Le blog de Aicha
Je ne pouvais attendre plus longtemps. Il me fallait assouvir ces fantasmes de soumission qui m'assaillent depuis mon adolescence.... Ces fantasmes pervers, tabous et interdits auxquels je pense lorsque je me masturbe...
Je me prénomme Aicha.
Divorcée, début cinquantaine, deux filles et deux fils, grand-mère deux fois, femme de tête et féministe.
Intelligente, pausée, un look bon-chic bon-genre... Jamais les hommes qui m'entourent ne devineraient que cette grande brune, aux yeux verts et aux gros seins est,
en réalité, une vraie salope....
Zhano, tu m'as contacté par internet... Nous nous sommes donné rendez-vous sur msn....
Dès les premières phrases que nous avons échangées, je t’ai avoué être folle des scénarii que tu mettais en scène, rien que pour moi.
En t'écoutant me raconter toutes les perversités que tu as envie de m'imposer, tu sais que mon sexe se lubrifie et se contracte....
Ta queue est bandée pour moi... tu as envie de me prendre comme une salope... Tel que tu me le demandes souvent, j’ai enlevé mon soutien-gorge et mon
slip... je suis maintenant nue sous ma blouse blanche et ma jupe de coton noir...
Tu peux imaginer mes mamelons bruns qui se dessinent et pointent sous le mince tissu de mon chemisier...
Docile, je réponds à tes questions... je te raconte mes fantasmes... Les scènes de viol et d'abus que je visualise en me masturbant ou lorsque un homme me lèche la
chatte...
Je t'excite... tu as envie de me voir à poil... de me prendre de force...
Je tourne la tête... mon regard est voilé... Le regard d'une femme qui vient de jouir...
zhano prends du plaisir à m’imposer de nouveaux défis à moi Aicha, il me parle d’une rencontre en forêt…
"T'as aimé, hein, salope?"
Je ferme les yeux et hoche la tête pour acquiescer...
"Moi aussi, j'ai bien aimé te prendre ici dans un parc alors qu'on aurait pu nous voir et nous entendre... Et, tu sais... Je crois bien qu'on nous
regarde... Derrière toi, il y a deux jeunes étudiants qui semblent très excités de te voir ainsi sans défense... à moitié nue... Et puis, il y a aussi ce vieux clodo que nous avons croisé en
entrant dans le parc.... Il a déjà sorti sa vieille bite de son froc et il se branle en nous regardant.... Mais je pense que je vais d'abord laisser ces deux jeunes-là te
prendre..."
Les yeux écarquillés de frayeur, le regard affolé, j’essaie de me défaire de ces liens qui immobilisent mes poignets alors que Zhano fait signe aux deux
adolescents de s'approcher....
Le plus grand et le plus vieux est noir, l'autre maghrébin...
"Comment vous appelez-vous? "
"Wali" dit le noir... "Ahmed" répond le jeune maghrébin...
"Wali et Ahmed, je vais vous laisser baiser ma femme, Aicha... "
"Elle se débat mais elle en a foutrement envie.... Se faire prendre l'excite beaucoup ... Elle est déjà toute mouillée... Ses mamelons et son clito sont en
érection.... Lequel de vous deux veut être le premier?..."
Le grand noir ne donne pas la chance à son jeune copain de répondre... Il sort une bite énorme de son pantalon... De couleur d'ébène... Bien longue,
dure... mais surtout très large et dont le gland est bien noueux...
Il s'installe derrière moi... Toujours bâillonnée, je ne cesse de rugir et de crier tout en me déhanchant pour me soustraire au viol que je
m'apprête à subir... Relevant ma jupe, il plaque ses grosses mains brunes sur la peau nue et blanche de mes hanches alors que son gland, tel la pointe d'un pieu de bois, écarte les lèvres
charnues de mon vagin...
Puis, d'un violent coup de rein, il s'enfonce en moi... Sa grosse bite noire disparaissant au fond de mon vagin aux parois veloutées... bien au fond de cette
crevasse chaude, étroite et humide dans laquelle Zhano vient de déverser de longs jets de foutre blanc et crémeux...
