperce.
Furieux ? Non, il est bien au-delà de ça. Son fils est entrain de les reluquer comme un pervers pendant qu'ils font l'amour, comme un voyeur planqué dans un parc. Le pire c'est qu'il les filme. Le regard de P… passe de son fils au caméscope. Il  poussa celui-ci  énergiquement sur le tapis du salon.
Il regarde son fils et, prenant un air faussement intéressé, il lui demande si le caméscope fonctionne.
G… bredouille un "oui" stupéfait en voyant son père allumer toutes les lampes du salon, même l'halogène dont il remonte complètement le variateur. Il lui faut de la lumière à ce jeune cinéaste en herbe si désireux de faire ses premières expériences !
D'une main P… saisit la table basse qu'il fait passer derrière un des deux canapés. Une seconde plus tard, il pousse sa femme au milieu du tapis tout en ordonnant à son fils de la filmer. G… hésite, mais quand son paternel répète son ordre, il ouvre le clapet de l'appareil et appuie sur la touche d’enregistrement.

P… dit a Aicha :


" Branle-toi."

L'ordre est  simple et ne souffre d’aucune réponse.
Le regard de son mari suffit et devant l'objectif de la caméra, Aicha glisse sa main entre ses cuisses pour caresser son intimité.

"Mieux que ça !"

Elle presse ses doigts contre son clitoris et commence à le bricoler. C'est une caresse froide. Pas de plaisir, pas d'envie, juste ses doigts qui pressent son clitoris et décrivent de petits cercles.

"
Mieux que ça je t'ai dit !!! Et écarte les cuisses salope !"

Aicha appuie son dos contre le canapé. Ses jambes repliées, les cuisses entrouvertes, elle frotte son petit bouton devant l'objectif.

"Ho non ma belle, il est normal que ton fils soit curieux à son âge, alors essaie de satisfaire sa curiosité !
Branle toi et bien nom de dieu !! "


Aicha ouvre un peu plus les cuisses et tirant sur le renflement de peau d'une main, elle agace son clitoris de l'autre. Son petit bouton refuse de se montrer, il refuse une excitation qui n'est pas présente.

"Oui ! Comme ça ! Souviens-toi comme t'aimais quand je te filmais salope !
Alors vas-y, qu’il en ai pour son argent, ton salopard de fils !"

Aicha tente comme elle peut d'accéder à un plaisir qui lui échappe obstinément. Puis, peu à peu, plutôt que du plaisir, c'est de la colère qu'elle sent monter en elle. C'est chaud et puissant, mais ça ne vient pas de l'intérieur de son ventre. Elle lève les yeux sur son conjoint, leurs regards se croisent. Lorsqu’il voit cette lueur qui s'embrase dans ses prunelles, il se fait plus menaçant mais surtout, il sent son propre plaisir monter. Les souvenirs avec sa femme et une caméra reviennent dans sa mémoire, des moments de pure luxure.
Il n'en fallait pas plus pour que son gourdin se redresse, la démonstration de son excitation renforce la rage d’Aicha. Ses doigts s'activent plus fermement sur sa fente. Il veut qu'elle se donne en spectacle, alors elle va lui en donner du spectacle. Elle a les yeux fixés sur ceux de son mari, ses cuisses s'ouvrent plus largement.

Devant elle, G… comprend que quelque chose  est entrain de se nouer. La seule chose qui l’importe, est ce que fait sa mère. Il revoit sur l’écran de sa télé, quand il est seul dans sa chambre, les gros plans de l'époque, réalisés par son père, sur lesquels il s’est beaucoup masturbé. Mais là, c'est différent, c'est lui qui filme cette fente, il peut voir les grandes lèvres qui s'écartent peu à peu.

