Le blog de Aicha

Moi, Aicha je prends mon pied …

 

Je m’appelle Aicha. J’ai 52 ans. Je suis divorcée, je suis votre écrivaine préférée… et j’adore le sexe… Je déborde d’imagination… voici une de mes aventures, réelle ou non, je vous laisse à votre imagination…

 

Je suis grande. J’ai des cheveux châtains courts des yeux verts et coquins sous une paire de lunettes, une bouche mutine. Mon corps a des formes, une poitrine très généreuse, ferme et rebondie, que je mets en valeur le plus souvent possible. Ma vie sexuelle est agréable.

Aussi quand Mr X a commencé à me draguer, je l’ai laissé faire. La sensation d’être recherchée, d’être désirée, ravive ma libido et fait monter mon désir. 

 

Je connais bien Mr X. Nous sommes des amis intimes. Rien ne s’est jamais passé entre nous, sexuellement parlant, mais nous nous connaissons bien. Il m’a raconté ses nombreux déboires amoureux de divorcé très porté sur la chose. Nous nous apprécions et aimons être ensemble, sans aller plus loin. Et puis un jour, alors qu’il me draguait depuis un moment sans que je cède à ses avances, je l’ai retrouvé à la cafétéria. Mr X, pour plaisanter, m’a proposé de me montrer son sexe. J’ai réellement cru à une plaisanterie !

 

Nous étions dans un coin isolé à la cafeteria et avant que j’aie pu réagir ou dire un mot, Mr X a joint le geste à la parole. Il a ouvert sa braguette sous mes yeux médusés et en a extrait un membre déjà long, pas encore dur, mais déjà impressionnant, qui m’a laissée sans voix. J’ai vu ensuite l’engin se dresser et gonfler lentement. J’ai eu rapidement sous les yeux un sexe de vingt-deux centimètres de long et de près de cinq centimètres de diamètre !

C’est le plus gros et le plus bel engin que je n’aie jamais vu. Et même si l’audace de Mr X me sidére, je ne peux qu’admirer ses « arguments ». Mais la situation ne s’est pas prolongée longtemps, Mr X a dû remballer sa marchandise car quelqu’un arrivait.

 

Je suis ensuite allée aux toilettes me caresser tant la scène que je venais de vivre m’avait excitée, et plus précisément l’organe de Mr X. J’ai joui sans rien toucher d’autre que ma poitrine, à travers le tissu de mon corsage… rien qu’en imaginant ce membre impressionnant en moi.

 

Quand Mr X m’a proposé de le retrouver l’après-midi pour aller faire un tour, j’ai accepté, toujours émoustillée par ce que je venais de voir.

 

À peine dans la voiture de Mr X, j’ai débraguetté le pantalon de mon chauffeur. J’ai extrait le membre qui a durci rapidement. La queue de l’étalon a jailli sous mes yeux. Les vingt-deux centimètres de chair tendue étaient maintenant à proximité immédiate de ma bouche. Mouillant comme jamais, j’ai d’abord branlé longuement l’engin, appréciant en connaisseuse ses dimensions. J’ai dû utiliser mes deux mains pour le caresser complètement. Puis je me suis penchée vers son entrejambe, après avoir détaché sa ceinture, approchant ma bouche de la tige dure. J’ai ensuite léché et sucé le gland, puis le membre. Je l’ai pompé avec fougue. Mais, malgré ma bonne volonté, je ne suis arrivée qu’à peine à en prendre la moitié en bouche.

 

Quand Mr X s’arrête en bordure d’un chemin désert et descend de la voiture, il est à point et veut me prendre. Sa queue d’étalon dure et raide entre les jambes, il me dévore des yeux. J’ai monstrueusement envie de lui et lui aussi. Nous connaissons la solution, sans rien dire, tellement elle est évidente. Comme nous sommes amis intimes et que nous nous racontons des tas de choses, nous avons déjà échangé sur nos goûts sexuels réciproques. Mr X sait que j’ai une préférence pour la sodomie. Et je sais qu’il aime cela aussi.