"Tiens, prend ça.. Salope...", éructe Wali, les poils crépus de son pubis s'écrasant contre mes fesses ... je pousse un cri de colère et de
protestation....
Zhano, tu contemples la scène avec excitation.... Un jeune noir est en train de violer une femme blanche.... Son copain, un jeune arabe, se masturbe en
attendant de la violer à son tour...
Et puis, ce vieux vicelard, bandé lui aussi, caressant une vieille queue courbée et veinée qui n'a sûrement pas été aspirée par le sexe d'une femme depuis
déjà bien des années...
tu t'approches près de mon visage ...
"Alors Aicha, c'est bien ce que tu voulais, non? Te faire violer... Par des jeunes, par des vieux... par des queues qui bandent pour toi?"
La colère, la honte, la rage se lisent dans mes yeux de mère de famille qui me fait ramoner le sexe, qui me fait prendre de force...
"Ahhhh.... elle est bonne ta chienne.... Elle a quel âge?", souffle Wali...
"51 ans et elle est écrivain..."
"Ahhh... ahh... un écrivain... "
Wali venait d'augmenter son rythme. Visiblement, l'idée de violer une littéraire l'excitait au plus haut point...
J’ai fermé les yeux, résignée, vaincue....J’ avais entre les cuisses, bien engagé dans mon vagin, le pénis d'un étudiant…
J’essayais de chasser ces pensées perverses, taboues et interdites.... mais elles revenaient sans cesse à mon esprit alors que Wali continuait à me limer la chatte
avec sa grosse queue noire....
je laissais maintenant échapper de petits gémissements à peine audibles... mon bassin avait basculé vers l'arrière procurant ainsi un meilleur accès à ce gros
pieu qui me fouillait les entrailles... mes parois vaginales avaient recommencé à se contracter....
"Ahhhh... je vais jouir dans ta chienne...."
"Oui..c'est ça remplis-la de foutre, viole-la... c'est ce qu'elle veut la pute..."
"AHHHHHHHHHHHHHHHHH.... ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.... je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis...."
Le visage de Wali se contracta de plaisir alors qu'il se mit à juter dans mon sexe ....je cambrai les reins, basculant les fesses contre les poils pubiens de
l'adolescent...
Sans retenue, mon sexe se mit à se resserrer en saccades alors que mon visage grimaçait sous l'orgasme que le jeune homme venait de m’
imposer...
Sans plus de préambule, Ahmed baissa son pantalon et son slip et vint s'installer entre mes jambes...
Son pénis était beaucoup plus petit que celui de Wali et il n'eut aucune difficulté à trouver l'entrée de mon vagin pour y pousser sa jeune bite durcie...je
ne réagissait plus.. Brisée, vaincue....
je n'avais plus besoin de m'agripper à l'arbre que j’encerclais de mes bras... La queue dure d'Ahmed, à chaque coup de butoir, me soulevait de
terre....
"Je te viole, salope... je te viole putain et t'aime ça, hein, petite fendue... »
En entendant ces mots, mon corps se raidit à nouveau...
je prenais plaisir à être dénudée, abusée, forcée et violée....
"Ah oui... débats-toi, salope... j'aime quand les sales petites blanches comme toi me résistent...."
Malgré tous mes efforts, je ne parvenais pas à me libérer...
De plus, les doigts d'Ahmed pinçant mes mamelons et mon clitoris, provoquaient de puissants spasmes de plaisir qui déferlaient dans mon vagin.... mon vagin
que je n'arrivais plus à contrôler... mon vagin aspirant au plus profond de son ventre le sexe de l'étudiant...
"Hummmmmm..... comme t'a une belle petite chatte! Ton petit con est encore plus étroit que celle de ma copine ! Et, je parie que ça doit être encore meilleur
si je te la mettais dans le cul !" Vitement, il cracha sur mon anus pour bien en lubrifier l'entrée... un crachat épais et visqueux qu'il étendit sur la petite rondelle rosée de Djema
la mère de famille...
Puis, sans plus de ménagement, il m'encula....Son pénis disparaissant dans mes intestins...
Je me déhanchait dans tous les sens... je n’avait jamais été enculée par un homme ?...