Aicha se focalise tant qu'elle peut sur cette rage qui l'embrase encore plus qu'une excitation perverse. Elle se concentre sur P…mais son regard glisse sur son fils. Son fils bande lui aussi. Comme son salopard de père, cette peste de fiston, tous deux sont excités de la voir ainsi.
Sans réfléchir, ses yeux toujours rivés au pyjama de G…, elle plonge son majeur dans son vagin et elle émet son premier soupir. P…jubile à ce même instant, il l'a vaincu mais il en veut plus. A nouveau l'excitation remonte effaçant peu à peu sa frustration. Cette coquine bave devant son fils.
Devant l'objectif, Aicha commence à se caresser plus précisément, plus naturellement. La colère s'estompe submergée par un flot d'excitation si fort qu'elle ne peut la contrôler. Dans sa tête tout lui crie qu'elle doit se reprendre mais son corps, son ventre, lui ordonnent de regarder ce jeune homme qu'est son fils et de lui donner ce qu'il veut. Entre ses doigts commence à couler son nectar. Un puis deux puis trois, elle enfonce ses doigts dans son intimité avec de plus en plus de fermeté.
P… pousse du pied le canapé, Aicha tombe en arrière. Elle ne s'arrête pas pour autant. Les cuisses largement ouvertes, elle plante ses doigts dans son vagin détrempé pendant que de l'autre main elle triture son clitoris.

"
Allez montre à ton fils comme tu peux être une belle cochonne ! Montre-lui à  quoi ça ressemble une vraie femme !"

Aicha se cambre soulevant ses fesses et offrant toute son intimité à son fils qui ne perd pas une miette du spectacle. Aicha se déchaîne. Les petits cercles sur son bouton se muent en va-et-vient brefs et frénétiques. Entre son majeur et son index, son clitoris est gonflé, elle le masturbe avec force. Dans sa gaine, ses trois doigts vont et viennent emplissant le salon de clapotis indécents.

P… s’approche de son fils et le pousse pour qu’il avance. Obéissant aux ordres de son père, G… fait le tour de sa mère, la filmant sous tous les angles, jusqu'à ce qu'elle se laisse aller à la jouissance, le corps traversé par les vagues successives de son orgasme. Machinalement le garçon stoppe la machine, son père intervient de nouveau.

"
Hé mais ce n’est pas fini, il y a encore des prises pour ton film !"

P…s'agenouille à côté du visage de sa femme. Sans ménagement il empoigne les cheveux pour lever sa tête vers son sexe. Aicha ne pose aucune question ni aucune protestation. Elle ouvre la bouche et absorbe le membre de son mari.

Relançant l'enregistrement, G…rejoint le couple. Il est stupéfait de voir avec quelle force son père enfonce son sexe dans la gorge de sa mère. Il est étonné de voir comment sa mère accepte ce barreau de chaire pour le sucer. Il lui semble presque qu'elle y prend du plaisir alors qu'elle tousse et que cela l'empêche de respirer.

Bien-sur Aicha est habituée à ce genre de pratique, elle aime même ça. C'est puissant, dur, mais ce sont les prémices de bien plus de plaisir encore.

P… retrouve ses marques, ses habitudes. D'une main il maintient la tête d’Aicha et de l'autre il s'attaque à ses seins. Entre le pouce et l'index il agace les tétons. Il les fait rouler, les pince. Il tire dessus jusqu'à faire geindre sa femme avant de s'attaquer à l'autre. G… tente de tout capturer, il sent l'atmosphère se charger de débauche. Voir des vidéos c'est une chose, mais les filmer, devenir partie prenante de ces jeux secrets et qu’il a tant rêvé, c'est vraiment autre chose. Devant lui son père délaisse les seins de sa mère pour venir s'occuper de son bas ventre. Son majeur et son index se plantent dans les chairs encore humide.
Aicha pousse des gémissements plus ou moins étouffés car sa bouche est pleine. Elle geint de plus en plus fort, presque sans s'arrêter alors que P… martyrise la chatte enflammée de sa masturbation précédente. Et puis il retourne Aicha qui s'agrippe à son sexe et reprend son office en s’agenouillant.
Les fesses en l'air, le visage enfoui entre les cuisses de son mari. Celui-ci a les deux mains libres, il en profite pour écarter les petits globes de chair du mignon cul rebondi puis sans aucune gêne, il encourage son fils à bien zoomer sur l’œillet de sa mère.
Elle s'y est préparée pourtant mais quand il enfonce son majeur dans son petit trou, elle ne peut retenir une longue protestation plaintive. G… n’en perd pas une miette, tentant d’immortaliser la scène. Aicha sent que la rage abandonne son mari, pour ne plus laisser place qu'à l'excitation et au plaisir. Hélas celui-ci n'est pas au bout de son projet. Quand elle l'entend demander à son fils de s'approcher elle panique, elle sait tout de suite que ce ne sont pas les doigts de P… qui caressent sa chatte. Sans cesser de planter son doigt dans le cul, P… a fait glisser le pyjama de son fils au sol et prit le pistolet entre deux doigts pour le guider dans les grandes lèvres maternelles dont il est issu. Quelle sensation étrange pour G….
P… regarde son fils pénétrer lentement sa mère, le garçon pousse un son rauque. En réponse sa mère crie un long "non" désespéré. Elle sent le sexe de son fils l'investir. Elle eut cette étrange remarque dans sa tête qu'il était plus gros qu'elle ne le pensait. Même P…dut l'admettre, son fils est plutôt bien membré. Du coup le père ramasse la caméra et pointe le nouveau couple. G… saisit les hanches de sa mère pour compléter son accouplement. Le père fait varier la focale allant de plan large en gros plan.