 

Je me retrouve jupe relevée, slip ôté, penchée en avant, le gland de Mr X posé au bord de mon anus. Il appuie avec son gros gland contre mon petit trou. J’ai déjà pris des gros calibres dans les fesses mais jamais un tel engin. Mr X doit appuyer fortement son gland contre mon petit trou pour le pénétrer. Son sexe force finalement le passage. Et il s’enfonce en moi…

J’en ai presque le souffle coupé. Je sens la queue de Mr X remplir mes fesses. Les vingt-deux centimètres de l’homme, qui ont déjà distendu ma bouche, pourfendent mon anus, le distendant complètement, lui qui était pourtant très accueillant.

J’ai un fessier très, très accueillant. Et je suis très, très excitée. Mon postérieur s’adapte rapidement à la taille gigantesque du membre qui me possède. Je le reçois entièrement en moi, planté au fond de mes fesses, ahanant de plaisir. En même temps, je me sens remplie comme jamais par ce pieu énorme qui taraude mon cul. Mr X remue en moi, entrant et sortant maintenant entièrement son sexe de mon anus, m’arrachant des cris de plaisir rauques à chaque fois qu’il replonge en moi. Mes fesses sont ouvertes.

Je subis avec délectation les assauts de l’homme dans mes fesses. Il me pourfend, me possédant totalement. Plus il me défonce, m’arrachant des râles de plaisir, et plus j’en redemande. Cambrée, je me fais enculer avec délectation. Au bout d’un long moment, il me prévient qu’il va venir. Je me dégage alors, sentant un vide lorsque la queue, longue et puissante, sort de mon petit trou, et lui demande de jouir dans ma bouche. Il obéit et éjacule de longues giclées de foutre dans ma gorge. J’avale en hoquetant la semence abondante de mon étalon d’amant.

 

Après nous être rhabillés, nous profitons du beau temps à côté de la voiture. Mais rapidement, Mr X me dit qu’il a encore envie de moi avant de retourner au travail. Pour me le prouver, il se débraguette à nouveau, ressort son outil à plaisir. Il bande de nouveau !

 

Je reprends en main le sexe de taureau de mon nouvel amant. Je m’agenouille pour le sucer, léchant ses couilles encore pleines. Mais rapidement, je le veux autre part. Je me relève, ôte d’abord mon slip puis ma jupe. À moitié nue, je me mets devant la voiture. Puis, me penchant en avant, les seins sur le capot, je dis à Mr X en lui exhibant mon cul tendu et déjà offert :

 — Encule-moi !

 

Ce dernier ne se fait pas prier. Il se colle contre moi et me pénètre sans plus de préliminaires. Sa grosse queue s’enfonce cette fois-ci sans problème dans mes fesses. Et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, il est à fond de mon cul. Mr X me sodomise pendant près d’un quart d’heure. Il m’encule profondément, me pénétrant de toute la longueur de sa grosse queue. Plus il va et vient en moi, distendant mon anus, et plus j’apprécie et l’accompagne, me cambrant et me tordant sur l’engin qui me déchire les fesses.

Mes seins lourds, comprimés dans mon soutien-gorge, me font mal, tellement ils sont durs. Ils tressautent au rythme des ruades de l’homme dans mes fesses. Puis, à bout, Mr X rue une dernière fois en moi, et éjacule dans mes fesses, son pieu planté au fond de mon cul, tandis que je jouis avec force.

 

Une fois rentrée chez moi, je dois passer deux fois dans l’après-midi aux toilettes pour me calmer. J’ai deux orgasmes uniquement en venant caresser de la main mon anus encore ouvert. Le simple souvenir des deux sodomies intenses que j’ai subies peu avant, me fait mouiller comme une folle. J’ai du mal à me tenir assise sur ma chaise tellement mes fesses me démangent…

 

J’ai soudain envie de réaliser un autre de mes fantasmes. Je prends ma voiture et m’arrête dans un endroit désert et ôte mon slip et ma jupe. Là, à moitié nue, je m’accroupis entre les deux sièges avant de ma voiture, que j’ai reculés au maximum. Je suis juste au-dessus du levier de vitesse de mon véhicule. Mon anus est ouvert et mon désir au plus haut point. Je m’empale les fesses sur le levier de vitesse de ma voiture.