Les doigts bien enfoncés dans mon vagin, il gémit... "Ah, la salope .. elle me compresse et me suce les doigts avec sa chatte...Ahhh... elle est trop bonne.....
elle me fait jouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiir...."
Le pubis bien plaqué contre mes fesses, le jeune arabe commença à répandre son foutre épais et visqueux au fond de mes entrailles...
Mon visage se crispait de plaisir... jouissant alors qu'un jeune inconnu m'enculait et me violait.... j’ avais peine à me tenir sur mes jambes....
Ahmed, avec sa bite toujours bien enfoncée en moi, me maintenant debout... Lorsque, lentement, il se retira de mon anus, je tombai à genoux...
"À mon tour, à mon tour.. " grommela le vieux clodo qui n'avait rien manqué du spectacle qui s'était offert à lui!
Zahno détacha mes poignets...
Je tombai sur le dos, à bout de souffle... à bout de force...
Le vieux clodo s'étendit sur moi et, guidant sa vieille bite en érection avec une de ses mains crasseuses, il s'enfonça dans mon vagin englué de
foutre...
"Retenez-la bien..." ordonnai-Zahno aux deux jeunes étudiants qui s'empressèrent de m’empoigner les chevilles, me maintenant les jambes
écartées...
De son côté, il m’immobilisa les poignets...
Il fallu presqu'une minute pour que je réalise que le vieux était étendu sur moi, son pénis en moi.... et qu'il était en train de me violer.... je me mis à
lui résister.... En vain...
Wali, Ahmed et vous, me reteniez fermement... Le vieux, lui, continuait à me pistonner en me léchant les seins...
Mes mamelons durcis disparaissaient dans sa bouche édentée...
Ses mains huileuses aux ongles noircies palpaient ma poitrine blanche... sa langue épaisse laissant de longues coulées de bave sur mes seins...
vous penchant près de mon visage de, vous me murmuriez:
"Laisse-le juter en toi... laisse-le prendre son plaisir entre tes cuisses.... Il y a sûrement bien des années qu'il n'a pas baisé..."
Le vieux râlait de plaisir tout en continuant à me pistonner....
Ma nudité, mon vagin lubrifié, la fermeté de mes seins procuraient au vieil homme un état d'excitation qu'il n'avait pas ressenti depuis plusieurs années...
une érection large et dure qu'il n'avait pas eu depuis bien longtemps...
Le vieux salopard me violait et le corps de la mère de famille commençait à réagir.... Un plaisir dissocié, indépendant de ma
volonté...
Le plaisir de se faire pétrir les seins, de se faire lécher, sucer et mordiller les mamelons...
Le plaisir de sentir une tige de chair durcie me ramoner le sexe alors que de vieux doigts crasseux me caressaient le clitoris...
Un gros gland noueux écartant les parois étroites et veloutées de mon vagin...
Le vieux, qui avait l'âge d'être mon père, me ramonait la chatte, emplissant mon étroit canal de sa vieille bite... cette vieille bite qu'il retirait de ma
fente avant de s'y enfoncer à nouveau.... cette vieille bite gluante, recouverte de semence, mêlée à mes sécrétions vaginales. Aicha, à moitié nue, couchée sur le dos, retenue par les poignets et
les chevilles...Aicha cherchant à se libérer de ses étreintes alors qu'un vieil itinérant était étendu sur elle en train de la violer...Aicha, dont le corps refusait de répondre à sa
volonté....
Aicha qui allait jouir.... prise ainsi pour la troisième fois de suite... forcée et abusée....
Aicha dont le sexe, malgré tout son dégoût, se contractait sur cette vieille bite, la comprimant entre les parois veloutées de son sexe, l'aspirant tout au
fond de son ventre.....
"AAAAAAAAAAAAhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh"......
Les râlements de plaisir du vieux cochon se mêlèrent à mes gémissements....
Le vieux dégueulasse crachait son foutre visqueux dans mes entrailles, j’étais une femme qui, malgré son indignation, jouissait sous lui, soulevant les
hanches, bandant les cuisses... criant son plaisir....
À suivre ? Que devrait-on lui imposer à cette mère de famille qui recherche la soumission ? À moi Aicha la fatma femme, écrivain, reluquée par ses voisins,
ses collègues de travail, ses amis ?