Évidemment G… ne peut faire plus d'une dizaine d’oscillations dans la chatte chaude de sa mère avant de d’éjecter son sperme en elle. P… repose son caméscope, saisit la chevelure brune d’Aicha et de nouveau enfonce son engin au fond de la gorge, il éjacule presque aussitôt à son tour
Aicha tente de se relever mais de suite la main de son mari l'empêche d'aller plus loin. A quatre pattes, elle voit son fils suivre les ordres de son père et s'approcher.
Les joues encore ruisselantes de foutres, Aicha accueille le sexe de son fils dans sa bouche. P… n'a aucun besoin de guider son fils. Aicha sent les doigts de son garçon glisser dans ses cheveux jusqu'à l'arrière de sa tête. Lentement mais très fermement, G… presse le visage de sa mère contre son pubis.



Un mois plus tard, dans la maison du couple, un samedi soir comme les autres. La mère de famille a préparé des pizzas et une quiche. G… prend l'apéritif avec ses parents dans le salon. Aicha revient de la cuisine  avec une bouteille de soda fraiche. Quand P…lui flatte la croupe en passant avec sa grosse main, ce qui la fait frémir et sourire.
Pendant qu'elle remplit les verres posés sur la table basse, son fils pose sa main sur ses reins et remonte le long de son dos. Aicha garde le sourire mais ses yeux trahissent une certaine anxiété.

Les doigts de G… se referment sur la glissière de la robe. Aicha se fige un instant, juste ce qu'il faut pour que son fils descende le petit morceau de métal du zip du vêtement qui s'ouvre comme une fleur au soleil. Aicha à peine surprise se retourne vers son fils mais déjà son mari l'attrape par les hanches avant d'appuyer sur son dos.

Aicha n'émet aucune protestation, son visage repose sur les cuisses de son fils qui lui caresse les cheveux pendant que P… lui retire sa culotte. De ses doigts rugueux il triture son intimité et s'enfonce dans la chatte brûlante. Elle n’attend que ça. Elle souhaite ce moment où ses deux hommes la forceraient, ce moment où ses chéris lui montreraient combien ils l'aiment, la force de leur passion.

G… a tôt fait de dégrafer le soutien-gorge, il se trémousse pour faire descendre son pyjama et pendant que son père pénètre un peu sauvagement sa génitrice, Le jeune homme engouffre popaul dans la bouche grande ouverte qui n’en espérerait pas moins. Aicha se cramponne aux hanches de son fils alors que déjà son mari la fait aller et venir sur son membre dilaté.
Quelques minutes plus tard celui-ci se lève pour mieux se planter dans le ventre de sa femme haletante. Quelques minutes encore et il l'attire au sol, face à lui. Elle s'empale sur le pieu de son mari avec une ferveur jubilatoire. Elle griffe le torse de son mari qui en réponse la force à se coucher sur lui. Derrière elle, elle sent les mains de son fils qui déjà écarte ses petites fesses musclées.
Aicha serre les dents, lentement son fils plaque son visage entre les fesses, sa langue se met à l’ouvrage. Cette fois-ci, elle se laisse aller complètement au plaisir.
Plus rien au monde ne peut lui donner plus de plaisir que de sentir son corps complètement abandonné par ses deux hommes. Elle plante ses ongles dans les épaules de son mari dont les yeux brillent de fierté et de lubricité. Elle est prise dans une tourmente entre son fils et son époux ou règne une chaleur insoutenable.

Sur un trépied trône un caméscope au clapet ouvert. Une petite lueur rouge brille sur le côté. Sur le meuble à côté de l'halogène, une autre caméra en marche avec une petite lueur rouge, brille sur le côté.

Dim 7 aoû 2011 Aucun commentaire