Le levier rentre sans difficulté dans mon anus dilaté. Je me mets à monter et descendre sur l’engin, me sodomisant sans vergogne. Je sens le plaisir monter en moi à chaque fois que je redescends sur le pieu qui est à peine plus large que la queue qui m’avait fait tant jouir juste avant. Alors que je suis toujours en train de m’auto-enculer, je vois une voiture garée un peu plus loin. Plus exactement, je vois un détail de la voiture : la boule de caravane à l’arrière. Mon sang bondit !

 

Je me dégage du levier de vitesse et sors de mon véhicule après avoir vérifié qu’il n’y ait personne. Je dois faire attention, malgré mon désir et mon excitation. Certes la nuit tombe, mais je suis à moitié nue, et porte juste mon corsage et mon soutien-gorge.

 

Je me dirige vers l’autre véhicule, non sans avoir pris un préservatif dans mon sac à main. Je me baisse et habille la boule de la voiture avec le préservatif. Elle est plus grosse que le levier, mais cela devrait passer, me dis-je, toute émoustillée. Puis je me tourne et m’agenouille au-dessus de l’attache de caravane, vérifiant une dernière fois qu’il n’y a personne dans les parages.

Je sens le froid du métal à travers le caoutchouc quand je m’assois sur la boule, cette dernière commençant à ouvrir mes fesses. Je me laisse descendre lentement, sentant la boule ouvrir encore plus mon petit trou. Puis d’un coup, je me retrouve avec le globe en moi, empalée dessus, la boule à l’intérieur de mon cul.

 

Je me mets alors à aller et venir sur l’engin, d’abord doucement, la boule au fond du cul. Puis j’amplifie le mouvement, en ressortant complètement la boule de mes fesses pour me rasseoir aussitôt dessus. Je me sodomise avec force et sens le plaisir monter en moi. J’ai chaud.

 

J’ouvre mon corsage, l’ôte et le jette au sol. Puis je défais mon soutien-gorge qui rejoint le corsage, libérant ma lourde poitrine aux pointes tendues et dures. J’ai besoin de respirer et de jouir. Et je suis maintenant entièrement nue. Un voyeur qui serait passé par là aurait vu une femme, la chatte et ses gros seins à l’air, s’enculer sur une boule de caravane, en plein milieu d’un parking.

Je jouis. Je monte et descends sur le pieu de métal, mes seins lourds et durs suivant le même mouvement. Mon manège dure près de dix minutes avant que je n’aie un nouvel orgasme fulgurant.

Calmée et essoufflée, je me retire de la boule et me relève. Puis je regagne ma voiture, toujours nue, après avoir ramassé mes vêtements. Je suis toujours excitée, car je suis nue et offerte dehors. Je sens mes fesses me brûler tellement elles sont ouvertes et défoncées.

 

Je reste un moment nue à côté de mon véhicule, imaginant des voyeurs qui se rincent l’œil, me caressant doucement sur tout le corps. Le plaisir me saisit encore, et j’ai un orgasme juste en me caressant, nue à côté de mon véhicule.

 

Je me rhabille enfin et rentre chez moi.

 

Je m’aperçois dans ma salle de bains, juste avant de me mettre au lit, que mon anus est toujours très dilaté. Je me penche en avant et me mets de dos face à la glace. Je vois mon petit trou ouvert et tressaille de plaisir.

 

Je me caresse à nouveau et jouis une dernière fois en pensant à ces « membres » qui m’ont donné tant de plaisir…

 

Dim 17 jui 2011 Aucun commentaire